Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Brazil
par Eric Coubard
Le film de Volker Schlöndorff est d'une poésie amère et concrète (...) Un long cheminement douloureux et prenant.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Une aventure intime que Schlöndorff élargit en un vaste poème visuel sur la nature où les hommes ont laissé la trace des goulags ou des centres d'essais nucléaires (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Un " eastern " moderne réussi (...) La vedette revient bien sûr à Philippe Torreton, à la fois physique, sensible et fragile (...) Côté réalisation, Volker Schlöndorff opte pour une mise en scène classique, mais quasi parfaite (...)
Brazil
par Julien Leimdorfer
Cette femme [Ulzhan] illumine le film de sa simple présence (...) Qu'elle soit ou non à l'image, elle demeure le personnage central du film.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Qu'attendre d'un film de Volker Schlöndorff en 2008 sinon un petit tour de piste de vieux lion du cinoche international, son pain quotidien depuis vingt ans ?
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Splendeur des paysages du Kazakhstan, (...) victoire finale de la pulsion de vie sur les idées noires du suicidaire. Une grande maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
C'est d'abord un voyage superbe (...) Mais le scénario tourne avec un peu trop d'ostentation autour d'un mystère. Malgré ces risques de brouillage, on peut prendre un grand plaisir à ce film.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Ouest France
par La rédaction
(...) Volker Schlöndorff ne trouve pas toujours le chemin capable de nous embarquer avec lui sur ces sentiers ardus.
Paris Match
par Christine Haas
(...) malgré la tendresse du cinéaste pour ses personnages, malgré les paysages envoûtants, cette fable contemplative sur l'état du monde manque d'implication émotionnelle pour nous toucher vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Ciné Live
par Arnold
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
A force de jouer la carte du contemplatif, ce film trop long finit par paraitre artificiel, rasoir et dérisoire. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Eithne O'Neill
Une mise en scène classique et maîtrisée (...) Dans Ulzhan rien ne se passe (...) Le film évoque autant l'isolement que le mouvement perpétuel.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
Le voyage initiatique ne trouve jamais son âme au-delà de dialogues "sursignifiants" sur le deuil et la douleur, l'amour perdu et la nécessité de vivre quoi qu'il en soit.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Schlöndorff filme cette odyssée à sa manière, captant l'immensité splendide de cette nature sauvage, (...) sans trouver toutefois sur la durée ce souffle et ce mystère qui nous emporteraient complètement.
Télérama
par Juliette Bénabent
On ne croit pas plus à l'amitié des deux hommes qu'à l'amour passionnel d'une jeune Kazakhe pour ce voyageur improbable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
Le film de Volker Schlöndorff est d'une poésie amère et concrète (...) Un long cheminement douloureux et prenant.
Le Figaroscope
Une aventure intime que Schlöndorff élargit en un vaste poème visuel sur la nature où les hommes ont laissé la trace des goulags ou des centres d'essais nucléaires (...).
MCinéma.com
Un " eastern " moderne réussi (...) La vedette revient bien sûr à Philippe Torreton, à la fois physique, sensible et fragile (...) Côté réalisation, Volker Schlöndorff opte pour une mise en scène classique, mais quasi parfaite (...)
Brazil
Cette femme [Ulzhan] illumine le film de sa simple présence (...) Qu'elle soit ou non à l'image, elle demeure le personnage central du film.
Chronic'art.com
Qu'attendre d'un film de Volker Schlöndorff en 2008 sinon un petit tour de piste de vieux lion du cinoche international, son pain quotidien depuis vingt ans ?
Le Monde
Splendeur des paysages du Kazakhstan, (...) victoire finale de la pulsion de vie sur les idées noires du suicidaire. Une grande maîtrise.
Le Parisien
C'est d'abord un voyage superbe (...) Mais le scénario tourne avec un peu trop d'ostentation autour d'un mystère. Malgré ces risques de brouillage, on peut prendre un grand plaisir à ce film.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Ouest France
(...) Volker Schlöndorff ne trouve pas toujours le chemin capable de nous embarquer avec lui sur ces sentiers ardus.
Paris Match
(...) malgré la tendresse du cinéaste pour ses personnages, malgré les paysages envoûtants, cette fable contemplative sur l'état du monde manque d'implication émotionnelle pour nous toucher vraiment.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Journal du Dimanche
A force de jouer la carte du contemplatif, ce film trop long finit par paraitre artificiel, rasoir et dérisoire. Dommage.
Positif
Une mise en scène classique et maîtrisée (...) Dans Ulzhan rien ne se passe (...) Le film évoque autant l'isolement que le mouvement perpétuel.
Première
Le voyage initiatique ne trouve jamais son âme au-delà de dialogues "sursignifiants" sur le deuil et la douleur, l'amour perdu et la nécessité de vivre quoi qu'il en soit.
TéléCinéObs
Schlöndorff filme cette odyssée à sa manière, captant l'immensité splendide de cette nature sauvage, (...) sans trouver toutefois sur la durée ce souffle et ce mystère qui nous emporteraient complètement.
Télérama
On ne croit pas plus à l'amitié des deux hommes qu'à l'amour passionnel d'une jeune Kazakhe pour ce voyageur improbable.