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Votre avis sur Frangins malgré eux ?
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Will Ferrell et John C. Reilly sont probablement les humoristes les plus clivants qui soient, surtout en France où leur talent est clairement sous-estimé.
Ils sont dans ce film au sommet de leur art, leurs cabotinages incessants et la succession de gags, pas toujours du meilleur gout, fera soit hurler de rire tous les fans du duo, soit exaspérés les réfractaires.
Ils sont dans ce film au sommet de leur art, leurs cabotinages incessants et la succession de gags, pas toujours du meilleur gout, fera soit hurler de rire tous les fans du duo, soit exaspérés les réfractaires.
Brennan et Dale voient d'un mauvais œil le mariage de leurs parents respectifs et le fait qu'ils vont se retrouver demi-frères. Mais surtout Brennan et Dale ont 40 ans et habitent encore chez leurs parents. Autant dire que la rencontre est explosive. Deux ans après "Ricky Bobby : roi du circuit", le trio gagnant formé par Adam McKay, Will Ferrell et John C. Reilly se reforme et il fonctionne toujours aussi bien. N'ayant pas peur du ridicule ou du vulgaire, "Frangins malgré eux" enchaîne les gags et les situations de manière souvent drôle, parvenant à faire mouche à de nombreuses reprises. Critique du conformisme américain et éloge de l'esprit libre, le film est surtout l'occasion pour Will Ferrell et John C. Reilly de confirmer leur talent dans la comédie, les deux acteurs s'en donnant visiblement à cœur joie en incarnant ces sales gosses de 40 ans. Et le plaisir est totalement partagé.
J'ai bien aimé l'idée avec de nombreuses possibilités offertes par le scénario et pas mal exploité. Cela manque peut-être davantage de références. Car à 40 ans, on a envie de s'offrir ce qu'on n'a pas pu avoir à 13. Un assez bon divertissement dans son ensemble, mais avec quelques manques malgré l'implication réelle de Will Ferrell et John C. Reilly.
Yetcha
Une comédie oú deux adultes jouent les adolescents capricieux. Certes c'est plus que basique, les dialogues sont plutôt de bas étages mais ce n'est pas désagréable pour se vider un peu la tête. De plus, voir John C Reilly dans ce rôle est assez sympatique. Correct sans plus
Requiemovies
Casting qui semblait auguré quelque chose de positif et de non gras, voir même d'original. On tombe très vite hélas dans une complaisance de gags faciles et une réalisation moyenne, limite médiocre. On se sent rester face à la toile pour 2 raisons principales, Ferrell et Reilly, super comédiens (certaines scènes restent très sympathique, mais c'est bien là leur plus grande mesure) au service d'un scénario sans doute génial si on y adhère mais ridicule au possible dans le cas inverse. On ne croît que très peu à ces 2 quarantenaires plus proches de la débilité que de l'adulte qui n'a pas voulu grandir. Une fin ridicule portée par un scénario ridicule sur sa fin. On ressort déçu et la tête basse que la comédie outre atlantique comme française peine difficilement à "réellement" se renouveler souvent.
Le film est nul. Qu'arrive t-il à certaines critiques qui viennent épingler de façon favorable certaines comédies américaines très bas de gamme, dont Frangins malgré eux, fait partie. Car c'est quand même le degré d'humour zéro, pour tant soit peu qu'on puisse considérer que ce film est bien une comédie. Tout est insupportable là dedans, tout est horrible, les acteurs, les personnages, les situations, le scénario, c'est vraiment nul. On ne sourit pas. On ne rit pas non plus. Les situations ne marchent pas du tout, les gags tombent à l'eau, c'est nul. Le seul truc un peu réussi dans le film c'est VKathryn Hahn qui est une très bonne actrice de comédie et son personnage, y a quelques passages sympas grâce à elle, mais ils sont bien trop rares. Bref, le film est raté et absolument inintéressant.
Ça se laisse regarder, l'humour ne peut pas plaire à tout le monde mais je reconnais qu'il y a de bonnes idées pour les blagues, mais ce n'est pas un chef d'œuvre.
franchement un film sans grand intérêt pas terrible dans toue son histoire et les personnages un peu betes
Si vous aimez les comédies intelligente, passez votre chemin, rien d'intelligent et de très fin ici!
Le duo Will Ferrell Vs.John C.Reilly vole bas mais nous fait bien rire a certains moments. Deux grands enfants qui habitent toujours chez leurs parents et sont obligés de vivre ensemble, c'est la que la guerre commence.
Will Ferrell Vs.John C.Reilly sont aussi scénariste et n'ont pas hésité a ce ridiculisé un maximum pour faire rire la gallerie.
Adam Scott en petit frère mérite juste des claques tellement il est bien dans son rôle.
Le duo Will Ferrell Vs.John C.Reilly vole bas mais nous fait bien rire a certains moments. Deux grands enfants qui habitent toujours chez leurs parents et sont obligés de vivre ensemble, c'est la que la guerre commence.
Will Ferrell Vs.John C.Reilly sont aussi scénariste et n'ont pas hésité a ce ridiculisé un maximum pour faire rire la gallerie.
Adam Scott en petit frère mérite juste des claques tellement il est bien dans son rôle.
Déconfiture.
C’est le troisième long d’Adam McKay et ce type était passé sous mes radars. A raison ? L’avenir nous le diras. En tout cas, sur le papier, à la faveur d’une baisse de moral, le menu est prometteur. La production est signée Apatow, Will Ferrell est généralement bon dans l’outrance et l’affiche naze promet de la rigolance à bon compte. L’histoire nous narre une situation familiale compliquée. Brennan et Dale sont deux pov’ types de 40 balais qui vivent au crochet de leur parent respectif, l’un avec sa mère, l’autre avec son père. Le padre et la madre vont s’acoquiner et se marier et même fonder un foyer commun. De fait, les deux débiles deviennent demi-frères ou un truc du genre. Au début, ils ne s’aiment pas puis ils deviennent copains. Tout le défi pour leurs parents, c’est de les responsabiliser. Et c’est pas une mince affaire tant on part de loin. L’histoire donne l’impression qu’elle ne tient pas debout ? Ce n’est pas qu’une impression. Dès les premières minutes ça paraît foireux. On ressent presque instantanément un profond agacement devant ces personnages mal dégrossis, ces abrutis mal finis, ces neuneus même pas attachants. Et rien ne viendra nous faire changer d’avis. Le récit se déroule sans accroc mais aussi sans originalité. A quelques exceptions près les gags sont généralement à côté de la plaque. A la fois too much et pas assez. Quant à l’interprétation, c’est la déception. Les acteurs n’apportent rien à ces personnages et pourtant, il y avait un grand besoin d’interprétation. Moralité de cette histoire, c’est pas parce que le chef vous promet un divin chutney de figues à la truffe que vous échapperez à la déconfiture dans l’assiette. Mais bon, les choses étant ce qu’elles sont, je donnerai très probablement une autre chance à ce réalisateur de comédies bas de plafond.
C’est le troisième long d’Adam McKay et ce type était passé sous mes radars. A raison ? L’avenir nous le diras. En tout cas, sur le papier, à la faveur d’une baisse de moral, le menu est prometteur. La production est signée Apatow, Will Ferrell est généralement bon dans l’outrance et l’affiche naze promet de la rigolance à bon compte. L’histoire nous narre une situation familiale compliquée. Brennan et Dale sont deux pov’ types de 40 balais qui vivent au crochet de leur parent respectif, l’un avec sa mère, l’autre avec son père. Le padre et la madre vont s’acoquiner et se marier et même fonder un foyer commun. De fait, les deux débiles deviennent demi-frères ou un truc du genre. Au début, ils ne s’aiment pas puis ils deviennent copains. Tout le défi pour leurs parents, c’est de les responsabiliser. Et c’est pas une mince affaire tant on part de loin. L’histoire donne l’impression qu’elle ne tient pas debout ? Ce n’est pas qu’une impression. Dès les premières minutes ça paraît foireux. On ressent presque instantanément un profond agacement devant ces personnages mal dégrossis, ces abrutis mal finis, ces neuneus même pas attachants. Et rien ne viendra nous faire changer d’avis. Le récit se déroule sans accroc mais aussi sans originalité. A quelques exceptions près les gags sont généralement à côté de la plaque. A la fois too much et pas assez. Quant à l’interprétation, c’est la déception. Les acteurs n’apportent rien à ces personnages et pourtant, il y avait un grand besoin d’interprétation. Moralité de cette histoire, c’est pas parce que le chef vous promet un divin chutney de figues à la truffe que vous échapperez à la déconfiture dans l’assiette. Mais bon, les choses étant ce qu’elles sont, je donnerai très probablement une autre chance à ce réalisateur de comédies bas de plafond.
this is my movies
Le duo A. McKay-W. Ferrell est une valeur sûre de la comédie ricaine. Sous la houlette de J. Apatow, ils ont donnés 2 pépites d'humour absurde et politiquement incorrecte, malheureusement trop méconnue en France. L'autre valeur ajoutée au duo, c'est le grand J. C. Reilly, jusque là 2nd rôle marquant dans des blockbusters et qui se révèle dans la comédie. Le pitch de cet opus rappelle un poil notre "Tanguy" mais il s'en éloigne de façon plus que brillante. Les acteurs s'en donnent à cœur joie dans des rôles sur-mesure et le scénario aligne les gags et les séquences dingos. C'est brillant, hyper drôle, fun et on sent aussi que les auteurs avaient des idées pour faire 4 films. Si parfois, ils ont du mal à s'arrêter avant de virer au trop graveleux (les dangers de l'impro), ça reste du très très haut niveau de comédie, enfin si on aime le genre.
Roub E.
C'est très mauvais, c'est même nul la plupart du temps. Mise à part quelques moments amusants (surtout dans la première partie du film), le reste est assez consternant et n'exploite même pas l'idée de départ de ces deux gamins de 40 ans qui se retrouvent demi frère. Will Ferrell et John C Reilly s'amusent, ça n'a pas été mon cas.
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Si les français ont leur Tanguy officiel, les ricains font forcément les choses en plus grand, avec deux parasites quinquagénaires bien agrippés aux pattes de leurs parents. Ce genre de situation fait tout de suite sourire, et on finit par se demander si le fait de couver à ce point ses enfants relève davantage de la bêtise que de l'amour. Le raz-le-bol est inévitable. Flanquez-moi tout ça dehors!! En attendant, ce duo de demi frères par défaut est une ode à la vie de nolife. Will Ferrell et John C. Reilly ont prit le paris de débrancher littéralement la case dignité. Et fort heureusement, car un tel niveau de ridicule, à la limite du pathétique, les aurait tué. Deux acteurs en roue libre dans des rôles de têtes à baffes, ou plus simplement, des ados dans des corps d'adultes. Le résultat est à mourir de rire, sincèrement, on rit de bon cœur devant leurs caprices, leurs complexes et leurs pitreries. Un tel niveau de bêtise lorsqu'il est assumé ne peut pas laisser de marbre. C'est donc à gorge déployée que l'on suit l'émancipation laborieuse de deux benêts. Une entrée dans la vie active violente mais nécessaire. Frangins malgré eux donne une image des "vieux garçons" délirante mais réaliste, lorsqu'on sait à quel point il est difficile pour certains de quitter le nid familial. Comme quoi il n'est jamais trop tard pour grandir. Une comédie hilarante à classer au registre de l'humour trash US. 3,5/5
defleppard
Deux faignants qui habite chez Papa-Maman et se la cool douce . Sympathique comédie Américaine mais qui ne casse pas des briques !
En résumé c'est du Mama's Boy puissance 2 sur tous les plans, agrémenté de gags pipi-caca, promouvant à laisser s'exprimer l'enfant qui est en chacun de nous!
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