Avis : Wall-E - Page 7

Du rire aux larmes, une heure quarante d’émotions « futuriste & robotique » que l’on doit au tandem Disney/Pixar. Un an seulement après le mémorable Ratatouille, les Studios d’animation Pixar se surpasse une fois de plus en nous concoctant une histoire d’amour entre deux robots, l’un obsolète, l’autre ultra moderne.
WALL-E est un film atypique car d’une part, il y a très peu de dialogue (seul le Vocoder est utilisé afin de créer un langage entre les robots), si bien qu’en compensation, le film possède une B.O incroyablement séduisante et tout un panel de bruits électroniques savamment utilisé (que l’on doit à Ben Burtt).
Là où le film surprend le plus, c’est dans l’étonnant assemblage entre l’animation et le live. En effet, le film n’est pas seulement fait d’animation, il contient aussi des images en prises de vues réelles, à la fois déroutant (c’est une première chez Pixar), on finit par s’y habituer relativement vite.
WALL-E prouve que Pixar cherche à se démarquer de ses concurrents, d’une beauté visuelle indiscutable, on adhère dès le début et on regrette que cela se termine si vite. Une belle histoire qui se veut aussi être un brûlot sur le monde d’aujourd’hui et sur ce qu’il nous réserve demain (l’avenir de notre planète à travers l’écologie et la robotisation, qui, à force de tout faire à notre place, finit par nous abrutir et nous transforme en loque humaine à force de ne plus lever le petit doigt). On appréciera aussi le clin d’œil à Stanley Kubrick (2001 : L'Odyssée de l'espace - 1968).
WALL-E est une œuvre touchante, drôle et surprenante.

LE bijou des studios Pixar. Un chef d'œuvre. Dès la première demi-heure, on sait qu'on est en présence d'un événement cinématographique. En effet, durant ce laps de temps, le film est quasiment muet et pourtant a déjà tant dit. Il est incroyable de faire passer de telles émotions sans le moindre mot. Une atmosphère fascinante, renforcée par des images à couper le souffle. Les plans époustouflants de vision de l'espace se font légion. C'est visuellement un pur régal. Wall-E impressionne également par le propos extrêmement sérieux qu'il développe. Il livre un regard à la fois pessimiste et réaliste sur le futur de notre planète, représentée comme ravagée par la pollution. Il en profite également pour dresser le portrait de l'Homme qui s'est fait déshumaniser par la machine. Et c'est à travers ce message écologique puissant et cet avertissement sur les limites de la technologie que Wall-E trouve toiture sa force. C'est beau, sans dégouliner de bon sentiments. Le mélange entre humour, aventure et émotions est parfaitement dosé. On est littéralement captivé d'un bout à l'autre du film, alternant rires et scènes nous tirant les larmes des yeux. La relation entre Wall-E et Eve paraît tellement juste qu'on se prend réellement d'affection pour un couple de robots. En plus de tout cela, Wall-E se permet de délivrer un bel hommage aux vieux films muets, aux films chantants et surtout au monument de la science-fiction 2001 : L'Odyssée de l'Espace. Les studios délivre leur film le plus abouti et le plus adulte. À travers une vision sombre de l'avenir de la Terre, Wall-E arrive pourtant à prodiguer un message d'espoir. Un classique instantané. LE meilleur film d'animation qu'il m'ait été donné de voir.

Wall-E !! 9ieme long-métrage d'animation Pixar !! Après avoir visité les fonds marins dans Némo, c'est au tour du grand cosmos d'être exploré ! Le film se déroule en deux partie, une qui a des allures de film muet et l'autre un peu plus aventure. Bizarrement, le film aurait pu être comme la première partie et ça aurait été très bien, pas que la seconde est nul mais là dedans, les sentiments y sont moindre.

Wall-E : Robot éboueur qui a pour mission de nettoyer la planète Terre qui est encombré à ras-bord de déchets et d'ordures. Après des centaines d'années, ses coéquipiers se désactivent un à un pour faire de Wall-E, la dernière forme de vie sur Terre. Cette solitude a créé chez lui des émotions et surtout de la contemplation pour tous types d'objet humain, il suffit de voir son camion avec tous le bazar qu'il a accumulé. Mais cette solitude ne l'empêche pas de continuer son travail, un travail colossal. Wall-E est un robot extrêmement curieux et lorsqu'une nouvelle machine arrive dans son champs de vision, il va davantage être attiré par ce que l'on nomme : L'amour !

Eve : Sonde spatiale envoyée sur Terre pour trouver la moindre trace d'organisme vivant prouvant que la vie est de nouveau possible, et doublé par Marie-Eugénie Méréchal, qui l'eu cru. Elle aussi se concentre uniquement sur sa mission et de manière plus sérieuse et radicale. C'est en rencontrant Wall-E qu'elle va développer sa propre curiosité mais la mission avant tout.

Ce duo possède une alchimie assez spéciale, l'un est un robot rouillé jusqu'au chenille et l'autre est d'une technologie plus avancée. Ne parlant pas ou alors prononçant certains sons et quelques mots, seuls les gestes comptent ici et si le coeur se mesurait à la bravoure des faits, Wall-E en a un très gros sous le capot. Protégeant Eve de toutes les intempéries alors qu'elle est inactive et allant jusqu'à la poursuivre dans l'espace, ce robot mérite amplement toutes l'intention et l'amour d'Eve. Cette romance est certes romantique mais avant tout assez mignonne. Wall-E déjà est assez mignon et très expressif pour un robot (il a des airs de Baymax) et donc le voir essayer d'impressionner Eve tout en se finissant en gamelle, c'est assez drôle et mignon. Aussi je dois ajouter que c'est pas exactement un coup de foudre, Wall-E a vécu en écoutant en boucle et en boucle une même chanson qui parle d'amour, comme il est curieux, il veut vivre cette même histoire.

Si la première partie installe les bases de ce futur apocalyptique et la relation Wall-E/Eve, la deuxième est axé plus aventure. Même s'il y a moins d'émotions, l'humour est toujours là avec les autres robots que se soit M-O et sa manie de tout nettoyer ou Burn-E et son petit salut. Aussi, nous voyons ce que les humains sont devenus : littéralement des grosses boules de graisse ! Dépendant de la technologie durant 700 ans, l'humanité n'est plus qu'un tas de graisse ne savant même plus marcher.

On peut y voir un message sur la surproduction et la surconsommation, il suffit de voir l'immense poubelle qu'est la Terre pour s'apercevoir des conséquences surtout que ça vient d'une seule multinationale : BNL (Buy N Large). Ce message pronant aussi l'écologie est dites de manière subtile sans nous forcer la main en disant à tout bout de champ "Trier vos déchet", etc. Non, on le voit et c'est suffisant. Il y a aussi une pseudo prévention face aux GSM, on a tout le temps les yeux rivé sur ça qu'on ne voit pas le monde qui nous entoure et nous empêche de faire de nouvelle connaissance. Si même les humains ne sont plus que des gros patapouf, il y a au moins un qui tente de redécouvrir sa chère patrie, le commandant de l'Axiom doublé par l'excellent Emmanuel Jacomy (il adore les commandants lui, déjà avec Phoebus).

Concernant le antagoniste, Auto, il est pas tellement coupable puisqu'il ne fait qu'appliquer la procédure. Contrairement aux autres robots, il est complètement déshumanisé et ça se voix par sa voix monotone sans émotions.

Animation : Bon, la perfection est déjà assuré mai là où j'adore, c'est vraiment dans l'animation de Wall-E. Il a tellement de fonctionnalités et d'option que ça ouvre un large panel de petits mouvements exprimant plus de chose qu'un simple visage. Il y a aussi le design qui entre enjeux, que ce soit les héros et les autres robots.

Musique : Ce que je retiendrai c'est les musiques assez répétés, mignon pour les courses-poursuite de robot, les musiques douces lors des danses romantiques comme celle des tourtereaux à travers les réacteurs. Une magnifique BO !

Décors: Alors ça envois du paté ! Entre une Terre apocalyptique, désertique et chaotique, des tours de déchets dépassant les grattes-ciels, la caverne aux merveilles aux merveilles de Wall-E regorgant de détail en tout genre, le cosmos dans toutes sa splendeur et l'originalité de la technologie de l'Axiom. C'est juste une pépite ! Aussi, on est impressionné par le gigantisme des décors surtout en ce qui concerne l'Axiom. Et la transition entre la rouille (super réaliste) et le lisse moderne est assez bien faite par le petite voyage spatiale qui fait un vide sur ce qu'on a vu et nous prépare donc à un nouvel environnement.

Emotions : Comme un film muet, les mots ne sont pas les plus importants mais no actes. Voir Wall-E risquer sa propre vie alors que ce n'est pas sa mission, c'est juste beau à en pleurer !

Avis Personnel : J'aime beaucoup le générique de fin avec les différents styles d'art évoluant dans le temps comme si l'histoire se reconstruisait.

Conclusion : Une magnifique aventure que nul mot ne pourrait décrire !

superbe pixar, le message est très beau, et l'animation est... parfaite, d'accord, un tout petit peu de mal à décoller au début, mais une fois les 10 premières minutes passées, on se laisse facilement emportés...

D'abord un grand merci pour se film,

Il s'agit la d'un film d'une grande finesse avec une première partie sans dialogue mais tout en profondeur, qui se révèle être pure merveille d'humour d'humanité et de tendresse. Techniquement et esthétiquement, Wall-E est richissime. Un scénario humoristique, anti-commercial intelligent et compréhensible par tous, jusqu'aux yeux des adultes cinéphiles.
Wall-E est inspiré, poétique, et vraiment très touchant, avec une réalisation d'une beauté à couper le souffle.

Je conseil Fortement.

Wall E, 2008, film d’animation du studio Pixar, de Andrew Stanton, sons de Ben Burtt. Ce qui est génial dans Wall E, c’est ce qu’il y a juste avant et ce qui se passe juste après. Juste avant, les spectateurs ont droit à un véritable petit bijou, digne de la grande époque de Tex Avery :un (trop) court dessin animé, bourré d’inventions, plein de drôlerie, qui raconte les mésaventures d’un prestidigitateur avec son lapin à forte personnalité, posant des conditions pour entrer dans le chapeau. Hilarant, et moral, en plus. Juste après, on quitte le cinéma où l’on s’est ennuyé ferme devant un film d’animation encensé par la critique, lent, long, souffrant d’une débauche de sons et de mouvements qui relèvent de prouesses techniques, sans doute, mais n’apportent rien à une histoire sans intérêt. Soyons honnêtes : le premier quart d’heure offre des images sympathiques d’un petit robot besogneux chargé de nettoyer une terre poubelle abandonnée des hommes. Il crée son propre univers dans un vieux camion, écoute Louis Armstrong, copine avec un cafard et tombe amoureux d’une robote sexy comme un Ipod, venue d’une autre galaxie, pour suivre l’avancement du traitement des déchets sur la planète. Pas encore de quoi désespérer de la puissance créative qui nous avait déjà concocté les mièvreries du Monde de Némo. Mais quand la robote est remballée dans son vaisseau spatial et que Wall E gémit des Eêêve à n’en plus pouvoir, les choses se gâtent vite. Tout ce qui se passe dans la station spatiale, où les terriens font du gras (et même encore des gosses !) depuis 700 ans…est ennuyeux, laid, vide de sens, et on réalise qu’il n’y a aucun scénario derrière le film. J’ai mal saisi le « message écolo » qui devrait, parait-il être délivré, comme un bonus avec le produit : les grosses larves, nos descendants aux airs béats, reviennent sur terre planter des végétaux sur des monceaux de déchets. Beurk

Qualité des visuels impressionnante mais l'histoire tient sur un ticket de cinéma. Qq allusions à 2001, l'Odyssée de l'Espace pour les plus grands. Les plus jeunes s'ennuyaient ferme également. Un comble pour un film Disney. La bonne presse a sans doute saluer l'effort des célèbres studios à critiquer la société de consommation. That's all !

Vous cherchez un chef d'oeuvre de Pixar ? Wall-E vous comblera probablement. Ce film d'animation est purement merveilleux à regarder. On ne compte pas les messages adressés aux adultes et aux enfants : amour, la protection de l'environnement, entraide, la nécessité d'effectuer des activités physiques régulières...
On profite de chaque plan car la mise en scène est extrêmement travaillée et riche en couleurs et détails.
Bref : On en redemande !

Pixar touche à tout : l'univers des jouets, des monstres, de l'automobile, aquatique etc…
Cette fois-ci le studio nous plonge dans un univers post-apocalyptique où vit WALL•E, un des robot charger de nettoyer la terre après le départ des humains. Celui-ci reçoit alors la visite d'EVE dont il tombe amoureux ( la magie Pixar fonctionne parfaitement puisqu'on rentre totallement dans cette histoire d'amour ). Ceux-ci deviennnent d'ailleurs très vite attachants mais le film perd un peu de son charme quand commence la 2ème partie [ celle où spoiler: l'on découvre la population terrestre dans le vaisseau
]. Le film devient alors une course poursuite où notre héros tente de sauver sa bien aimée.
Ce film reste quand même un très beau film d'Andrew Stanton, le papa de Nemo, et le message pro-écolo qu'il véhicule est pertinent. Un magnifique film d'animation qui plaira aux adultes comme aux enfants. Merci Pixar !

Un excellent disney pixar de plus! Un film destiné à tout les âges, pleins de messages positifs!

Dernier bijou des studios Pixar, "Wall-E" est une petite merveille! Premièrement, il faut avouer que le niveau visuel de l'animation est parfait et magnifique! Et qui ne tomberais pas sous le charme de cette mignonne histoire d'amour entre deux robots? Wall-E personnifie magistralement l'homme timide terriblement amoureux et prêt à tout pour la femme qu'il aime, même si cette dernière n'est composée que de réseaux électriques et de plastique...
Le film contient énormément de clins d'oeil, ou de références, à "2001, l'Odyssée de l'Espace" de Stanley Kubrick, que ce soit quelques musiques, ou l'oeil de l'auto-pilote de l'AXIOM qui ressemble fort HAL 9000, l'ordinateur de bord dans le film de Kubrick. HAL est également le nom du cafard qui accompagne Wall-E.
J'ai également beaucoup aimé la vision du futur des hommes, totalement dépendants des machines, ne sachant presque plus marcher et étant tous obèses! Finalement, le message écologique que véhicule le film passe plutôt bien ( en tout cas mieux que dans "Le Jour Où La Terre S'Arrêta" ) et on attend la suite avec impatience de la part de Pixar!

Comment bien définir ce film? Tout simplement...magique, éblouissant de réalité et d'"amour", j'ai adoré! Le personnage principal, Wall-E, est vraiment intéréssant, il capte notre attention dès le début, il est, disons, "adorable, mignon"; après ses 700 ans sur terre, il continue de travavailler avec acharnement pour la nettoyer, tout en se forgeant une personnalité et un caractère, il a une "maison" et il y entrepose tout ses petits secrets. On a envie de le connaître, on est fascinés par sa sensibilité...
Sa vie est ensuite bouleversée par l'arrivée d'un autre robot, Eve, dont il tombe amoureux. Ses tentatives de rapprochement donnent lieu à des scènes très drôles, et on s'attache encore plus à ces petits personnages. Il la suit alors, jusque dans l'espace, et on découvre avec amusement, mais aussi un peu d'effarement, ce qui pourrait nous arriver si nous continuons de polluer la planète. Grâce à l'intrusion de Wall-E, le capitaine du vaisseau spatial va (enfin) se rendre compte qu'il est temps de rentrer sur Terre. Un bon rythme, des personnages hauts en couleurs, très forts et uniques, et une superbe musique. Une fin quand même prévisible, mais un super film, pour tout âge, et avec une histoire vraiment originale, qui remet en cause la situation actuelle de la planète, en nous faisant passer un message d'espoir. A voir!

Pixar et les émotions, Tome 9. Combien de films ose pareille prise de risque ? Un long métrage d'animation sans dialogues sur une tel durée ( notamment sur le début ) est un véritable coup de maître ! Les personnages sont eux aussi incroyables en premier lieu les deux petits robots, héros malgré eux. Wall-E et Ève forment un duo attachant, véritable coup de cœur. Un chef d'oeuvre qui traite de maintes et maintes sujet, pour petit et grand.

WALL.E (2008): Une Terre abandonnée des hommes, faite de paysages prouvant les négligences du passé. Une planète devenue un lieu paradisiaque pour un petit robot resté seul. Son nom: WALL.E, sa fonction: collecteur d'ordures. L'homme, toujours à la recherche d'une vie idéale, aura choisi un autre comportement, évitera de reproduire les mêmes erreurs pour en commettre d'autres. Un film d'animation essentiellement visuel, où la bande-son aura un rôle majeur pour égayer cette atmosphère hyperréaliste aux messages écologiques. Une science-fiction montrant une humanité à la dérive, aveuglée par son modernisme, par sa soif de la surabondance. Un scénario distrayant, amusant, plaisant, qui n'oubliera pas de saluer Monsieur Stanley Kubrick (clin d'œil à 2001 l'Odyssée de l'espace). Un film riche en prouesses techniques, pour petits et grands.

Jamais déçu par un Pixar, et Wall-E suit toujours cette droite lignée. Une véritable fontaine de sentiments à travers des robots qui se diffuse progressivement à travers tout le film. Un réel divertissement qui nous offre aussi une leçon sur ce qui pourrait être le futur de l'homme s'il se laissait faire. Même si cela reste exagéré et que ce n'est qu'un film, on ne peut rester indifférent devant un tel chef-d'œuvre. Après Nemo, Andrew Stanton nous signe une œuvre magistrale, et en plus, Wall-E à lui seul fait tout le charme du film. Vivement 2009 pour le prochain.