AlloCiné
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Objectivons
Franck Dubosc en fait trop, comme toujours. C'est son personnage comique, je sais, mais qu'on aime ou qu'on n'aime pas, disons-le : "un peu, ça va, mais trop, c'est trop". Voire, trop, bonjour les dégâts. Mais voilà, Dubosc tape sur les nerfs.
Pierre Richard, Jean-Christophe Bouvet, Michel Galabru, sont en fait tous là pour le nom sur l'affiche.
L'idée de Cinéman est originale, mais elle n'a pas été correctement exploitée, ce qui, malgré quelques scènes sympathiques, donne souvent des moments creux. Dommage. Fallait pas prendre Dubosc.
Pierre Richard, Jean-Christophe Bouvet, Michel Galabru, sont en fait tous là pour le nom sur l'affiche.
L'idée de Cinéman est originale, mais elle n'a pas été correctement exploitée, ce qui, malgré quelques scènes sympathiques, donne souvent des moments creux. Dommage. Fallait pas prendre Dubosc.
Yann Moix pond avec Cineman le pire film film de l'année. Il faut être clair on a quasiment jamais vu un tel naufrage. D'un point de vue technique le film est une aberration. Entre la bande son resynchronisé en post production et la réalisation du nuliisime Moix, on attend les profondeurs de la nullité. Mais pire que ça il y a la condescendance du film pour les œuvres qu'ils ridiculisent. Comment ont t-ils oser massacrer autant de chez d'œuvre avec un mauvais gout et une prétention nauséabonde. Se déclarer cinéphile est une chose l'être en est une autre. Enfin un dernier mot sur les acteurs encore Pierre Dubosc qui répète son numéro usé et un Pef cabotin comme jamais.
Per un pugno de dollari, The adventures of Robin Hood (1938), Tarzan the Ape Man (1932), The Duellists, A Clockwork Orange, The Mark of Zorro (1920), Taxi Driver, Barry Lyndon, Safety Last, Sunrise: A Song of Two Humans, Jesus of Nazareth. Voici la liste des films dont Cinéman tire ses références certaines fonctionnent et sont bien amenés, d'autres sont carrément indéfendables. L'histoire, elle, tient solidement la route et se suit avec un réel intérêt. La mise en scène, inventive, fait preuve d'une belle énergie et regorge d'excellentes trouvailles visuelles, telles la scène du sous-titrage ou celle de l'arrêt sur image.
Franck Dubosc est convaincant et tout à fait à son aise dans son rôle de professeur autoritaire et maladroit, dont l'existence quasi vide de sens est soudainement chamboulée, bien que l'évolution de son personnage soit traitée sur un mode trop proche du cliché (ce qui nous change pas de ses vannes pourris qui ici passe mieux!). Lucy Gordon insuffle sa grâce et sa délicatesse à une héroïne qui ne manque pas de charme, ni de cran, et encore moins de toupet. Pierre François Martin Laval interprête un bouffon caricatural dont l'absence d'âmes et d'intérêt est des plus affligeante!
Des problèmes de son obligent les acteurs à réenregistrer les dialogues, d'où un léger décalage image/son que l'on peut constater lorsque leurs lèvres s'animent (ce qui est des plus intolérables), le suicide de l'actrice britannique Lucy Gordon (Cinéman lui est justement dédié) et qui n'a sans doute pas facilité la promotion du film, mais dans ce cas-là on sent fiche! La fin est baclée à un point où on se demande si il y avait quelques choses à dire! Mais ce film est une vrai déclaration d'amour au cinéma old-school et inventif comme on n'en fait plus!
Franck Dubosc est convaincant et tout à fait à son aise dans son rôle de professeur autoritaire et maladroit, dont l'existence quasi vide de sens est soudainement chamboulée, bien que l'évolution de son personnage soit traitée sur un mode trop proche du cliché (ce qui nous change pas de ses vannes pourris qui ici passe mieux!). Lucy Gordon insuffle sa grâce et sa délicatesse à une héroïne qui ne manque pas de charme, ni de cran, et encore moins de toupet. Pierre François Martin Laval interprête un bouffon caricatural dont l'absence d'âmes et d'intérêt est des plus affligeante!
Des problèmes de son obligent les acteurs à réenregistrer les dialogues, d'où un léger décalage image/son que l'on peut constater lorsque leurs lèvres s'animent (ce qui est des plus intolérables), le suicide de l'actrice britannique Lucy Gordon (Cinéman lui est justement dédié) et qui n'a sans doute pas facilité la promotion du film, mais dans ce cas-là on sent fiche! La fin est baclée à un point où on se demande si il y avait quelques choses à dire! Mais ce film est une vrai déclaration d'amour au cinéma old-school et inventif comme on n'en fait plus!
Le concept du film en lui-même était intéressant et aurait mérité traitement plus abouti. Cela dit, Dubosc sauve un peu les meubles (en cabotinant comme à son habitude). Les scènes se déroulant dans la salle de classe sont parmi les plus passionnantes d'un métrage injustement boudé (et encore, c'est un euphémisme!). Il est vrai que pas mal de dialogues ont été post-doublés (et alors? On ne remarque pratiquement rien) et que certaines scènes sont un peu grosses (le coup de Tarzan et du faux singe, j'étais presque gênée sur mon fauteuil).
Une insulte au vrai cinéma.
Cinéman est comédie originale. Dubosc s'en donne à coeur joie. Malgré ce que beaucoup de personne pense. Franck Dubosc est un acteur excellent, bourré de mimique et d'expression, c'est avec plaisir que l'on se laisse distraire malgré certaines lourdeur...
gabdias
L'idée de revisiter les classiques du cinéma d'un regard comique eut pu être une bonne idée, mais c'était sans compter sur la niaiserie du scénario, le montagne digne d'un steak haché, une vulgarité et une beauferie latente de Dubosc. On sourit à peine...
Quand un supposé hommage au cinéma se transforme en une parodie imbuvable des codes cinématographiques, emmenée par des références à outrances, au coeur d'un scénario mal maîtrisé. Peut-être aurait-il fallut qu'il y ai une histoire au film? En attendant, ce n'est pas Frank Dubosck qui sauve le projet du naufrage, malgré une performance plutôt surprenante.
Que de déception dans ce mauvaix film... PODIUM m'avait enchanté je pensais y retrouver son humour mais à la place je n'y ai trouvé que des dialogues fades et pire une réalisation extrêmement mauvaise. Une honte !
L'histoire de film ne tient pas une seule seconde , le scenario est mauvais , F.Dubosc campe son plus mauvais role . Les seconds role sont médiocre sauf L.Gordon .
"Cinéman", deux solutions : soit à force de voir trop de films j'ai chopé des goûts de chiotte et je suis un des seuls à avoir trouvé ça super drôle et excellent, soit les critiques ciné et les gens ne savent plus reconnaître ce qui est bon. Quand le surestimé Tarantino fait un sample géant en 2 épisodes on crie au génie; quand le quasi novice Yann Moix fait de même dans le domaine de la comédie et de manière totalement décomplexée, on crie au navet. C'est pourtant la même chose...
Dans le fond, "Cineman" avait le potentiel pour être un grand film divertissant et rendant hommage à la diversité et la richesse du cinéma. Le démarrage d'ailleurs, est plutôt prometteur, entre
spoiler:
les références au célèbre et révolutionnaire cinéaste et illusionniste Georges Méliès, un générique façon Charlie Chaplin, un bout de film avec l'excellente Catherine Deneuve et un concept légitimement comparé au pitch de base de l’œuvre culte "Alice aux Pays des Merveilles"
. Je pourrais même ajouter la partie western, qui bien que classique sur les éléments utilisés spoiler: (les regards, la musique, l'enterrement jusqu'au cou, le saloon)
, se révèle acceptable. Hélas, bien vite, on se rend compte que l'aspect cinématographique du film se réduit progressivement à son personnage principal citant des personnages fictifs spoiler: (Shrek, Harry Potter, etc...)
à la pelle et se baladant n'importe comment entre les différents styles du cinéma spoiler: (Mille et une Nuits, New York de Scorsese, film d'époque, cape et d'épée, Tarzan, Robin des Bois)
, dans une bouillie sans queue ni tête de montage (entre prises de vue et bouts de films connus), juste destinée à mettre en avant l'humour lourd et affligeant de Frank Dubosc (qui vole la vedette à PEF et Lucy Gordon, incarnant des protagonistes très mal écrits), à base de dialogues idiots et consternants spoiler: ("la fête du slip", "de la chance que j'ai chié avant", etc...)
et de cabotinage en règle spoiler: (Dubosc met de l'anglais partout dans ses phrases et c'est horripilant, tout comme son ton habituel)
. De plus, la narration multipliant les allers-retours entre monde réel et univers du cinéma est très maladroite et redondante (j'aurais préféré que Régis navigue entre les films sans passer à chaque fois par le monde réel), pas aidée en bonus par la caricature qu'est Régis Deloux en prof de mathématiques dur avec les élèves, la pauvreté atroce des rôles secondaires (Anne Marivin est pas gâtée) et des guests qui en font des caisses (Michel Galabru et Pierre Richard à côté de la plaque). Pour finir, vu que Yann Moix a fait enregistrer de nouveaux dialogues après le tournage, on sent des problèmes de synchronisation entre le son et l'image, énième souci d'un film où tout est bricolé à l'arrachée. J'avais lu que Yann Moix avait connu un tournage galère pour "Cinéman" spoiler: (et c'est vrai qu'il a enchaîné les couacs façon Terry Gilliam avec "Don Quichotte", sauf que Gilliam avait eu l'intelligence de faire un documentaire sur ses difficultés au lieu de sortir un film impossible)
, ça se voit à peu près tout le temps. Néanmoins, ça n'excuse pas tout, notamment le parti-pris de faire de "Cinéman" un film surtout à la gloire de Dubosc et non du cinéma.
. Je pourrais même ajouter la partie western, qui bien que classique sur les éléments utilisés spoiler: (les regards, la musique, l'enterrement jusqu'au cou, le saloon)
, se révèle acceptable. Hélas, bien vite, on se rend compte que l'aspect cinématographique du film se réduit progressivement à son personnage principal citant des personnages fictifs spoiler: (Shrek, Harry Potter, etc...)
à la pelle et se baladant n'importe comment entre les différents styles du cinéma spoiler: (Mille et une Nuits, New York de Scorsese, film d'époque, cape et d'épée, Tarzan, Robin des Bois)
, dans une bouillie sans queue ni tête de montage (entre prises de vue et bouts de films connus), juste destinée à mettre en avant l'humour lourd et affligeant de Frank Dubosc (qui vole la vedette à PEF et Lucy Gordon, incarnant des protagonistes très mal écrits), à base de dialogues idiots et consternants spoiler: ("la fête du slip", "de la chance que j'ai chié avant", etc...)
et de cabotinage en règle spoiler: (Dubosc met de l'anglais partout dans ses phrases et c'est horripilant, tout comme son ton habituel)
. De plus, la narration multipliant les allers-retours entre monde réel et univers du cinéma est très maladroite et redondante (j'aurais préféré que Régis navigue entre les films sans passer à chaque fois par le monde réel), pas aidée en bonus par la caricature qu'est Régis Deloux en prof de mathématiques dur avec les élèves, la pauvreté atroce des rôles secondaires (Anne Marivin est pas gâtée) et des guests qui en font des caisses (Michel Galabru et Pierre Richard à côté de la plaque). Pour finir, vu que Yann Moix a fait enregistrer de nouveaux dialogues après le tournage, on sent des problèmes de synchronisation entre le son et l'image, énième souci d'un film où tout est bricolé à l'arrachée. J'avais lu que Yann Moix avait connu un tournage galère pour "Cinéman" spoiler: (et c'est vrai qu'il a enchaîné les couacs façon Terry Gilliam avec "Don Quichotte", sauf que Gilliam avait eu l'intelligence de faire un documentaire sur ses difficultés au lieu de sortir un film impossible)
, ça se voit à peu près tout le temps. Néanmoins, ça n'excuse pas tout, notamment le parti-pris de faire de "Cinéman" un film surtout à la gloire de Dubosc et non du cinéma.
en regardent ce filme, une seul question me vient a l’esprit, ''pour quoi ?''
Soporiphique ! nullissime comme rarement ateint. Domage, car l'idée de base était vraiment sympa. Mais rien n'arrive a être drole ni bien joué.
Comment un acteur tel que F. Dubosc puisse accepter un rôle comme celui la? L'histoire n'est pas recherchée, bidon, pas drôle. On regarde une fois et c'est tout.
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