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    Wall-E
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    2 487 critiques spectateurs

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    SpiderGogo
    SpiderGogo

    46 abonnés 108 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 juillet 2014
    Wall-E est un film d'animation extraordinaire! Un bijoux de poésie et d'innovation avec ses musiques magnifiques,ses personnages attachants et sa très bonne histoire. Pixar nous livre ici l'un de ses meilleurs films. Une perle!
    Le Bazar
    Le Bazar

    24 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 mai 2020
    Ce film est juste un chef d'oeuvre pour les enfants et adultes.
    Elle nous fait comprendre l'impact de la technologie et de la planète avec l'homme.
    Le robot wall-e est trop mignon.

    En résumé : A voir absolument si vous aimer les robots et l'écologie !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 avril 2012
    LE bijou des studios Pixar, le plus mature, le plus beau visuellement, et dont le scénar n'a rien à envier aux autres merveilles de la SF. La plus grande réussite de ce film sont les 40 premières minutes, totalement dénuées de paroles, et qui arrivent pourtant, grâce à leur style graphique inventif, à faire passer tant de choses, et surtout durant lesquelles Pixar arrive encore une fois a donner des sentiments et des émotions à des êtres inanimés, ce qui est devenu sa spécialité. Le petit robot symbolise à lui seul l'espoir, l'amour, le dernier vestige d'une civilisation détruite. Au niveau visuel, les studios ont l'occasion de montrer encore une fois leurs avancées depuis Cars où la shaky cam était déjà un peu utilisée. Ici, ce sont des mises au point, des caméras subjectives,... qui renforcent encore le réalisme du film. Et puis surtout, ses idées qui le rendent définitivement à part dans ce style d'animation destiné initialement aux enfants. Avec ce film, les studios affirment leur indépendance "éditoriale" deux ans après leur rachat par le géant Disney. Il est beaucoup plus politisé que les précédents films du studio, avec toutes les idées écologistes, et très critique envers la société de consommation, la technologie qui phagocyte la société, l’annihilation de la pensée par la pub, le sacrifice de notre planète,... égrenées de manière habile à chaque instant du film, tout en restant très léger et poétique. Après s'être imposé comme le poids lourd de l'animation, Pixar prenait avec Wall E encore plus de hauteur par rapport à la concurrence en devenant encore plus référencé, encore plus pointu. Une oeuvre d'art où chaque image est précieuse, exprime une idée. Une conception idéale du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 février 2010
    JUSTE UN PETIT CHEF D OEUVRE D ANIMATION A VOIR!!
    stebbins
    stebbins

    502 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 juillet 2008
    J'ai longtemps hésité avant d'écrire cette critique car je me disais que je risquais de passer pour un rabat-joie... Qu'importe ! Les studios Pixar nous livrent une nouvelle fois un film d'animation surfait, dégoulinant de bons sentiments et aux références systématiques ( le Beau Danube Bleu en musique de fond, ça commence à bien faire ! ). Le personnage de Wall-E est insupportable avec sa petite voix perçante, on a bel et bien envie de le claquer. Le film se veut engagé et novateur : plaidoyer pour la sauvegarde de l'environnement d'un côté, dispositif quasiment muet de l'autre. Fausse valeur à mon avis : si les intentions sont louables, le résultat demeure virtuel. Quant à la rareté des dialogues, on a déjà vu ce choix de mise en scène mieux exploité ( rappelons nous du film de Sylvain Chomet : Les Triplettes de Belleville ). Même si ma critique est sévère, je dois reconnaître le travail important qu'a suscité le projet des studios Pixar. Simplement, je déteste ce genre de films pour les raisons citées ci-dessus. De toute façon, Wall-E risque de faire l'unanimité, alors...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 13 septembre 2017
    Couvert de lauriers par la critique internationale, élu en 2009 meilleur film d’animation par la triade consensuelle Oscars / Golden Globes / BAFTA, et même récompensé par les Grammy pour la scie « Down to Earth » de Peter Gabriel, « WALL-E » demeure pourtant l’illustration la plus frustrante des dégâts causés par le rachat de Pixar par Disney en 2006.

    Le studio d’animation n’a bien évidemment rien perdu de sa maestria graphique. De nombreux plans sont splendides, particulièrement dans la séquence d’ouverture qui montre l’activité du robot nettoyeur dans une terre devenue un gigantesque dépotoir, abandonné des humains. Ces dix-sept minutes sans le moindre dialogue offrent un plaisir purement visuel assez réjouissant et la matière d’un grand film d’animation semble en germe ici. Le design des personnages, fortement inspiré de « Appelez-moi Johnny 5 » pour WALL-E, un peu Storm Trooper sur les bords pour Eve, s’avère malin et probablement très efficace sur les bambins. spoiler: Une autre réussite, souvent relevée, est le générique de fin qui esquisse une sorte d’histoire de l’art en accéléré (peintures rupestres, hiéroglyphes, mosaïques, pointillisme, impressionnisme, pastiches de Turner et Van Gogh…) pour se finir ironiquement sur un hommage au pixel art.


    Cependant, ces réussites techniques et visuelles ne sauraient masquer un scénario guère cohérent, bâti à l’avenant. Après la séquence d’ouverture contemplative, se succèdent une série de sketches comiques qui auraient pu fournir la matière de courts-métrages plaisants. D’aucuns ont comparé le robot gaffeur, maladroit auprès de sa belle, à Buster Keaton. Mais loin du burlesque millimétré de « l’homme qui ne rit jamais », nous assistons plutôt aux farces les plus désopilantes du Chaplin tardif, tout en gadins et mimiques forcées. spoiler: Suite à ces dix minutes d’errance, l’enjeu narratif qui est tout de même la mission d’Eve (rapporter à bord du vaisseau spatial « Axiom » une plante afin de prouver la possibilité d’une vie sur Terre) se trouve confondu et brouillé avec un « save the princess » des plus convenus. Les deux lignes narratives se superposent sans jamais se mêler, et le scénario se trouve bien empêtré jusqu’à la fin de la première heure de film dans cette romance sentimentale entre robots. Certes, la découverte de l’« Axiom », son fonctionnement interne, son humanité avachie dans des fauteuils volants et lobotomisée par des spots publicitaires, s’avère plutôt bien campée. Mais que dire de ce ballet amoureux dans l’espace rythmé par le « pschittt » d’un extincteur et de ces multiples fausses-morts de WALL-E pour revigorer un intérêt dramatique déjà bien mis à mal ? C’est lorsque la parade de séduction est reléguée au second plan que l’intrigue s’accélère et offre avec la mutinerie des robots, la prise de contrôle du vaisseau par AUTO, et la résistance du Capitaine un finale plutôt correct. Plutôt correct, oui, à condition évidemment d’oublier les cinq dernières minutes qui lorgnent vers le tire-larmes le plus éhonté…


    Ainsi, en plus d’un bidouillage scénaristique assez déroutant, « WALL-E » pêche par le ton choisi, et c’est ici que l’influence de Disney commence à faire mal. Une défense assez facile serait de se retrancher derrière l’argument : « oh, mais c’est un film pour enfants avant tout ». Cet argument ne fonctionne pas à deux égards. Tout d’abord, il ne me semble plus possible d’adopter ce ton condescendant dans les œuvres pour enfants depuis « la leçon Lewis Carroll » au 19° siècle. « Alice au pays des merveilles » est en effet un conte captivant car l’auteur se situe réellement dans un imaginaire enfantin, fondé sur une logique propre et déroutante, mâtinée de « non-sense » et d’authentique fantaisie, parfois même de licence scandaleuse. L’animation japonaise, par exemple, a très bien assimilé cette leçon depuis les années 80, quand « WALL-E » se fourvoie encore en 2008 en proposant un film d’adultes, avec une logique et une morale édulcorées censées être convenables pour les gamins.

    L’argument susmentionné achoppe également sur le syntagme « avant tout ». Il est devenu en effet convenu de deviner en chaque production Pixar ou Disney une profondeur insondable, une grille de lecture multiple qui semble la destiner aussi bien aux enfants qu’aux adultes. Ah ! ce brave Bruno Bettelheim a fait bien du mal à nos esprits… Il est évident que les références culturelles semées dans « WALL-E » peuvent réjouir un public cultivé et cinéphile. spoiler: Mais le tyran AUTO dont l’œil rouge évoque immanquablement HAL-9000 dans « 2001, l’odyssée de l’espace », les diverses geekeries starwarsiennes et startrekiennes, la voix de Sigourney Weaver qui résonne dans le vaisseau, la pléthore d’autoréférences aux productions Pixar antérieures dans la caverne d’Ali Baba de WALL-E, se posent cependant sur le film comme de grosses balises, procurant un plaisir fugace et en définitive assez vain.
    Ici, c’est à Tarantino et à tout ce cinéma référentiel puis simplement autoréférentiel qu’il faudrait s’en prendre…

    Un autre tribut donné aux adultes pour se dédouaner du plaisir coupable de se vautrer devant un dessin animé serait la richesse thématique du propos. Presque toutes les critiques voient en ce film d’animation une « fable écologique ». Mouais… spoiler: La terre est certes un immense dépotoir, mais lorsque le Capitaine commence à prendre conscience de la nécessité d’un retour sur Terre, en zappant sur une sorte de Wikipédia interactif (nouvelle référence, au « Cinquième élément » cette fois-ci), il dérive bien vite du mot « terre » au mot « danse ».
    Ce qui est en jeu ici, et d’autres plans le prouvent, c’est donc davantage une ode au dynamisme américain, à sa capacité de mobilisation, de colonisation et de sauvetage du monde, qu’un réel volontarisme écologique. « This land is your land, this land is my land / From California to the New York Island / From the Redwood Forest to the Gulf Stream waters /This land was made for you and me. » Cet esprit pionnier n’aurait en somme rien de déplaisant, s’il ne se camouflait derrière une fausse conscience vaguement coupable et culpabilisante.

    « WALL-E » est en définitive une sorte de cadeau empoisonné, un emballage splendide esthétiquement, pour un contenu dégoulinant de bons sentiments, fondé toujours sur l’éternel amour, condescendant pour le public juvénile, et attestant d’une vision du monde simpliste et gênante à divers égards. La tendance ne fera que se confirmer par la suite chez Pixar, jusqu’au scandaleux « Vice-Versa »… Mon dieu, pour une véritable fable écologique, pour des nuances, regardez plutôt Miyazaki !
    Maqroll
    Maqroll

    158 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 juin 2009
    J’avoue que j’ai toujours détesté le cinéma d’animation : ces images froides me laissent de marbre. Mais j’avais entendu tellement du bien de ce film que j’ai voulu passer outre… Quel navet ! Comparé à ça, Le Livre de la jungle est un chef d’œuvre ! Plus sérieusement, l’histoire est bête et lénifiante, les dessins laids et les couleurs criardes. Quant au propos, mieux vaut ne pas en parler sinon pour dire que c’est un honteux produit de consommation démagogique et parfaitement bien pensant qui affiche tout autre chose… Ne vous laissez surtout pas prendre !
    Sylvain P
    Sylvain P

    338 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 août 2008
    Et un chef d'oeuvre de plus pour les studios Pixar! C'est à se demander s'ils s'arrêteront un jour. Jamais film d'animation n'a été si exigeant. Quasiment muet, baignant dans une atmosphère mi-inquiétante, mi-comique, Wall-E est un vrai film d'auteur, au message écolo explicite et un blockbuster américain qui ne laisse pas place à l'ennui. Qui aurait cru que le personnage le plus humain jamais créé par Pixar serait un petit robot, dont la pathétique existence nous parle plus que beaucoup d'humains de chair et d'os?
    Kameleon74
    Kameleon74

    20 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 avril 2014
    Ce petit film est un chef d'oeuvre c'est la 10 ème fois que je le voit depuis sa sortie c'est juste une petite pepite c'est drôle c'est hyper attachant...c'est sensationnel ;)
    tisma
    tisma

    292 abonnés 1 968 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juillet 2016
    Mon meilleur film pixar que j'ai vu jusqu'a present ! Un film poetique et engagé, drole et emouvant, captivant et merveilleux
    loulou451
    loulou451

    120 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 septembre 2010
    Une merveille signée Andrew Stanton. Sans doute le meilleur Dysney depuis des lustres, peut-être depuis le Roi Lion. Certes, placé des années lumières de son lointain prédécesseur, mais porté par une intensité émotionnelle exceptionnelle. Les enfants ne s'y se sont pas trompés en plébiscitant cette œuvre originale, novatrice, parabole d'une humanité en guerre avec la nature qui l'entoure. Au final, Stanton réalise ici bien plus qu'un film d'animation pour enfant, mais une véritable œuvre universelle qui ravit enfants comme parents, défenseur d'une nature propre et préservée où l'homme prend définitivement toute sa place. Un chef-d'œuvre.
    Anonyme M
    Anonyme M

    63 abonnés 1 658 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 janvier 2021
    véritable chef d'œuvre signé Disney. incroyable scénario d'un robot aux sentiment qui tombe amoureux et voyage dans l'espace. musique au top des personnages très attachant qualité de dessin et animation sans faute.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 114 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 janvier 2011
    Visuellement épatant, scénaristiquement transcendant, humainement palpitant, Wall-E s'affirme avec une facilité déconcertante comme un chef-d'œuvre sur tous les points.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    530 abonnés 952 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 décembre 2015
    Cela fait 700 ans que l'humanité a déserté la Terre, devenue un dépotoir cauchemardesque. Les montagnes de détritus côtoient les ruines de buildings, uniques vestiges d'une planète ravagée par les excès de l'Homme. Une seule chose bouge encore ici-bas: Wall-E robot compacteur de déchets. Dernier représentant de son unité, il sillonne un paysage de désolation et passe ses journées à compacter. D'une nature très curieuse et débrouillarde, le petit robot est cependant très seul. Jusqu'au jour où il rencontre une sonde robotisée nommée Eve, qui est envoyée sur Terre afin d'y trouver une trace de vie. Wall-E tombe fou amoureux de l'androïde et fera tout pour rester à ses côtés...
    Si cette histoire d'amour cosmique avait tout pour plaire, il n'était pas aisée de la rendre accessible à tous. Elle est pourtant la création de Pixar. Et pour la traiter, le studio d'animation fait preuve d'une audace folle. Les 20 premières minutes sont quasi-muettes, l'ambiance est sinistre, et le propos désespéré. De plus, il faut noter que notre héros et sa bien-aimée communiquent par des sons et non par des mots. Il faut avouer que pour un film d'animation, destiné aux petits et aux grands, et budgétisé à 180 millions de dollars, c'est un sacré défi.
    Mais chez Pixar, relever les défis, c'est une vocation. Par le passé, on a été transporté par les aventures d'insectes (1001 Pattes), émerveillé par les monstres se cachant dans nos placards (Monstres et Cie), et rassasié par un rat chef de cuisine (Ratatouille). Wall-E complète cette galerie d'anti-héros, et de quelle façon. Pour être honnête, il est le film le plus beau et poétique du studio. Les risques pris deviennent rapidement les forces de cette nouvelle création. Tour à tour, Wall-E amuse, émeut et interroge. Avec inventivité, les animateurs du studio à la lampe parviennent à rendre Wall-E, Eve et la batterie de robots qu'on rencontre plus expressifs que jamais. Il est difficile de ne pas le considérer comme le 2001 de Pixar (film qu'il évoque clairement), tant son discours sur l'Homme et ses créations renvoie au classique de Stanley Kubrick. L'espèce humaine ne créé-t-elle que pour se déresponsabiliser et accroître son apathie? Ses créations finiront-elles par la dépasser, en obéissant à des valeurs qui devraient être les siennes? On pourrait penser que oui, en regardant notre héros. Simple robot de nettoyage, Wall-E semble avoir acquis une conscience. Il trie, répare, apprend au contact du peu de bien qu'a laissé l'humanité sur Terre (notamment la culture). Tant qu'il restera quelqu'un pour transmettre ce savoir, l'espoir perdurera semble nous dire Pixar.
    Un chef-d'œuvre absolu qui n'aura aucun mal passer les années, les décennies. On devrait le rebaptiser "Wall-E: l'Odyssée de l'Espoir". Il le mérite.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    157 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2021
    "Wall-E", trés beau film d'animation américain réalisé par Andrew Stanton, sorti en 2008.
    Très belle animation des studios PIXAR. Ingénieux, drôle, inventif, magnifiques décors, des personnages tous attachants.
    Un beau scénario. Du bon spectacle. Une animation de très grande qualité. Wall-E, un très beau film revu avec plaisir.
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