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Bref, René Féret continue à nous émouvoir avec les petites choses du quotidien. Cinéaste de l 'âme il peint, par petites touches, toute la palette des émotions et des sentiments humains. Sans esbroufe. Avec simplicité.
L'impression qu'on a (...) c'est que tout est là pour autre chose, que la formidable organicité de l'oeuvre, que le corps du film est à la place d'un autre, d'un fantôme qu'on couve après être sorti de la salle mais auquel rien ne viendra donner visage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
"Il a suffi que maman s'en aille" ne vous dépaysera peut-être pas, mais fera vibrer votre fibre parentale. Et rien que pour çela, ça vaut le déplacement.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Il a suffi que maman s'en aille passe parfois (...) au dessous du seuil de ce qu'on attend d'un film distribué en salles. Peu importe. L'ouverture du cinéma est à ce prix.
C'est de cet accord artistique entre un acteur, un personnage et un réalisateur que naît l'émotion, et non de la corde pathétique sur laquelle le film tire parfois avec un peu trop d'évidence.
Plan-plan (...) film d'amateur familial. D'où un ton, des scènes banales, souvent tronquées, des tranches de vies égrenées à la queue leu leu. (...) Un semblant d'émotion surgit enfin, mais il est trop tard...
Le Figaroscope
Bref, René Féret continue à nous émouvoir avec les petites choses du quotidien. Cinéaste de l 'âme il peint, par petites touches, toute la palette des émotions et des sentiments humains. Sans esbroufe. Avec simplicité.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
(...) une grande délicatesse et un sens de la narration très efficace (...)
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
L'impression qu'on a (...) c'est que tout est là pour autre chose, que la formidable organicité de l'oeuvre, que le corps du film est à la place d'un autre, d'un fantôme qu'on couve après être sorti de la salle mais auquel rien ne viendra donner visage.
MCinéma.com
Il a suffi que maman s'en aille n'est ni une guimauve larmoyante ni une comédie pour ados formatée.
Ouest France
L'authenticité du sentiment sans jamais verser dans le sentimentalisme.
Paris Match
"Il a suffi que maman s'en aille" ne vous dépaysera peut-être pas, mais fera vibrer votre fibre parentale. Et rien que pour çela, ça vaut le déplacement.
TéléCinéObs
Il y a des silences qui en disent long dans ce film qui avance sur la pointe des pieds.
Télérama
(...) le petit miracle de ce film sans pathos ni long discours vient de Jean-François Stévenin.
aVoir-aLire.com
Un film à la fragilité vibrante.
Cahiers du Cinéma
Il a suffi que maman s'en aille passe parfois (...) au dessous du seuil de ce qu'on attend d'un film distribué en salles. Peu importe. L'ouverture du cinéma est à ce prix.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
C'est de cet accord artistique entre un acteur, un personnage et un réalisateur que naît l'émotion, et non de la corde pathétique sur laquelle le film tire parfois avec un peu trop d'évidence.
Positif
(...) Un film de bois et de cuivres, un film artisanal qui s'autorise aussi bien l'ellipse que le plaisir de faire durer une séquence.
Score
(...) précis et émouvant dans ses relations père-fille, le film de Féret touchera au coeur des fifilles à papa (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Première
C'est (...) juste un peu "court" côté fiction et cinéma (...)
L'Humanité
Plan-plan (...) film d'amateur familial. D'où un ton, des scènes banales, souvent tronquées, des tranches de vies égrenées à la queue leu leu. (...) Un semblant d'émotion surgit enfin, mais il est trop tard...