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velocio
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3 153 critiques
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4,0
Publiée le 14 février 2007
Si, en matière de cinéma, vous n'aimez que les effets spéciaux ou seulement les suspenses angoissants, il vaut mieux passer votre chemin. Si, par contre, vous aimez le cinéma qui s'intéresse aux réalités de l'existence, le cinéma qui sait être touchant sans être mièvre, le cinéma qui fouille les sentiments avec tact et pudeur, alors il est presque certain que vous ne serez pas déçu par ce nouveau film de René Féret. Après, entre autre, "l'histoire de Paul" et "La communion solennelle", il nous conte ici l'histoire d'Olivier, un maître d'oeuvre sexagénaire que sa femme a quitté et qui se bat pour conserver la garde de Léa, leur fille d'une dizaine d'années. Entre elle et lui, les liens, peu présents jusqu'alors, vont se nouer avec de plus en plus de force. Le maître d'oeuvre est joué par un excellent Jean-François Stevenin, le rôle de la fillette étant tenu par Marie Féret, la propre fille du réalisateur. Il y aussi une prestation courte mais oh combien marquante de Salomé Stévenin, fille de son père dans la vraie vie, qui joue le rôle de Marie, demi-soeur de Léa : la scène entre Marie et son père Olivier est à la fois forte, poignante et d'une grande justesse. Qui a dit que le cinéma français ne valait plus tripette ?
Film qui aurait pu avoir un potentiel car le scénario est très intéressant mais comme toujours avec Féret c'est mal dirigé, mal joué (mention spéciale à Stévenin qui fait bien le gars au téléphone !) et même petite Marie Féret est une calamité ! Je mets 2 parce que c'est quand même le film le moins pire de sa filmographie mais alors que c'est laborieux ! La fin tragique du film a un peu adouci mon ennui mais vraiment c'est pas possible !
Une histoire sombre, triste et fade. Peut-être que je n'ai pas compri la finesse de ce film; je me suis ennuyé, j'ai ressenti comme une lourdeur sans un réél pourquoi. Enfin...la vie continue.
Un tres joli film intimiste sur une histoire simple dans la province profonde. La relation père-fille est admirable. Ce père qui a peur qu'on lui retire sa fille parce qu'il est malade est trés touchant.
Un petit film sans prétention assez agréable à regarder. Malgré quelques scenes fades, et des dialogues parfois trop banals, on sattache au personnage principal, et lhistoire finit par émouvoir.
Vraiment un joli film. Le rythme est un peu lent au départ mais le film nous prend vraiment et cette relation entre ce père et sa fille (petite comédienne naturelle comme peu le sont) finit par être trés touchante. Un histoire banale admirablement mis en image et en parole par René Feret.
Juste. C'est réaliste tout en restant du cinéma. Il n'y a pas de gentils. Il n'y a pas de méchants. Simplement la vie. En ce sens le dénouement est tout à fait pertinent. L'interprétation est sobre mais efficace. Ce petit film mérite d'être encouragé ... alors, Lecteur, je t'invite à aller le voir.
mais pourquoi je suis allé voir ça, c'est pas un film ce truc ! J'ai du mal à comprendre comment on peut faire un truc pareil sans se rendre compte que c'est complètement nul! .
« Il a suffit que maman sen aille » aurait pu être un très bon film car le scénario est dactualité. Aujourdhui, non seulement papa se barre, mais maman se barre aussi ! cest de légalité des sexes comme à la présidentielle. Ce film est donc dans le temps. Seul gros bémol, le film est mal interprété et mal dirigé. Tout « sonne faux » : Stévenin est incapable de jouer la moindre scène de colère de façon « réaliste » il donne vraiment limpression de pas savoir-faire. La fille du réalisateur, présentée par certains critiques comme une future actrice est en fait une gamine de 10 ans qui répète son texte. Merci papa Férré réalisateur. Les situations sont parfois idiotes et mal utilisées. Les jérémiades de Stévenin auprès de sa fille aînée (en fait sa vraie fille dans la vie) sont dune platitude à faire pâlir, en particulier la non-réaction de cette dernière lorsquil lui annonce son impossibilité de vivre sans sa fille issue de son second mariage et quelle « absorbe » cela sans aucune réaction. « Faut pas pousser » quand même, entendre ton père te dire quil ne peut envisager se voir retirer la garde de sa seconde fille alors quil ta lui-même laissé tombé avec ta mère 20 ans avant et ne pas réagir ce nest plus de labnégation, cest de la bêtise ! Toutes les scènes sont tristes, ciel gris, même lorsque la vie est belle. Le séjour à Venise tombe comme un « cheveu dans la soupe ». Au milieu de cette histoire de famille, sur lécran, comme dans le choix des acteurs Le seule véritable actrice valable est la C5 citroën de Stévenin, filmée sous tous les angles, de face de profil, de dos, de trois quart, sous la pluie, la nuit, intérieur, etc au moins 10 minutes de film. A peine remplacée en fin de parcours par une citroen C3 pluriel je crois appartenant à son ex. Le grand vainqueur, cest citroen en fait ! jespère que sa participation financière a été « à la hauteur » Certainement pas lhôpital de Limoges dont les séquences du service de réanimation font