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GyzmoCA
175 abonnés
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3,5
Publiée le 2 juillet 2019
Deuxième volet du thriller religieux de Dan Brown , le film est réalisé toujours par Ron Howard et le rôle principal (Robert Landon) est toujours interprété par le grand Tom Hanks. Ewan Mc Gregor et Stellan Skargard complète parfaitement la distribution.
Cette deuxième aventures des enquêtes de Robert Landon est un préquel au premier et se passe donc avant les événements de Paris et Londres . L action se déroule cette fois-ci à Rome , épicentre de l église catholique .
L Opus Dei a été remplacée par les Illuminati qui menace le Vatican directement et le pape en particulier.
Le principe du jeu de pistes est repris ainsi que Robert Landon accompagné d'une compère féminine pour le seconder. La course est haletante et le thriller est mené à un bon rythme.
Comme dans le premier les raccourcis scénaristiques, pour faire avancer l enquête sont un peu court . Comme par hasard , les enquêteurs arrivent toujours deux minutes avant la mort des archevêques
Anges et Démons reste un bon divertissant avec un bon rythme et des acteurs talentueux. La réalisation est plate et le scénario est peu réaliste dans ses enchaînements.
Mieux noté que Da Vinci Code et pourtant moins bon, Anges et Demons est la nouvelle adaptation de la série littéraire de Dan Brown. Cette nouvelle aventure est une course contre la montre pour éviter qu'un attentat ne détruise la cité papale et une partie de Rome dans le même temps. Alors pour attirer le chaland on ajoute une pincée sectaire avec les illuminatis mais cette histoire sent le réchauffé et quand on prend du recul, on assite à un vulgaire thriller peu crédible et grandiloquent. Seul Tom Hanks sauve la mise, comme souvent, on est heureux de le retrouver dans son personnage de Robert Langdon
C'est certainement difficile de suivre à la lettre le roman de Dan Brown, et de le retranscrire sur grand écran avec un scénario qui tient la route et reste à minima fidèle au roman. Ce qu'il faut voir dans cette adaptation, au delà du côté action, aventure, et énigmes, c'est la reconstitution du Vatican, et de ces engrenages, les costumes, les personnages, la mécanique de cet état. Alors là, on en a pour son argent, car l'histoire est assez bien ficelé, on a plaisir à retrouver notre Sherlock des énigmes, et le rythme est soutenu de bout en bout.
Suite du "Da Vinci Code" cette adaptation sent encore un peu le copié-collé d'un roman avec des agencements d'action invisibles au lecteur mais visibles à l'écran. Cependant, j'avoue que cet épisode est beaucoup plus passionnant que le premier: je l'avais lu et l'histoire en générale été beaucoup trop facile et évidente. Là, on oublie Paris et on visite Rome et le Vatican en long et en large (quels décors!) avec toujours des énigmes et une course d'orientation. On reste dans le domaine religieux mais pas de descendance du Christ ici: on scrute les rouages de la "mafia" papale sous fond de terrorisme ancestral et de bombe à retardement. J'avoue avoir été vraiment passionné par l'histoire évoquée et le compte à rebours constant fait de ce film (2H30 de projection pour une explosion prévue dans 4H00!) quasi en temps réel un très bon thriller. De son côté Tom Hanks est un peu plus crédible dans le personnage (la coupe de cheveux?) et Ewan McGregor et toute la galerie de seconds couteaux connues réussissent à nous faire croire à l'entreprise. Même si j'aime bien Benjamin Gates, ce film, dans le même genre au final, est beaucoup plus intelligent et captivant! A voir sans hésitation.
Après la polémique suscitée par le "Da Vinci Code", les producteurs sont revenus à davantage de prudence avec ce nouveau volet des aventures de Robert Langdon. C'est peut être le seul véritable défaut du film : il est beaucoup trop accommodant avec l'Eglise, voire pro-Vatican par moments. Un ton en contradiction avec le livre de Dan Brown et l'épisode précédent. Mais, il ne faut pas s'y tromper : si le "Da Vinci Code" était une adaptation fidèle, "Anges et Démons" prend nettement plus ses distances et joue la carte de l'efficacité au détriment des "révélations" historiques (pas de secret renversants révélés ici). Le film n'est donc pas un brûlot contre le Vatican mais une véritable course contre la montre qui a la bonne idée de ne pas reprendre certains passages du livre trop longs (le début au CERN) ou limites grotesques (le saut de l'hélicoptère est bien plus réussi dans le film). "Anges et démons" reprend néanmoins les recettes du 1er opus (une BO très réussie de Hans Zimmer, un scénario haletant, des rebondissements à la pelle, une dose d'humour pour alléger l'ambiance...) et bénéficie toujours d'un casting de premier ordre. Ainsi, en plus de retour de Tom Hanks dans le rôle du sympathique Robert Langdon, on retrouve Ayelet Zurer qui évite le piège de la nunuche, le strict Stellan Skarsgard, l'ambigu Armin Mueller-Stahl, l'Italien Pierfrancesco Favino, le charismatique Nikolaj Lie Kaas (qui rend l'Assassin si humain) mais c’est Ewan McGregor qui retient l'attention dans le rôle primordial du camerlingue. Pourtant, il manque le petit plus qui rendait le "Da Vinci Code" si particulier. La faute en incombe sûrement à la place moindre qu'occupe "Anges et Démons" dans la culture populaire. Reste un excellent divertissement bien supérieur, dans le même genre, aux "Benjamin Gates" mais qui aurait gagné à être moins politiquement correct.
J'avais moyennement apprécié Da vinci code, je dois dire que Anges & Démons m'a plus plu ! mais ça reste le meme style et on a parfois du mal à suivre sauf si on est déjà incollable sur le sujet ^^ Ewan Mac Gregor est super cependant et la fin est surprenante ^^ ça reste un bon film quand meme avec de très belles images
Après avoir adapté le best seller de Dan Brown avec Da Vinci Code (2006) Ron Howard réalise un autre roman du même auteur et mettant en scène le même personnage principal en la qualité de Tom Hanks. Après la France et sa capitale, on a rendez-vous en Italie, Rome et surtout le Vatican ! Voilà où nous mène l’intrigue de ce thriller fantastique, véritable jeu de piste au scénario quelque peu complexe (tant de noms et de références à mémoriser pour parvenir à s’y retrouver). Si le scénario n’a rien de transcendant, la mise en scène, elle, mérite le détour. Menée tambour battant, les deux heures vingt s’enchaînent sans la moindre difficulté, au grés des nombreux SFX et retournements de situations.
Nul doute là-dessus : c’est à Dan Brown que nous devons tout l’intérêt de cet "Anges et Démons" car, mis à part ce jeu de piste mystico-touristique en plein cœur de Rome, il n’y a pas de quoi vraiment s’enflammer. En effet, ceux qui auront vu "Da Vinci Code" se souviendront du manque d’art et d’entrain dont Ron Howard avait fait alors preuve, il en est de même ici. Donc, aucune surprise, le film est fade, mais l’histoire peut distraire. A vous de juger si ce maigre jeu en vaut la chandelle.
Pour sa deuxième adaptation du génialissime roman de Dan Brown, Ron Howard mise tout sur le rythme et la mise en scène. Un opus finalement plus accessible au grand publique de part la cohérence de ses énigmes, et le côté plus hollywoodien de l'action. Il est difficile de ne pas accrocher, de ne pas être saisit jusqu'aux tripes par ce jeux de pistes unique en son genre. Le professeur Langdon se lance à présent au déchiffrage des mystères du Vatican, depuis la salle des archives, aseptisée et hautement sécurisée, jusqu'aux églises de Rome, témoins d'une série de meurtres échafaudés contre les cardinaux. Le point de départ étant la mort prématurée du Pape. On y découvre des monuments remarquables, plus mystiques que jamais. Un chassé-croisé palpitant, sur le fil d'un compte à rebours aux conséquences catastrophiques pour l’Église. Les cardinaux sont aux abois, et les retombée d'une trahison au sommet se font durement ressentir. Ewan McGregor face à Tom Hanks; autant dire que le combo fait des étincelles. Des secrets religieux dévoilés au grand jour, l'envers d'un décors que l'on connait trop peu finalement, et qui a su nourrir le mythe à travers les âges pour des milliards de fidèles. Un condensé hautement mouvementé du roman pour une adaptation grandiose. Largement à la hauteur du succès de son prédécesseur, Da Vinci Code. 4,5/5
Après un Da Vinci Code médiocre voire mauvais, Ron Howard signe avec Anges et Démons un thriller fantastico-religieux de bonne facture. Instaurant un rythme effréné à cette course contre la montre et alliant suspense, morceaux de bravoure mais aussi passages explicatifs loin d'être ennuyeux, le réalisateur rend l'intrigue facilement compréhensible et le jeu de piste en devient captivant. On ne voit pas le temps passer pendant ces 2h20, hormis vers la fin où une baisse de régime se ressent et où le dénouement n'est pas finement amené. Côté acteurs, ils sont cette fois-ci plus convaincants, à l'exception de Nikolaj Lie Kaas (le tueur) qui est un peu fade mais supportable. Certains personnages ne sont pas non plus bien mis en avant par rapport au livre mais là encore, ce n'est pas du tout dérangeant puisque le film va à l'essentiel, mettant de côté quelques sous-intrigues. On notera également une parfaite reconstitution des décors, le film n'ayant évidemment pas été tourné au Vatican, et une musique efficace signée Hans Zimmer. Anges et Démons se révèle être une agréable surprise.
Du même acabit que le célèbre Da Vinci Code du même réalisateur, Anges et démons peut être considéré comme une suite (ou prequel) tant les ressemblances sont frappantes. Mais que c’est bien fait ! Le rythme et impeccable, le scénario mordant, l’action et le suspens au rendez-vous,… Le thriller policier théologique avec l’éblouissant Tom Hanks à son apogée. Un sacré divertissement.
Après le "Da Vinci Code" il y a 3 ans, on prend les mêmes et on recommence! N'ayant personnellement pas ressenti une particulière antipathie pour le premier volet, je serais bien en peine de vous dire si j'ai préféré ce "Anges et démons" ou son prédécesseur, mais il me semble en tout cas retrouver à peu près les mêmes qualités et défauts. Néanmoins, il faut reconnaître que celui-ci a peut-être quelques arguments en plus. Mieux joué et comptant nettement moins de scènes ridicules, il peut en effet s'appuyer sur de bonnes scènes d'actions, la part de mystère entourant le tout étant dans l'ensemble plutôt bien rendu. Hélas, quelques défauts gênants persistent. Que ce soit par son rythme inégal ou un développement des intrigues un peu brouillonnes, l'oeuvre finit parfois par lasser un peu, l'omniprésence de la musique de la musique ne faisant qu'augmenter cette impression de lourdeur régulière. Reste que le final plutôt inattendu et pour le coup bien maitrisé (même si on lui reprochera une surenchère un peu fatigante) permet en définitive de relever le niveau d'ensemble du film, qui plus est nettement moins polémique d'un point de vue religieux que le "Da Vinci Code". En somme, c'est du divertissement pur et dur, non sans lourdeurs, mais tout de même plutôt plaisant et dans l'ensemble assez bien mené. Honnête.
Le film transporte le spectateur dans une histoire très poussée mais qui reste plausible. On est entrainé dans une course contre la montre infernale à couper le souffle, les scènes d'actions s'enchainent à grande vitesse. L'adrénaline est au rendez-vous. Malgrès tout, l'intrigue est plus facile d'accès que DaVinc Code bien qu'elle reste riche en péripéties. Tom Hanks au sommet de sa forme. Et Ewan McGregor, personnage complexe qui nous offre de très grandes surprises...
Après une grande frustration, Ron Howard adapte enfin à merveille la première œuvre de Dan Brown sur un écran soigné. On soulignera l’effort d’une narration plus dynamique et entrainante ici. Le contexte l’impose et la gestion du temps est à applaudir. Ce qui est surprenant, c’est que l’on joue sur un terrain religieux très sérieux. Robert Langdon (Tom Hanks) part à Rome et au Vatican pour une enquête explosive. La subtilité est mise à l’écart pour un divertissement brut que l’on ne regrettera pas pour plusieurs raisons évidentes, la première étant donné un peu plus tôt. Enfin de la profondeur dans un scénario qui en demande et ne manque pas l’occasion de nous rappeler à la fois des références bibliques et culturelles, tout en faisant avancer les choses. Le conflit étudié ici est un combat réel où la divinité et la science ne se marie pas avec les idéaux extrémistes. La souplesse ajustée est apportée par un Langdon neutre et son double scientifique Vittoria Vetra (Ayelet Zurer). Ensemble, c’est inévitablement qu’ils vont creuser dans les mythes de l’Eglise pour déterrer le mal qui y sommeille. A côté d’eux, le Camerlengo (Ewan McGregor) instaure sa patte innocente dans une intrigue controversant. Pas finement implicite tout le long, le doute peut sembler égarée par moment. La cohérence n’est que partielle dans ce flot de conspiration. Le relai reste accompagné de la lanterne descriptive et ne nous laisse pas le temps d’une réflexion, tellement le rythme est soutenu. Et de toute évidence, Hans Zimmer rend cet quête plus captivante que jamais à travers sa partition, raisonnant subtilement avec le genre décalé auquel on assiste. « Anges et Démons » fait revivre un Ron Howard cherchant à se faire pardonner. Plus équilibré que le premier volet, on ne peut que se réjouir et profiter tranquillement de l’évasion antique moderne.
Après une adaptation très réussi de Da Vinci Code ; Ron Howard s’attaque à un autre roman de Dan Brown. Même si dans cette adaptation, le réalisateur prend plus la liberté. Cette prise de liberté donne un second souffle à l’adaptation, même si les personnes ayant lu le bouquin seront dépassé. Une très bonne adaptation qui surpasse la précédente rendu possible par la composition des acteurs plus convaincants que dans Da Vinci Code.