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    Freddy - Chapitre 7 : Freddy sort de la nuit
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    137 critiques spectateurs

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    Hammerstorm
    Hammerstorm

    69 abonnés 600 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mars 2019
    Cet ultime volet de la saga Freddy n'est clairement pas le meilleur. On a quelques scènes drôles qui sortent du lot mais globalement on ne sort pas des sentiers battus. C'est très similaire aux précédents volets à la différence que le costume de Freddy change et que ce n'est pas une réussite. Les acteurs sont bons, particulièrement la sublime Heather Langekamp. Le personnage du petit garçon est complètement fou, c'est à la fois bien et mauvais parce qu'il y a des moments relativement marquants où cet enfant est vraiment flippant et il y a des moments où il sur-joue très clairement. Sinon c'est toujours les mêmes ficelles, toujours la même chose. Alors ca reste du Freddy, ca reste sympathique mais au bout du septième film, il est temps que ça se termine. 2.5/5
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 janvier 2019
    Freddy (Freddy sort de la nuit

    Analyses et réflexions proposées :

    -Conte et cinéma d'épouvante ou la notion de courage présent dans les contes relié à celui du personnage d' Heather et de son fils = Ici elle doit affronter ses cauchemars, dans les contes les personnages sont confrontés au mal, à une peur qu’il redoute et qu’ils doivent affronter. Le film d’horreur partage avec le conte fantastique plusieurs points communs, nous voyons que si le cinéma d’horreur a su devenir aussi populaire c’est parce qu’il reprend les bases des contes fantastiques populaires = monstres et peurs universelles. (Heather lit à son fils l’histoire d’Hansel et Gretel, ce qui pose aussi la question de l’importance de la transmission et qui explique en partie leur popularité au fil du temps). En outre, le film montre les ficelles des contes populaires remis au gout du jour par le cinéma d’horreur au 20 siècle. Plus largement, il montre aussi la force du cinéma dans sa capacité à renouveler les contes populaires et de les réinventer par le biais de ses propres figures = Freddy. Ici Freddy est l’archétype de la bête = il sert à représenter le mal = le loup, ce passage dans son monde à la fin du film, c’est le passage du chaperon sortant de sa maison et traversant la forêt. Le monde de Freddy représente la forêt, le danger. Dans cette séquence, Dylan symbolise une jeunesse qui doit être vigilante aux apparences, à prendre garde à l’adulte, qui peut s’avérer être une menace pour lui. (Vie en société, Tv, cinéma etc.) En appelant sa mère cela soulève aussi la question de la responsabilité des adultes à protéger la jeunesse de la violence. Ici, Heather, en étant assommée, met en évidence la fragilité du monde adulte, si l’adulte n’interviens pas à temps, la jeunesse sera alors en grand danger. La faculté qui a eu Freddy à emmener Dylan dans son monde symbolise les failles de la société et pose la question de la puissance de la tv et du cinéma à favoriser cette envie de violence et d’expériences dangereuses chez le jeune spectateur. La séquence de fin prouve bien la volonté de poser la question de la puissance des images et de leur impacte sur la jeunesse. Dylan demande à ce que sa mère lui lise l’histoire (le scénario du film), ce qu’elle accepte, elle lui lit le début du scénario ressemblant au début des contes. Cela suggère l’idée que l’enfant à bel est bien besoin de se construire par l’imaginaire, le problème n’étant pas alors la présence des monstres dans ces histoires mais la diffusion d’une violence par le biais des images qui troubles la jeunesse. Ici, il est montré l’utilité des contes et des histoires d’épouvantes dans la construction de l’enfant, l’intrigue du film met en évidence la frontière très mince entre fiction et réalité et y montre la beauté et les dangers des écrans se multipliant dans une société devenue de plus en plus consommatrice d’images = diffusions accrues des clips, des publicités ect favorisant le développement d’un monde illusoire chez les jeunes générations. A noter que le clip vidéo est devenu un outil de consommation de masse dans les 80 = époque à laquelle Heather à tenue le rôle de Nancy pour la première fois, soulignant ainsi une menace qui se développe depuis un certain moment dans les foyers. La cassette vidéo (très présente dans le décor) est le symbole d’un spectacle capté, de la propagation de l’image animée, conséquence de la propagation de la violence exprimée au travers du personnage de Freddy souhaitant sortir du monde des rêves. Les cassettes entreposées dans le bureau de Wes sont mises à côté de plusieurs livres, semblant opposer l’image fixe à l’image en mouvement, le monde animé et le monde des images fixes, un monde plus influençable qu’un autre, plus dangereux pour les esprits les plus sensibles.
    -La notion du revenant et le mythe du croque-mitaine = symboliser par la faille sismique laissant échapper le monstre. Sa présence sera manifestée ensuite de deux façons = par le monde des rêves = cauchemar et vision d’horreur de Heather, de son fils, de son mari. Puis par le monde réel = le monde des technologies = téléphone. Le lien entre ces deux mondes réside dans le fait que la réelle existence du mal n’est clairement pas établie, par les rêves on se demande si ces images sont prémonitoires ou non, par le téléphone on se demande si la voix et bien celle de la personne présupposée être au bout du fil ou celle du monstre (Freddy). Les 30 premières du film programment notre raisonnement = nous savons que Wes Craven joue avec les faux semblants pour créer de l’illusion = Le film aborde la fonction même du cinéma, en exploitant ses origines avec le cinéma de Meliès, inventeur du genre fantastique. Donner l’illusion de la présence du monstre est la clé du film pour susciter la peur, on pourra relever que cette base sera reprise dans la saga Scream du même réalisateur.
    -Le mécanisme de la peur = ne pas tout montrer = réalisateur, ne pas tout voir = spectateur, victime = angoisse. Heather à la morgue est choquée par la vue des lacérations sur le corps de son mari. Le médecin lui dit qu’il est toujours préférable de ne pas tout voir. On donne les ficelles là aussi du mécanisme du film d’horreur et de la peur. Cette volonté de montrer le mécanisme de l’industrie cinématographique du genre horrifique est caractérisé par les scènes où l’on voit le gant lamé de Freddy ressemblant à une vraie machine sophistiquée, les créateurs semblent même avoir des difficultés à contrôler le mécanisme = blessure à la main du mari de Heather.
    -La question de l’impact de la culture populaire à la fin du 20ème siècle.
    -La notion de mythe = Freddy, Robert, Heather (héroïne).
    -La question d’héroïsme au féminin relié au personnage d’Heather qui semble être très populaire = le public souhaite découvrir une nouvelle histoire et la voir malmener par Freddy. Heather, héroïne des temps postmoderne ? ( S'inscrit t-elle dans la même lignée que Jamie Lee Curtis et Neve Campbell ? Cela pose aussi la question du plaisir à revoir des images de violence dans notre société (tv, cinéma etc.) ainsi que de l'évolution du personnage féminin dans le cinéma d'horreur.
    -La question de la folie liée à celle du surnaturel (Ou la question du post modernisme et de la remise en question de la science dans la société postmoderne = méfiance envers la science, elle prétend être plus objective que la religion) = La personne appelant Heather est supposée être un malade, Dylan est diagnostiqué comme étant atteint d’un trouble psychologique (Schizophrénie infantile). Heather a peur d’être prise pour une folle. Le film aborde ce thème pour l’opposer au thème de la possession, une thématique phare du cinéma d’horreur, renvoyant au film de Fredkin, L’Exorciste et exploitant la même dualité entre la science et l’occultisme. Mais ici, il semble que Dylan ne soit pas possédé par un démon mais par une image, ce qui renvoie à la puissance d’un mal qui s’introduit dans la tête de l’individu de façon plus rationnel, ici le monde des esprits c’est le monde des esprits troublés par celui des images et par une société de consommation déstabilisante. Les médecins examinent en réalité le cas d’individu victimes de cette société. Ce n’est pas en réalité Dylan qui est instable mais la société, qui pousse à la consommation et au changement en permanence. Ce mal aise social est fortement exploité dans un autre film abordant le thème de la psychiatrie : Vol au-dessus d’un nid de coucou. La aussi il est montré des individus déstabilisés et diagnostiqués comme victime de troubles mentaux. A noter que nous avons une petite référence à ce film avec la volonté de recracher le médicament donner par l’infirmière de la part du personnage joué par Jack Nicholson et celui de Dylan = symbole du rejet traduisant le fait que le mal se trouve bien ailleurs et que la guérison ne passe pas par les médicaments mais par une prise de conscience des hommes avant tout = La fameuse phrase répété par Dylan : Reste éveillé ne t’endort pas est très significative.
    -La thématique de l’enfermement, de l’invasion, de la solitude = Dylan est envahi par les images de Freddy qu’il a vu à la tv, Heather n’est plus en sécurité chez elle, tous les deux sont dans une impasse très symbolique = le lit = le lieu des rêves. Il ne représente plus une sécurité mais le lieu où se manifeste leur peur. Heather est montrée seul dans le lit, soulignant l’absence de la figure masculine, renforçant ses peurs, elle doit affronter seul la situation. Ils sont tous les deux montrés sur le lit (Celui de Heather, à l’hôpital) pour souligner peut-être cette impasse, tout rentrera dans l’ordre par le rêve, ces deux scènes mettent en évidence qu’il existe de l’espoir, Heather tente de persuader son fils que tant qu’elle sera auprès de lui le monstre ne viendra pas. En évoquant dans la première situation dieu, cela programme la suite = les deux personnages devront être convaincu que le mal peut se combattre, qu’il existe mais qu’il ne se combat que par la conviction que tant qu’ils ne seront ensemble rien ne leur arrivera. Cela fait échos aux histoires d’aventures, où les personnages trouvent leur force dans leur faculté à se souder. Nous pouvons peut-être avoir la question de l’individualisme évoqué (sujet traité depuis la fin des années 40 et la montée de la société de consommation.
    -Le film semble aborder aussi le thème de la consommation et de ses ravages = Que doit-on consommer, la jeune génération est -elle capable de faire la part des choses entre fiction et réalité ? = Cela renvoie au thème de la folie évoquée plus haut. Dans Scream, cela est une thématique importante concernant le personnage de Billy Loomis et de Stuart fan de film d’horreur = victime également d’une société américaine violente où les images de violence sont véhiculées en grande partie par les programmes tv. Cela contraste avec le personnage de Randy, lui aussi amateur de film d’horreur, mais capable de faire la part des choses entre fiction et réalité.
    RealPrime
    RealPrime

    74 abonnés 1 696 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 novembre 2018
    Véritable et seul coup de cœur de la saga emblématique, ce 7ème et ultime volet avant le remake ma directement frappé dès les premières minutes. Je viens de le voir en cette soirée du Mardi 24 janvier 2017 avec mon coffret Blu-ray. spoiler: La première grande scène étant le séisme au cœur de la maison des personnages principaux, le second séismes arrivent par la suite, comme étant le synonyme de l’arrivée sur Terre de Freddy. Ensuite, on voit mais un peu plus tôt, et après le générique du début les toutes premières images de ce dernier volet sous forme des coulisses du tournage d’un volet de Freddy, mais dans le film lui-même et par celles et ceux qui ont fait le volet d’origine.
    A ces moment-là, ma critique fut faite et mes étoiles noté, mais je préférais être sur mes gardes mais tout en étant certains de cette note finale. Ensuite, l’attitude de plus en plus flippante du fils de Heather, jouant son propre rôle, qui au fur et à mesure donc, se fait posséder par Freddy et va lui ouvrir les portes de la Terre, d’où ce nom de « sort de la nuit », car il vient enfin sur Terre et non plus dans les cauchemars. spoiler: Prochaine scène, celle de l’enterrement du mari de Heather, le vent surpuissant qui balaye tous et le fils et la mère emporté dans le cercueil du père, une prise de vue magnifique de l’intérieur du cercueil en question avec l’atmosphère parfaite.
    Encore une avec dans le final, la langue de Freddy géante enveloppant la mère et son fils, gluant, drôle et donc dégueux, toute les émotions passant dans cette scène très courte pourtant. Ce qui me frappe et m’interroge, c’est le costume de Freddy, largement moins réaliste que tous les autres et pourtant, son aspect très déguisement de carnaval ou Halloween le rend presque plus autoritaire, méfiant. Puis l’idée géniale de mettre tous les membres connue de la saga de ce même film, l’actrice principale rejouant son rôle avec son faut père et L’acteur de Freddy puis Wes Graven en personne dans son univers. On comprend qu’ils faisaient tous du vrai et pur cinéma dans les précédents volets, qu’ils jouaient réellement un rôle de fiction et que maintenant, ils sont dans leurs vies quotidiennes. Difficile à décrire à l’écrit tous çà, mais je me comprend à le dire, c'est déjà çà. Enfin décors, effets spéciaux, et la petite musique religieuse sur chaque séquence de stress, impeccable. Cet ultime volet marque le fin d’une époque, d’une grande saga entreprise par Graven, et terminée par lui-même sans que les volets entres eux ne soit dirigés par lui. Une saga ou j’aurais aimé ou détesté certains volets, heu non, un seul volet en vérité, le 2, mais très heureux de le avoir tous vu, et de pouvoir, dans les mois ou années à venir, tous les revoir.
    Gregg S.
    Gregg S.

    19 abonnés 362 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 novembre 2018
    Une superbe mise en abîme qui permet de rescuciter le mythe après le décevant 6eme volet. Un film qui, même s'il est trop bavard et manque de rythme dans sa première partie, amène la saga dans un cycle intéressant. Quand l'auteur original se reaproprie son œuvre, cela donne forcement lieu a une bonne dose de nostalgie (et on en redemande).
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 septembre 2018
    Entre fiction et réalité, ce film documentaire sous forme de making-of est un bonus spécial anniversaire concocté par Wes Craven pour ses Fans de la première heure et de Freddy Krueger.
    On l’attendait Wes, depuis « Les Griffes de la nuit (1984) » 10 après il reprend les commandes comme une dernière fois.. comme un adieu à la franchise qu’il a personnellement créé et invité.
    On retrouve Heather Langenkamp, Robert Englund, John Saxon, Wes Craven dans le scénario, c’est original, bien pensé et surtout bien exécuté.
    La réalisation est propre, fini la comédie des autres Freddy (2,4,5,6) ça redevient enfin sérieux, ambitieux, pas terrifiant mais une ambiance pesante à la limite de l’angoisse, on ressent la maîtrise du Maître de l’Horreur.
    Malheureusement le Freddy s’est essoufflé, y’en à eu tellement que personnellement j’accroche moins, je suis plus autant captivé.
    Si seulement il n’y avait pas eu autant de daube, le 1, 3 et 7, se suffisent à eux-mêmes, on aurait eu le droit à une trilogie de très bonne qualité.
    C’est comme ça, comme « Vendredi 13 - Halloween.. » et tant d’autres_ :,(
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur

    15 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 septembre 2018
    Après plusieurs daubes innommables et honteuses qui avaient presque enterré la franchise, son créateur, Wes Craven, décide de reprendre les commandes pour nous livrer un ultime opus, à la fois décalé et angoissant…comme au bon vieux temps. Il ne se contente pas de réanimer le personnage de Freddy à travers une nouvelle série de meurtres, mais choisit d’insérer l’intrigue dans sa propre vie, comme une mise en abyme au croisement de la fiction et de la réalité. Ce procédé au départ déroutant est très efficace et original, il offre une nouvelle jeunesse au croquemitaine et permet de faire renaître une saga qui avait besoin d’un dernier épisode de qualité pour faire oublier les erreurs de parcours. On retrouve avec beaucoup de plaisir Heather Langenkamp et Robert Englund, les personnages à l’origine du premier film, ainsi que tout le reste de l'équipe du premier Elm Street dans leur quotidien de tous les jours. En fait, ce film s’adresse surtout aux fans de la franchise, Wes Craven a voulu leur offrir un beau dernier épisode en reprenant tous les protagonistes du premier et en insérant Freddy dans leur vie de tous les jours. Alors certes, le film perd en intensité et en frisson, mais les fans ne pourront que l’apprécier et remercier le réalisateur d’avoir arrêter le massacre des suites ratées en mettant fin à la saga de la plus belle des manières.
    Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 juillet 2019
    Un film sympa mais je suis fortement déçu que Nancy ne soit plus Nancy etc... c est plutôt un film documentaire avec des péripéties du côté de l enfant de Heater (Nancy) déçu de l aspect un film dans un film car avec les 6fims précédents on était vraiment dans l immerison et on commençait à se dire que c était réel bref le film casse toute l histoire mais il est sympa et il se laisse regarder sans problème
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 juin 2018
    Pour moi le meilleur Freddy . On y retrouve un vrai film digne du cinéma d horreur d Hollywood des années 90.
    À voir sans modération pour les fans de la serie
    raphaelK
    raphaelK

    16 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 octobre 2017
    Pour l'occasion, le look du monstre a un peu changé, ses lames par exemple ne sont plus accrochées à un gant mais sont une prolongation de sa main. Sous son apparence de grand brûlé, Freddy est plutôt apparenté à un incube, ce qui volontairement ou non rejoint le thème du sixième film.

    Freddy sort de la nuit est un peu La nuit américaine version gore. Craven reprendra le thème du tournage qui dérape dans Scream 3.
    Bryan V.
    Bryan V.

    67 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2018
    🎬 FREDDY CHAPITRE 7 : FREDDY SORT DE LA NUIT _ [1994] 🎬

    _APPRÉCIATION ; 🔵🔵 (8/10

    _Avis Bref ;
    Le dernier de la saga avant le remake et le combat des deux légendes. On retrouvera notre Nancy qui aurait désormais construit sa vie, Freddy n'aura été qu'un film dans le film. Pour le coup ce chapitre est assez surprenant dans la saga et en fait un des meilleurs. Après le sixième (le précédent) qui était le plus que mauvais celui-ci rattrape vraiment les dégâts causés. J'ai pris grand plaisir à retrouver notre Freddy mais encore plus Nancy !
    Enfin bref, Excellent chapitre pour clore les tous.

    _SYNOPSIS ;
    Comment le monstre griffu, Freddy, va rattraper ses concepteurs qui pensaient en avoir fini avec lui et leur donner la frousse de leur vie.

    _BANDE ANNONCE :
    https://www.youtube.com/watch?v=flLQj9y2Ne4
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    Dix ans après l'un des plus légendaires slashers de tout les temps (Les Griffes de la nuit), Wes Craven tente un come-back alors que sa saga est au fond du trou après deux opus catastrophiques, mais "le maître de l'horreur" a une idée... Un film dans un film ! Cela peut sembler alléchant comme concept, mais malheureusement le résultat est loin d'être satisfaisant... La première moitié du film est beaucoup trop mollassonne, puis Freddy ne fait que trop peu d'apparitions et la fin ne nous laisse qu'un goût amer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 janvier 2017
    Retour du Maître Craven sur la série créée par ses soins. Autant dire qu'après 5 suites aux Griffes de la Nuit, tournées en 6 ans à peine (!), la tâche était dure pour relancer ce bon vieux Freddy mainte fois tué. Que faire...Wes Craven trouva le concept du film dans le film ! Comme souvent Craven est hué à la sortie de ces films..et hissé au rang de génie quelques temps après. Ce film en est la preuve. Il est dédié à tous les vrais fans de la saga. Rien que pour revoir John Saxon ça vaut la coup !
    Roy R.
    Roy R.

    16 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2016
    Ce film n'est pas terrible, déjà voir un film dans le film c'est pas mon délire, ensuite c'est le plus long des films de Freddy avec 1h40 soit 10-15 min de plus que les précédents et on ne voit que 2 meurtres au total, et encore on peut même dire un seul parce que le 1er on voit rien. J'ai rarement vu un film d'horreur avec si peu de mort, encore ça ferait peur et serait angoissant ça aurait été pas grave, mais c'est même pas effrayant... Globalement déçu de la saga Freddy! Pourtant je l'imaginais tellement mieux, peut-être un peu trop. Le 1 est le meilleur, le 3 est excellent aussi, le reste c'est moyen, voire mauvais. 2/5
    Roub E.
    Roub E.

    888 abonnés 4 939 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 décembre 2020
    Une excellente idée de départ mais un film qui s'effondre au fur et à mesure. Wes Craven reprend du service derrière (et devant) la caméra pour filmer sa créature une dernière fois. L'idée du film dans le film est excellente, les questions qu'il pose sur l'influence de cette création auprès du public mais surtout auprès de l'auteur lui même et des acteurs qui ont donné vie à son cauchemar seraient passionnantes à suivre. Seulement il donne rapidement l'impression de ne pas savoir où il va avec son récit, les effets spéciaux sont loupés, il y a des problèmes de rythme et de ton. Comme pour le scénario qui semble naviguer à vue, on oscille entre comédie horrifique et film d'horreur mais sans réussir aucun des aspects. Un vrai pétard mouillé et c'est bien dommage.
    scalpa_spirit
    scalpa_spirit

    9 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 janvier 2016
    Pas fabuleux manque de gore et d'effets comme de moments vraiment interessants, un peu ennuyeux je trouve qu'il n'est pas réussi et limite trop grand manque de créativité.

    Certains aimeront mais il ne faut pas être trop difficile.
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