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    Un été italien
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    60 critiques spectateurs

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    vincinqneuf
    vincinqneuf

    32 abonnés 541 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2009
    La trés dure épreuve du deuil,et partir n'efface pas tout,belle histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 avril 2009
    Une mère et ses deux filles dans une voiture : l'ambiance est au rire, et tout le monde participe: deviner, sans voir, la couleur des véhicules qu'elles croisent... et c'est le drame: une famille privée de mère et d'épouse...
    Changement de vie radical:après l'Amérique, l'Italie,histoire d'occulter peut-être la tragédie. Comment vivre en effet la perte brutale d'une mère et celle d'une femme aimée? Kelly l'aînée,gracile adolescente, se grise de soleil et d'indépendance, vivant intensément l'instant présent pour mieux oublier le passé, tandis que sa jeune soeur Mary,remarquable petite Perla Harnay-Gardine, accablée par la culpabilité,se recrée une mère protectrice dans des fantasmes récurrents. Colin Firth compose un père touchant, dévoué et à l'écoute, seul homme dans cette belle galerie de portraits féminins, dont Gênes "la Superba" n'est pas la moindre, avec ses ruelles étroites et sombres, contraste frappant avec les plages au soleil estival...Un film simple et sincère et une belle réflexion sur l'enfance et le deuil.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 19 avril 2009
    Un navet.
    Dommage parce que les acteurs sont très bien mais le film n'a aucun intérêt au delà des quelques endroits magnifiques qu'il a le tort de montrer à peine (Camogli, San Fruttuoso).
    Quant à l'appeler Genova (Gênes) c'est comme si on appelait "Paris" un film qui ne montre que la Rue St Denis avec ses prostituées et ses rats morts.

    Le début de l'histoire est intéressant mais que de longueurs, que de sentimentalisme sans profondeur.
    Une vraie déception.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 209 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 avril 2009
    En 2008, nous avions déjà eu droit à un même genre de drame familiale (une mère de famille décédée, le père et ses enfants tentent de continuer à vivre malgré le chagrin) avec Grace is Gone, un mélodramatique décevant et inintéressant.
    Cette fois-ci, Michael Winterbottom tente sa chance mais ne parvient pas à convaincre sur toute la durée du film. Après avoir perdu sa femme, un père de famille et ses filles décident de reprendre à zéro en s’installant à Gênes, en Italie. Entre la petite qui culpabilise (brillante Perla Haney-Jardine) et son aînée qui se distraie en sortant tous les soirs, leur père (Colin Firth) tente lui aussi de mener un semblant de vie normale.
    Des magnifiques paysages Italiens sous un soleil de plomb avec les grillons en fond sonore aux ruelles sombres et inquiétantes de Gênes, Michael Winterbottom insuffle une ambiance très réussie à son film, mais hélas, celui-ci tourne en rond au bout d’un certain temps et on est bien content que cela se termine enfin.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 avril 2009
    Un très beau film sur le deuil construit sur l'opposition entre l'extrême luminosité des plages (la vie) et l'obscurité de la vieille ville (la mort). Il aurait mieux fallu conserver le titre original : "Genova", puisque ce film est une véritable carte postale pour Gènes, son quartier historique et ses plages. Remarquable interprétation des 2 jeunes actrices, plus particulièrement la plus jeune qui déambule dans le dédale des vieux quartiers de la ville avec ses murs hauts comme elle se débat contre le chagrin. Pour exorciser ses remords, elle dessine ses rêves, ses promenades avec la figure toujours lumineuse (enfin au début) de sa mère comme un guide dans la pénombre pour la protéger. Les femmes (la mère décédée, les 2 filles, l'amie de fac installée à Gènes qui lui trouve cette mission de prof et espère consoler le veuf) sont omniprésentes dans ce film, le père, interprété avec beaucoup de retenue et de sensibilité par Colin Firth, devant interpréter en même temps le double rôle de père et de mère. La fin de l'été (et la rentrée scolaire) marque la fin du film et comme la fin de la période du deuil!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 avril 2009
    Très beau film... un mélo certes mais cette fuite vers l'Italie, on la fait aussi... En fait, l'histoire n'est pas forcément originale, un deuil... Mais la réalisation est toute en finesse. En petites touches... Peu d'explications, un vrai langage cinématographique. Les 2 jeunes actrices sont très vrais.
    La grande soeur, Willa Holland, gracile et aérienne, est d'une beauté confondante avec son regard bleu foncé... tout simplement délicieuse et sensuelle. Une belle carrière devant elle.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 avril 2009
    un film interessant pour l'etude des enfants apres le deces de leur mere. la plus grande qui drague fort, et la plus jeune et ses cauchemars jusqu aux apparitions de sa mere (gros point negatif du film). au final, ca se laisse regarder.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 avril 2009
    SCANDALEUX...c'est le seul mot qui me vient à l'esprit. Entre un scénario d'une platitude navrante et sans une once d'originalité (le deuil/la fuite et le travail de deuil dans un pays étranger/ la culpabilité) et une réconciliation finale entre le père et se deux filles (qui se retrouvent au même endroit, tous trois, lors de l'incident qui sert de climax au film et de catalyseur) d'une facilité incroyable, ce film peint une image de l'Italie absolument inadmissible de nos jours. Entre des ruelles étroites sous-éclairées où il n'y a que des prostitués ou des individus plus ou moins louches appuyés de manière nonchalante contre les murs, ce réalisateur versé dans l'art de la manipulation nous montre une Italie insécuritaire (notion d'angoisse grâce au montage et la musique quand les héros sortent en extérieur....on se croirait parfois dans un pays en guerre contre les touristes !)et dans laquelle les étudiant(e)s (l'avenir d'un pays) s'intéressent plus à la plage qu'à disserter avec le personnage par Colin FIRTH, professeur de son état. Il faut en plus se coltiner une réalisation laide et sous éclairée (la DV n'arrange rien !), des mouvements de caméras sans aucune grâce, un montage à la scie sauteuse et tuant tous rythmes (les séquences sont soit trop longues, soit trop courtes...et bravos pour avoir placer les conseils linguistiques du héros à la fin du film, alors qu'ils sont censés être en Italie depuis des mois!) et une utilisation de la musique absolument lamentable....Entre un morceau composé par George DELERUE pour "la nuit américain" de François TRUFFAUT repris avec une prétention rare (bonjour la filiation !), le réalisateur reprend de manière acharnée le "lemon inces" de Serge GAINSBOURG apparemment car musicalement jolie....Personne ne lui a traduit les paroles, pour lui expliquer que la chanson aborde les thèmes de l'inceste et de la pédophilie ? En résumé: un film d'une prétention rare, d'un réalisateur héritier auto-proclamé de TRUFFAUT....sinistre
    tixou0
    tixou0

    699 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 novembre 2019
    Colin Firth (Joe) est quasiment le seul homme de ce film où l'élément féminin domine : il y a ainsi Kelly, la fille aînée (17 ans ?) en quête d'indépendance, Mary, la cadette (10 ans), accablée de culpabilité après l'accident mortel de la mère, Marianne justement, la mère, toujours si présente dans les visions fantasmées de la petite (mention spéciale à son interprète, la jeune Perla Haney-Jardine), jusqu'au drame, évité deux fois, et encore Barbara, l'ancienne amie de fac si présente, qui a tout organisé pour l'arrivée du veuf et de ses deux filles en Italie, et aussi Rosa, la séduisante étudiante qui suit les cours d'été dispensés par Joe. Il y a aussi, magnifiquement mise en scène dans son éclat estival, la ville du nouveau départ pour la famille américaine : Gênes, Genova, "la Superba", qui n'est pas la moins importante dans cette galerie de portraits au féminin. Le Britannique Winterbottom réussit ici, malgré quelques longueurs, une belle réflexion, quasi-impressionniste, sur le deuil.
    PhilippeToile
    PhilippeToile

    43 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 avril 2009
    Michael Winterbottom nous propose un énième film sur le travail de deuil, avec Colin Firth en jeune veuf qui s’expatrie avec ses deux filles. Sensible, bien filmé et réalisé, son film évite d’extrême justesse le mélo sirupeux mais souffre d’un scénario plutôt creux qui fait ressortir les longueurs du discours. Intéressant sans plus.
    lucyinthesky4
    lucyinthesky4

    247 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 juillet 2010
    Un film sur le deuil très doux mais au final d'une platitude totale. Le cinéaste aligne les clichés psychologiques et les poncifs sur l'Italie. Le filmage est caméra à l'épaule, et très haché, ce qui me semble ne pas convenir au sujet, d'autant qu'il confère à certains moments une angoisse mal venue, comme dans les balades en vespa ou dans les dédales de ruelles de la ville de Gènes (la peur irrationnelle du touriste légèrement xénophobe?). Colin Firth est très bien, comme d'habitude, mais il ne se départit pas de ses rôles de gentils papas.
    Lilith99
    Lilith99

    15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 avril 2009
    Attention chef-d'oeuvre ! Un mélodrame filmé comme un documentaire, un film d'une puissance émotionnelle rare. Vous entrez dans la vie de cette famille et vous êtes bouleversé du début à la fin.
    Winterbottom est un grand réalisateur, son regard est singulier, intense et terriblement sincère. Il raconte le deuil sans jamais tomber dans le pathos, de manière très réelle et poétique à la fois. Vous voyagerez dans une Italie moite et mystérieuse où les fantômes errent dans les rues sombres...
    La plus jeune des deux soeurs (10 ans) est tout simplement exceptionnelle. Son visage en gros plan quand vous savez à quoi elle pense et ça y est vous avez encore une boule dans la gorge... Parce que c'est la vie transcendée par le cinéma. Comme ça n'arrive pas si souvent !
    Thierry M
    Thierry M

    160 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 avril 2009
    De bons moment d'emotion,mais ca traine et on tombe vite dans l'ennuit.
    Vagelios
    Vagelios

    43 abonnés 975 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 avril 2009
    Je n'ai vraiment pas aimé ce film qui manque trop d'intérêt.
    Il est assez plat,ennuyant,terne avec des dialogues creux et une fin qui verse dans le n'importe quoi.
    Ce qui se passe avec la fillette qui croit vraiment revoir sa mère défunte n'est pas crédible au point que ça peut en arriver à ne pas mettre mais à retirer de l'émotion.
    traversay1
    traversay1

    3 572 abonnés 4 861 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 avril 2009
    Quelque chose comme 17 films en 15 ans : Michael Winterbottom est un stakhanoviste, qui plus est protéiforme, puisqu'il n'a de cesse de changer de genre et de style à chaque réalisation. Un été italien, oeuvre sur le deuil, est à première vue le plus atone de ses films, paresseusement illustré de vues de la belle cité de Gênes, sa plage, ses vieux quartiers, ses restaurants... Une carte postale désincarnée, voici à quoi ressemblerait le dernier Winterbottom, si on n'entrevoyait pas de temps à autre le fantôme de la mère défunte. Le mélodrame n'est pas sur l'écran, il est dans les coeurs, et la pudeur d'Un été italien est appréciable même si l'on aimerait parfois que davantage de vie irrigue cet oeuvre trop banalisée par des scènes sans relief. Mi figue, mi raisin, on quitte les protagonistes de cette histoire lesté d'un léger vague à l'âme, comme après une ballade à Gênes, sans plaisir. Avec un fort goût d'amertume au fond de la gorge.
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