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    Snowpiercer, Le Transperceneige
    Note moyenne
    3,5
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    1 374 critiques spectateurs

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    Der Metzgermeister
    Der Metzgermeister

    40 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 avril 2014
    Une utopie sur rail, doter de son propre écosystème et d'un fonctionnement hors du commun, l'idée est remarquable et a de quoi nous intriguer. Installation d'un régime de terreur, soumission des classes moyennes, injustices, tout les ingrédients sont là pour amener le spectateur à être recruter parmi les rangs de ces survivants accablés de douleurs, et aussi à nous enrôler parmi les insurgés afin de servir les causes de cette rébellion. Dès la scène du bras gelé, la colère doit déjà gronder au plus profond de nous mêmes. Puis, la révolte éclate. Nous évoluons ainsi de wagon en wagon, découvrant par la suite les origines ( déjà plus que douteuses ) de ces barres protéinés servit pour les rescapés des ravages de cette nouvelle ère glaciaire. Le réalisme des scènes de bataille est saisissant, Ici, pas de coups dévastateurs qui propulserait un opposant d'un wagon à un autre, ni de kill streaks de la part du leader, Curtis. Tout est finement mesurer, tout est parfaitement chronométrer. Le sang jaillit sans être excessif, la milice est efficace, rien n'est trop surfait, sur ce rythme, les idées jaillissent. Une idée très innovante voie le jour ( ou plutôt l'obscurité ) : La joute entre les deux camps dans un wagon plonger dans le noir total avec les combattants dotés de lunettes infrarouges : Saisissant. Nous continuons notre périple avec moult explications, les théorie de Mason, puis le cours d'aliénations des enfants dans une salle de classe instruit par une fervante admiratrice du créateur de ce système : Wilford ( A qui l'on voue un véritable culte de la personnalité et une vénération divine, un peu comme dans Bioshock ) Puis nous revoilà prit dans une embuscade remarquablement tendue, puis ce nullissime échange de tir entre le bras droit de Mason et Curtis. Le train est en mouvement, une grosse distance les séparent, bref, je n'aime pas. La scène que je préfère est ( étonnement d'ailleurs ) non pas le récit de Curtis devant la porte avec Namgoong, mais bien l'explication que lui fournit ce dernier en lui exposant ses convictions. je trouve cette scène remarquablement forte. Enfin nous arrivons à notre objectif, des explications sont rendues ( trop vites selon moi ) ce qui aboutie à une fin de merde qui pour moi est représentative de la fin de l'humanité, le glas à sonner, une ère nouvelle semble se profiler à l'horizon... Croyez vous ? Greenpeace a dû avoir mal à cul quand ils se sont dit qu'on allait out de même pas se jeter sur le premier ours blanc que l'on croisent... Bref, une fin vite torchée. Joon-ho réalise un film qui manque d'un gros cheveu la perfection, même si celui-ci impressionne avec une photographie honorable, et une utilisation de plans et d'angles assez innovants. La nature humaine est remise en question, parfait ! Mais autant ne pas bâcler le boulot.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 janvier 2014
    Bong, pardonne ma vulgarité, but I expected you to bang a gong (1). Apprécie la rime : elle donne la mesure de ma déception face à ton film bâtard, au propos fumeux, aux effets visuels ratés. Car il n’est qu’enchaînement de scènes qui changent de nationalité : tu tiens, par exemple, un combat à la hachette aussi jubilatoire que celui du couloir dans Old Boy (2), et tu le sabotes avec un ralenti que seul explique l’apathie de voyageurs oisifs depuis dix-sept ans. Les États-Unis ne te siéent guère, moins encore qu’à tes compères : le Stoker de Chan-Wook Ssi contient l’essence même du cinéma coréen, tandis que le Dernier Rempart de Jee-Woon Ssi n’en retient rien. Toi, le cul entre deux chaises, confies le rôle principal au fade Captain America, nonobstant un casting de premier choix avec du Ed Harris, du John Hurt, du Song Kang-Ho et du Tilda Swinton : dis, l’ami, entre personnages exploités et sous-exploitation des personnages, tu pouvais trancher !
    Bong, pardonne mon incrédulité, mais ton "Gilliam knew it all along” se pose comme un cheveu sur la soupe : pour reprendre Dream, qui me fait rêver, ton twist « ne peut pas effacer d'un seul coup de baguette magique une heure et demi de soupirs » (3). Tu tiens une métaphore parlante à nous autres, habitués de la seconde classe, mais tu la prives de toute cohérence dès lors que tu critiques un modèle sociétal ne reposant pas sur l’interdépendance. En effet, une question m’a taraudée : à quoi servent les queutards ? À fournir, de temps en temps, un vieux qui joue du violon, un gamin qui remplace un boulon ? Faiblard comme explication, dans un contexte de dénonciation de l’assistanat. La bonne réponse, finalement très classique, très franco-révolutionnaire et complot ferroviaire, n’est donnée que trop tard : ils servent à réguler la population, dans le même élan manipulateur que celui qui pousse la SNCF à introduire M. Y… pour poignarder M. X… et faire admettre la force majeure (4).
    Rassure-toi, je te sais plus subtile : Namgoong Minsu, le personnage interprété par Song, relève du génie. Tel un trickster, il n’intègre le jeu que pour mieux le renverser, sans considération des intérêts des parties : en dynamitant la machine, il coupe court au dialogue assez lourd entre Curtis et Wilford, un peu à la manière dont la Corée s’invite aujourd’hui sur le devant de la scène internationale.
    Au final, Bong, your trailer's more frustrating than a king of dong (5) : non seulement contient-il la réplique "They've got no bullet !", puissamment lancée par Jamie Bell, et le discours de la méconnaissable Tilda Swinton, c’est-à-dire les deux points forts de ton film, mais surtout donne-t-il un aperçu de ce à quoi il aurait ressemblé avec un minimum de rythme. Parce qu’à faire dérailler le train chaque fois qu'il atteint sa vitesse de croisière, tu donnes l'impression que ses passagers avancent pépère ; que si l'effectif des queutards diminue jusqu'à ce qu'il n'en reste qu'un, c'est parce que les autres profitent sereins de la voiture-bar. En somme, ma valise et moi éprouvons plus de difficultés à circuler entre les voitures du TGV et inspirons plus de pitié que ta bande d'opprimés.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 novembre 2013
    Snowpiercer est à la Science Fiction ce que les jeux testés par Joueur du Grenier sont aux jeux vidéos.
    Si vous aimez la vrai sf de qualité passez votre chemin, sauf à vouloir expérimenter tout ce qu'il y a de pire pour de la sf, c'est un peu un anti-film de sf qui vient probablement de l'anti-monde que les cosmologistes cherchent encore.
    Si la sf pour vous c'est "des effets spéciaux et une histoire qui se passe dans le futur", que vous avez séché tout les cours de sciences à l'école et que êtes adepte des moindres originalités mélangeant tout et n'importe quoi avec une certaine profondeur histoire de flatter votre égo, foncez vous avez de grandes chances d'aimer.

    Nul en version longue : ( copié collé d'une réponse à une autre personne osant défendre la véracité du scénario, ne prennez pas les "tu" personnelement^^

    Si la Terre glace entièrement au point de faire disparaître l'humanitée ALORS TON TRAIN TU TE LE FOU AU CUL !! Ici déjà c'est pas le transibérien un minimum entretenu, nonon c'est un train qui fait le tour de l'eurasie et de l'afrique ( cf map dans le film ) en 1an COMPLETEMENT ABSURDE, ça déjà. De plus si la Terre gèle entièrement ( parceque c'est ce qu'il faut pour tuer tous les hommes hein ) l'Eurasie au minimum sera complètement impraticable, au parle pas de chute de neige hein non on parle de glaciers de dizaines, de centaines de metres résultant de toute les précipitation lors de la chute des température puis du gel.
    Rien que dans le film le train qui percute à fond les ballons un mur de glace qui a coulé sur la voie c'est absolument n'importe quoi, renseignez vous donc sur le projet d'envoyer une sonde dans l'océan sous la banquise sur Europe lune glacé de Jupiter ou sur les forages dans la glace en antarctique, la glace ça se pete pas à 200km/h, ça doit fondre sinon ton train quelque soit le matériau il s'étale sur le mur de glace.
    Si la terre gèle entièrement ta voie férré tu l'oublie déjà point barre y a même pas à discuter plus loin, elle est emporté par les coulées de glace et mouvements de terrain et sans voie férré ton train il roule sur quoi? Il aurait mieux vallu un espace clos sous terrain, ou un bateau perce glace naviguant dans la derniere bande d'eau étroite à l'équateur parcourue d'iceberg, ou encore un sous marin ou un vaisseau spatial. Tout ca aurait était 100 fois plus crédible et pouvait constituer un bon scénario de départ.
    Si c'est juste une glaciation normale, bienvenue aux tropiques bro même si les désert auront avancés du à la baisse des précipitation ca reste vivable, pas pour 7 milliards d'humains biensur mais l'humanitée disparait pas.

    Ce film en tant que film de sf c'est DE LA MERDE. point ça se discute pas le genre sf il est déjà défini.

    Après que tu aimes le film, soit , sous le point de vue de l'art tout peut être aprécier, la mise en scène coréenne, les caractères des perso poussé au possible à la débilité etc. Mais c'est pas de la SF. Sous l'angle de la sf c'est juste horriblement mauvais. Quand je vois marqué chef d'oeuvre de la sf j'ai envie de vomir, la sf est attaché à la logique, même avec des aproximations, ici il n'y en a aucune :
    -la voie férrée praticable par un train alors que toute la planète à gelée au point de tuer tout les hommes AUX CHIOTTES, sérieux va faire un tour dans une fac de science pour entendre quelqu'un d'autre que moi te le démontrer car tu me fais de la peine d'être aussi ignare.
    -la viabilité du train pendant aussi longtemps ( sachant que le train ne s'arrette jamais il ne recoit que de l'eau et de l'air de l'extérieur) zéro matière première importée donc tout doit être recyclé, mais pareil va voir un paysan, va voir des fermes d'insectes ou des serres, sort de ta vie de bobo trisomique, c'est Juste impossible dans un train même aussi long que celui la d'avoir assez d'espace, dans le film on voit un pauvre wagon serre qui fait pousser des fruits, une cuve remplie de criquets, un wagons remplis de carcasses de viande (poulets/vaches) LOL. le wagon serre passe encore, tu te sert des déjection comme engrais etc, POUR NOURIR 1000 personnes ca reste énormément idiot, jte dit pas le nombre de wagon serres qu'il faudrait. Surtout qu'en plus il faut nourir les criquet donc il faut aussi de la biomasse végétale pour les criquet, puis vient le pire la viande rouge, la en plus faut entretenir une diversité génétique dans le bétail donc il en faut un sacré paquet et encore plus de ressources végétales, le tout pour nourir plus de 1k personnes, meme si les pecno de l'arriere mangent que des insectes ça reste n'importe quoi. Un écosystème autosuffisant pour 1k personnes ou l'on se nourit de viande rouge, d'insectes en patte, de végétaux, de poissons ah et j'ai oublié les oeufs aussi et l'alcol bien entendu ça ne tien pas dans un train même de 100 wagons.
    -l'idée de combat ravagant le train pour réduire la population c'est complètement débile, tu contrôle les naissances, merde dans un espace clos survive les dernier représentant de la planète, à ce niveau la personne est assez con pour se reproduire à l'infini. Donc si l'espace clos peut abriter 800 individus tu fais en sorte que ce chiffre ne soit pas dépassé en limitant les naissances.
    Non? c'est pas beaucoup plus logique et beaucoup moins risqué pour l'intégrité du train qui, rappellons le n'a pas d'apport de pièces de rechanges, que de provoquer une révolution des bouseux de l'arrière qui ne servent à rien d'autre???
    -Oui parce que l'aspect lutte des classes : ZERO, encore les mecs de l'arrière aurait eu un vrai rôle, ingrat mais vital comme fait pousser les légumes, élever les insectes, entretenir des machines, NON ils sont la pour se reproduire dans la crasse en mangeant la même barre de criquet protéiné jour après jour jusqu'à la révolution
    -les combat en eux même zéro, que vous aimiez les réalisateurs coréen soit, je sais pas si c'est le plus souvent dans leur style mais pour la sf c'est zéro, les deux groupes qui s'affrontent sans armes contre des mec armés dans cet espace restrin et c'est pas un total massacre pour les désarmés, les gars qui font une pause pour le nouvel an, puis ils sont tous quand meme assez tarés au niveau des comportements, surtout ceux de l'avant en fait.
    -les personnes du train séréotypé au possible, mais s'en est même pas risible, Machete par exemple c'est risible car l'exagération est faite exprès, ici nonon tout ce petit monde se veut réel et regarde passer nos braves rebelles en ne fesant rien jusqu'à la fin ( à part le timbré de la sécurité ) ou comme par hasard tout les fetards se mettent à débarquer après avoir fait une première fois la fête avec nos révoltés.
    -mention spéciale au wagon suchi, qui produit uniquement quelques fois dans l'année mais y a quand même un comptoir avec un mec qui fait le service, bref tout un wagon qui produit un poissson 2/3 fois l'an VACHEMENT RENTABLE QUAND ON SAIT QU IL Y A 1K PERSONNES A NOURIR. ( mais au moins c'est peut être le seul système en autarcie viable du film ) On en revient à se que je disais imagine le nombre de wagons destiné à la nouriture qu'il faudrait, surtout en produisant de la viande.
    -mention ULTRA spéciale au TRAIN MAGIQUE.
    Alors niveau énergie on en parle même pas, il est vrai que ce train de la 4ème dimension qui va super vite en cassant avec fracas des murs de glace de plusieurs metres/dizaines de metres tout en restant sur ses rails et en mettant tout de même 1 an pour faire sa boucle Afrique/Eurasie HAHAHA PUTIN JE VAIS LE FAIRE LE CALCUL MOYEN DE LA VITESSE NECESSAIRE A FAIRE UN TEL TRAJET EN 1AN, je pense qu'à vitesse de marche tu finis avant.
    Bref quelque soit le combustible utilisé il n'est pas prêt de s'épuiser, lumière, chauffage etc tout est en abondance dans le train depuis des années, pourtant on a pas passé de réacteur nucléaire, bref, on s'en fou c'est pas comme si c'était un film de sf, le train c'est comme les super sayens : énergie infinie.
    L'avant du train dans le wagon du capitaine, c'est une machine sophystiqué nous dis ce brave ed harris que j'adore pars ailleur et qu'il faut apprendre à maitriser car le train en dépend. Oui sauf que quand une pièce se casse ( c'est rigolo on peut tout casser dans le train avec les révolutions même les vitres qui font rentrer l'air gelé; on s'en fout, mais la machine à l'avant du train on a aucun matériau de rechange ) comme on peut pas la remplacer on utilise UN ENFANT DE MOINS DE 5 ANS. C'est bien connu quand vous avez un problème avec votre voiture ou votre ordinateur vous empruntez un gosse de 5ans, vous le mettez à l'intérieur et tout remarche ! A puis on a même un bon visuel du pauvre petit gosse black qui quand une piece se casse enleve une trappe du sol va dans le mécanisme, d'une main il tourne une manivelle, de l'autre il prend de la bouille noire de derriere lui pour la mettre devant au milieu des écrous et autres mécaniques style Wild wild West du 19ème siècle : MDR. Soutiens ça et passe juste pour le pire des pignoufs !
    Voila et puis au final il se passe quoi presque tout le monde meurt, le train il déraille parce que c'est la premiere avalanche qu'il s'est jamais pris sur une planète completement gelé et que oui s'il peut casser des murs de glaces en restant sur ses rails il peut pas encaisser une avalanche. Et on a 2 cons au milieu de la neige qui ont tués presque tout le monde probablement dans le train qui voient un ours au milieu des montagnes et sourient comme des débiles car ils vont aller tailler le bout de gras avec lui dans sa caverne.
    -J'en finis avec l'ours et le fameux réchauffement car la couche de neige qui recouvraient un avion fond en le découvrant un peu plus chaque année ( cette même couche qui bien sur épargne la voie férrée mondiale ) fait comprendre dans un éclair d'intelligence à nos héros cammés que les températures se réchauffent. HEM, allo c'est météo france, pour que la neige fonde il faut qu'il fasse plus de zéro non? On est toujours sur terre avec un hiver et un été du a l'inclinaison de la Terre donc pour voir ca, ca voudrait dire que un moment donné dans une année on va forcément voir un dégel et ca se voit autrement mieux, sinon qu'il fasse -10 ou -90 on s'en fou rien ne fond, sans parler de la différence de températures et de couche de neige/glace Afrique/Sibérie.
    Admettons donc que lors du film on soit en Afrique la ou le réchauffement commence à faire fondre la neige, monsieur l'ours c'est pas superman, si l'humanitée à disparu car la Terre s'est transformé en boule de glace, l'ours aussi. Un ours polaire d'une part ne va pas tailler sa route jusqu'à l'équateur lors d'une glaciation aussi brutale de quelques mois, quelques années max dans le cadre du film. Pour que l'humanitée disparaisse l'océan est gelée, ton ours il se nourit plus de poissons et sur les terres tout à crevé les végétaux comme les animaux. Donc ton Ours il a crevé depuis longtemps et il a rien à faire la.

    Tout absolument tout est illogique dans ce film que se soit la viabilité de l'environnement ou du comportement des personnages.
    Que tu aimes la réalisation corréenne, cet espèce de style surréaliste soit, chacun ses goûts. Mais pour de la sf, pour quelqu'un qui vient voir un film de sf, c'est NUL, DE LA MERDE.
    Après tu peux lui mettre 20 en appréciation personnelle, originalité etc mais pas en temps que bon film de sf.

    Je finirai avec une comparaison. Remplace la science fiction par un portrait photo qui se doit d'être ressemblant à la réalité des personnes, le but c'est d'avoir quelque chose de ressemblant et beau qui met en valeur une personne. D'un côté tu as des clichés de photographes qui tout en jouant sur les environnement, les lumières les habit et le maquillage de la personne respecte le cadre d'un portrait photo, de l'autre tu as Picasso qui peint un portrait en fesant du cubisme. Ah mais c'est très original monsieur Picasso, je suis sur que certaines personnes voudrons vous l'acheter très cher, mais l'idée de base c'était un portrait photo. Donc le cubisme et les portrait photo c'est pas ça.

    Donc au diable l'originalitée que vous trouvez à ce film, il n'en reste pas moins une infame merde bien en dessous de la série b dans le cadre de la science fiction.
    Rambo 2 aussi hein devrait être nominé dans les films romantiques ou encore les reconstitutions historiques?

    Snowpiercer en sf = 0
    Pour le reste moi je préfère avoir à réfléchir dans des films qui tiennent un minimum debout et même un Thor 2 au scénario vraiment débile sous l'angle de la sf possède bien plus de cohérence dans son déroulement ou le comportement de ses personnages, et finalement les notes d'humour et l'autodérision montre que le film ne se prend pas au sérieux et ca vous permet de ne pas vous endormir ou regarder désespérément l'heure toute les 2 minutes en attendant la fin. Et puis Thor 2 c'est un marvel à classer dans la catégorie fantastique la ou cet hérétique aliéné de Snowpiercer se prend au sérieux et se réclame de la science fiction !

    Snowpiercer s'il n'est en aucun cas un film méritant mieux que zéro pour de la sf n'en reste pas moins une forme d'art que chacun est libre d'apprécier. Quand tu vas au restaurant, en général tu es content quand tu as bien mangé, pas quand la bouffe était immonde mais qu'il y avait des jolis tableaux à regarder. Quand tu va voir un film de sf, tu t'attend à de la sf.

    Snowpiercer restera à jamais une véritable oeuvre d'art construite à seul but de montrer tout ce qu'il ne faut pas faire et qui est débile dans un film de sf.
    WardStradlater
    WardStradlater

    53 abonnés 469 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 mars 2014
    Comme tous bon film de SF, Snowpiercer se veut une dystopie directement inspiré d'un phénomène proche de nous : la géo-ingénierie. A trop vouloir refroidir la Terre, elle s'est retrouvée complètement gelée. De fait, le Snowpiercer est une allégorie de la société humaine : division et guerre des classes dans un régime monarchique. L’ascenseur social de queue vers tête de train. Mais très rapidement, se mettent en place des idées qui servent de file à l'intrigue. Si l'aspect révolutionnaire est présente, elle n'est jamais mise en avant, ou alors sous un prétexte enfantin comme la nourriture ou de meilleurs lits. D'autre part, outre l'apologie de la société divisée en classe où chacun à une place qui lui est destinée, divine fatalité, on y trouve également une logique de contrôle démographique. Si le film pose ses questions, c'est surtout sous forme dogmatique. C'est ce qui est le plus déplorable. D'autant plus que le scénario a des relents d'historicité. C'est dommage, car ce parti-pris se retrouve également dans l'idéologie des néoconservateurs contemporains, et on ne peut pas s’empêcher donc de voir ce film comme la propagande de ces idées liberticides.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 novembre 2013
    Un film désolant que je regrette d'avoir vu. Un scénario brut, revu et réchauffé, une orgie de violence et peu de surprises. On a voulu faire un mélange de tout ce qui marche : écologie, futurisme, lutte des classes, bagarre, mais rien de tout ça ne déclenche réellement le frisson. Seule la leçon de morale finale ouvre un débat qui peut s'avérer utile, mais franchement, tout ça pour ça, c'était inutile.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 octobre 2013
    Dans la sécheresse de film intéressants, profonds et qui invite à réfléchir, Snowpiercer est un vrai vent de fraîcheur (ok, je remballe le jeu de mot).
    Le scénario, apparemment tiré d'une BD (que je n'ai pas lu) est très bien pensé : l'humanité est cloîtrée dans un train, les pauvres derrière, les riches devant. Je ne m'attarde pas dessus, le synopsis est fait pour ça.
    Pourquoi un 5/5? Tout d'abord, la réalisation qui est magistrale. C'est extrêmement bien filmé, notamment la 'scène du pont'. Les décors extérieurs sont magnifiques, et l'intérieur du train est quant-à lui surprenant dans le bon sens du terme, exotique : on fait le tour du monde.
    Les acteurs sont quant-à eux excellent, et je m'attarde sur Chris Evans. Méconnaissable, surprenant, magistral. Vraiment, il est rentré dans la peau de Curtis avec une agilité fantastique. Il y croit à sa révolution, et on le sent, on est pris aux tripes! surtout à la fin de' la scène du pont' (ceux qui ont vu me comprendrons)
    De plus, cet aspect révolutionnaire est très bien mis en scène et déroutant : ce n'est pas une révolution qui se joue à coup de fusils, c'est une révolution où on affronte son ennemi droit dans les yeux dans un combat au corps à corps, ce qui lui donne plus de poids en un sens.
    Finalement, Snowpiercer est un concentré de SF pur, une ode pour le genre, qui amène réflexion ET divertissement (car oui quand même, il y a pas mal de combats et autres aspects d'un blockbuster) qui en plus a le pouvoir et la prétention de nous remettre, nous, consommateurs, à notre place.
    Je le conseil vivement, c'est clairement devenu un de mes classiques, que je vais acheter sans hésiter le jour de sa sortie en DVD, pour récompenser un réalisation Sud-Coréen qui a su garder son intégrité et ses idées à Holywood. C'est un sans faute!!!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 8 novembre 2013
    Sorti avant la fin !
    La trame était intéressante, les extraits aussi. La réalité : film avec des dialogues nuls, personnages dans lesquels on ne s'identifie pas, on ne les connait pas.
    Enchaînement de scènes sans liant, ultra violent, je suis parti au massacre à la hache du poisson chat.... débilité absolue !
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    92 abonnés 408 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 octobre 2013
    Dans un monde envahi par les glaces et un froid polaire, un long train parcourt sans fin le tour de la planète. Des wagons de queue à celui de tête abritant la Machine, c’est tout un échantillonnage de l’humanité qui continue à survivre et à se perpétuer. Les gueux et les resquilleurs du fond, surveillés par des hommes en armes, sont réduits à l’état animal et n’aspirent qu’à la révolte, c’est-à-dire arpenter la succession des voitures et ravir le pouvoir à Mr Wilford, le créateur démoniaque du train des survivants.
    C’est une nouvelle fois une bande dessinée (après celle qui inspira La Vie d’Adèle) qui est à l’origine du projet du sud-coréen Bong Joon-ho, auteur déjà remarqué de Memories of Murder, The Host et Mother. Il livre aujourd’hui un film de science-fiction excitant et jouissif, qui fait naitre chez le spectateur une sensation d’impatience croissante. Huis-clos absolu, puisqu’on ne quitte jamais le train, apercevant tout juste de temps à autre les paysages fantomatiques et glaciaires, le film emprunte ainsi aux codes du jeu vidéo en se synthétisant en une série de passages de portes jusqu’à l’accès au wagon de tête. Le réalisateur met donc en scène un aller sans retour possible, installant successivement des scènes nouvelles et éphémères. En effet, aussitôt une porte franchie, le wagon précédent semble basculer dans un passé à jamais révolu et le nouveau incarne le présent, tout aussi illusoire et provisoire. L’excitation s’origine par conséquent dans la découverte sans cesse renouvelée de l’inconnu. L’avancée à travers les wagons, depuis la plus infâmante indigence au luxe le plus saugrenu, est un parcours semé d’embûches : les combats violents font rage, filmés dans un découpage particulièrement énergique, avec cette patte esthétique à laquelle le cinéaste nous a habitués. Parmi les méchants, signalons la présence de la comédienne britannique Tilda Swinton, particulièrement savoureuse dans sa composition d’une gardienne du temple hystérique qui aurait hérité de la physionomie de Marguerite Duras.
    Dans une ère apocalyptique qui amplifie les dysfonctionnements des sociétés contemporaines, le film revisite en quelque sorte la naissance et le développement de la civilisation. À l’âge de glace originel succède celui du feu, de la transcription (illustrée par les dessins exécutés par un des damnés, sortes de peintures rupestres) et de l’appropriation de la technologie. Le sous-texte philosophique apparaitra plus convenu (émancipation, retour à la liberté, …) au regard des prouesses brillantes de mise en scène déployées pendant trois bons quarts de l’ensemble. Le long convoi lancé à vive allure dans une rotation éternelle, cylindre de fer perçant la formation des névés, est aussi comme un clin d’œil aux vaisseaux spatiaux égarés – on pense beaucoup à Kubrick et, plus récemment, à Gravity de Alfonso Cuarón.
    Snowpiercer, Le Transperceneige nous plonge dans un état de tension et de jubilation qui ne faiblit jamais. Au contraire, au fur et à mesure de l’ouverture des portes et de l’accès à un niveau ‘supérieur’, notre frénésie redouble, stimulée par la curiosité d’apprendre quels décors et quelles folies renferment les wagons suivants. Il faut un génie authentique d’inventivité et de drôlerie, car le film est souvent drôle et distancié, pour faire d’un huis-clos une œuvre à grand spectacle, blockbuster de l’intime qui touche à l’universel. Un pur divertissement de prime abord (et qu’on peut voir uniquement comme cela) qui est aussi une parabole politique et philosophique imparable. Qui donne son sens et son intelligence aux actions. On ne s’en lasse pas, pis on en redemande et on brûle de repartir pour un nouveau voyage à bord de ce train fou.
    Outburst
    Outburst

    123 abonnés 517 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 novembre 2013
    Snowpiercer fait parti de ces films que je range dans la catégorie des "films qui ont une super gueule sur le papier, et une bande-annonce époustouflante, mais qui au final sont de gros pétards mouillés". Car c’est de beaucoup plus qu’une simple déception dont je vais vous parler (car c’est une IMMENSE déception), c’est carrément d’un film que j’ai trouvé affreusement mauvais. Et croyez-moi quand je vous dit que ça me déchire d’écrire ça, vu que j’en attendais beaucoup à la base. Alors qu’est-ce qui a pu me répugner à ce point, pour que j’en vienne à parler de mauvais film alors que celui-ci est encensé par la majorité? C’est tout d’abord à cause d’un cruel manque de rythme, qui agit sur l’oeuvre de Bong Joon Ho comme une gangrène. Au début on s’en soucis pas trop, on se dit que c’est pas trop grave, que ça va passer, et on s’en accommode, mais sur la fin c’est carrément insupportable, et on a hâte que tout s’arrête. Et comment est-ce que l’on stoppe une gangrène? Et bien on coupe, ce que le réalisateur sud-coréen ne fait malheureusement jamais. Il y a cependant une énorme montée en tension durant tout le début du film, toute une ambiance qui s’installe, et qui débouchent sur une scène d’affrontement nerveuse, assez jouissive et ingénieuse, bien qu’un peu frustrante vu son parti pris d’utiliser une violence suggérée là où on attendait un truc un peu crade, qui aurait été en raccord avec l’ambiance installée. Le film se lance enfin, mais se vautre dans la séquence suivante, et continue de se vautrer jusqu’à la toute fin. La suite de Snowpiercer, ce n’est que grosses ficelles narratives qui ne permettent pas à des thèmes pourtant forts et intelligents de se faire ressentir, c’est des ruptures d’ambiances et de tons trop brusques et trop nombreuses, qui ont pour conséquence que le film en perd son identité, et peine à rester crédible, et c’est une histoire complètement grotesque qui manque de cohérence, et se laisse dépasser par sa (trop?) grande ambition. Mais le plus dommage dans tout ce bazar, c’est que le film possède quand même une mise en scène élégante et inspirée, démontrant une patte artistique indéniable, visuellement bluffante (à l’exception des effets spéciaux, qui laissent souvent à désirer), mais qui ne semble jamais être utilisée à son maximum. On voit passer les décors trop rapidement, car dans sa lenteur le film essaie quand même d’aller vite, ce qui est un peu paradoxal, alors qu’on a envie de les explorer un peu plus, et c’est ce qui donne cette mauvaise impression que le scénario ne fait qu’effleurer ses sous-thèmes, sans les creuser assez pour qu’ils viennent nous frapper et nous coller à nos sièges. Néanmoins, on pourra couvrir Chris Evans de louanges, puisqu’il campe son personnage avec énormément de charisme, et l’anime avec une volonté plus qu’admirable, comme tout le reste du casting à qui il serait difficile de faire des reproches. Si seulement cela avait pu être suffisant… En plus d’avoir jeté un grand froid sur le monde, Snowpiercer a également jeté un grand froid sur toutes mes attentes, et les a brisé d’un grand coup de marteau. Cela va donc au-delà de la simple déception, puisque c’est selon moi un immense gâchis d’idées pourtant ingénieuses, à peine effleurées pour céder la place à une histoire qui multiplie les facilités, et accumule les retournements de situations et les révélations grotesques. Dépassé par son ambition, Bong Joon Ho nous livre un film sans âme, sans identité, et sans émotions. Un beau spectacle, porté par un Chris Evans en grande forme, mais malheureusement très dispensable.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 novembre 2013
    Autant je comprends qu'un film n'ai pas être la réplique exacte du livre dont il est tiré, autant je pense que la BD avait une fin autrement plus tragique et angoissante que celle de ce film formaté pour plaire au plus grand nombre.
    .
    J'ai vraiment du mal à comprendre les avis si positif de la presse spécialisée. Je me demande ce qui se passe actuellement au cinéma ... Tout est plat, sans saveur avec l'exploitation d'une violence gratuite pour donner un semblant d'action et je ne parle pas du creux des scénarios ...
    .
    Durant la séance mes attentes de frissons et d'émotions ont rapidement laissé la place à l'ennuie et la déception.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 novembre 2013
    OH MON DIEU! Ce film est catastrophique. N'ayant pas lu la BD je ne vais pas juger l'oeuvre mauvaise. Mais le film fait honte au cinéma. 11€50 pour quoi ? Pour rien, j'ai perdu mon temps.
    1°Le film commence plutôt bien, on nous plonge dans l'univers, blabla la terre s'est transformé en congélateur et l'espèce humaine se retrouve dans un train, OK (j'aime la science fiction, j'admet que le cinéma peut avoir un côté non réaliste (désolé pour les fans de Godard et de Bresson)
    2° Les "pauvres" vivent à l'arrière du train, les riches à l'avant, c'est une jolie métaphore inspiré de la pyramide (les esclaves en bas, dieu en haut). Bref on a compris, l'interprête de Captain America est pauvre et Ed Haris est un Dieu dans la robe de chambre de mon grand père.
    3° Les pauvres se font maltraités à l'arrière du train par les méchants riche, spoiler: comme lorsqu'un moment un des types se fait passer le bras au travers d'un hublot en guise de punition, son bras gèle est est devenu de la glace (j'estime la température extérieure à environ -3000°C)
    . Captain America (Chris Evans) se rend compte que spoiler: les fusils sont chargés à blanc (oui comme ca, juste en regardant le fusil, il ne s'est visiblement pas remis de son séjour chez Avengers). Bref il décide de se lancer, braque sur son propre front un fusil et POUMCHAKALA MAGIE pas de balle!
    (je recommande the Deer Hunter pour plus de sensations)
    4°Passons maintenant les quelques wagons: spoiler: nous faisons la connaissance d'un chinois ou d'un coréen ou je n'sais pas quoi complètement drogué à de la cryptonite (désolé je ne me rappelle plus le nom de cette drogue bien qu'ils le racontent pendant tout le film). Bref ce chinois (vous m'avez compris) complètement défoncé est le type qui a construit le système de sécurité des portes des wagons, et comme avec l'âne et le carotte, on lui file une dose a chaque porte ouverte.
    Bref ensui.. QUOI, MAIS PUTAIN C'EST UN JEU DE PLATEFORME?? BRAVO T'OUVRE UNE PORTE T'AS UNE MEDAILLE?? Ah oui sans oublier que spoiler: ce chinois ne sait pas parler anglais, on utilise donc un traducteur automatique (bonne idée, sauf que l'oublier pour la moitié des répliques,
    désolé la scripte mais T AS FAIT DLA MERDE). Bref, on laisse passer encore une fois. Mais bon sachant que c'est les pauvres a l'arrière du train, spoiler: franchement c'est peut etre pas des américains ni des anglais qui représentent le mieux les populations pauvres de notre planète .. Bref y'a pas un de leur pote qui peut parler directement au chinois.

    On se retrouve par la suite dans un wagon en compagnie de type spoiler: en noir avec des haches, tout prêt, je ne comprends pas trop pourquoi il sont là, mais bon la il y a une mêlé bien gore. Les pauvres arrivent à les battre, cela relève du miracle, mais SURPRISE, pendant l'intervention, il y a le nouvel an ! J'ai été surpris encore de ne pas voir le champagne. Après un petit moment "splinter cell",
    le film commence vraiment à partir en "What the Fuck" si je peux me permettre.
    spoiler: Ensuite un moment on se retrouve dans un wagon école, avec plein de petits enfants complètement manipulé par le "Dieu" qu'est le chauffeur du train, un certain William si je me rappelle bien. Il s'agit de la seule scène bien du film, assez psyché! J'ai bien rigolé, surtout j'ai été heureux quand la boufonne interprété par l'excellente Tilda Swinton se fait exploser. Voila au fur et a mesure on se rend compte qu'ils mangaient pas des pâtes de fruit mais des cafards (ces cons ne se sont jamais rendus compte que c'était pas bon? Ensuite on se retrouve dans des wagons invraissemblables, je ne sais même pas combien il y a des personnes que l'on croise mais ce n'est pas beaucoup.
    Bref j'ai dormi un moment. spoiler: Il y a un méchant du style terminator qui ne meure jamais meme avec un couteau dans l'épaule, dans le ventre. On le ressussite comme ca parce que les figurants on du fuire.
    Et puis LA: LA FIN

    spoiler: Alors la fin, Captain america arrive enfin a l'avant du Trainperceuse (Nooooooon sans déconner) et la y'a Ed Harris, qui n'a pas vieilli depuis 1996, il se fait un petit steak et on s'attends limite à "Bravo d'être arrivé la bouseux, je suis ton père!!!!" Bref c'est incompréhensible, on est sensé dénicher une morale ( ah oui il y a un gosse qui a disparu au début et qu'on retrouve en train de faire marcher le train parce qu'on t'explique entre deux regards que seul un enfan de moins de 5 ans peut faire fontionner les rouages). Ensuite le chinois révèle que la cryptonite qu'il avait gardé en fait servait a faire une bombe et faire péter le train, bref ca marche tout pète
    BOUM BADAB OUM spoiler: AVALANCHE, toute l'humanité meurt .......... Et par magie, sa fille au chinois, survit, avec le petit qui était dans les rouages, le petit trouve un super manteau en fourrure a sa taille avec les bottes et tout, ils sortent dehors, il fait beau, il fait chaud, on s'en BRANLE de la tempête de glace, et il y a un plan magnifique sur un ours polaire. Ba quoi, quel mammifère vit sur la neige, un ours polaire, on va pas se casser le cul a faire plus original! Mais alors, il est arrivé comment ce putain d'Ours alors que 1h45 auparavant on dit que toute forme de vie sur Terre a été anéantie? Non mais c'est franchement
    SE FOUTRE DE LA GUEULE DU MONDE.

    Bref, je suis désolé si j'énumère pas tout ce qui m'a choqué, je suis resté jusqu'à la fin, mais si vous voulez voir de l'absurde, choisissez mieux et allez voir spoiler: les fusils sont chargés à blanc (oui comme ca, juste en regardant le fusil, il ne s'est visiblement pas remis de son séjour chez Avengers). Bref il décide de se lancer, braque sur son propre front un fusil et POUMCHAKALA MAGIE pas de balle! 0
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 novembre 2013
    Après avoir vu ce navet, j'ai relu les critiques. On a pas du voir le même film ! Moi, j'ai vu un film affligeant, avec pas un acteur pour relever le niveau, des scènes violente qui s’enchaînent sans rien apporter, un peu de philosophie à deux balles et pour couronner le tout une fin surréaliste. Bref, cela a été un long cauchemar (car le film dure en plus longtemps), il aurait pu au moins mettre moins de wagon pour qu'on en finisse plus vite.
    Cathedrale
    Cathedrale

    85 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 novembre 2013
    L'arche métallique dévore des kilomètres de rails aussi frénétiquement que les crasseux du dernier wagon leurs protéines gluantes. Sous la dent malicieuse d'un gamin joueur, une balle, évident réceptacle de mots déclencheurs de Révolte, est précieusement recueillie par les mains coupables du (ridicule) chef Curtis. Les laissés-pour-compte crient Vengeance, la Rage, ancrée dans tous les corps même mutilés bouillonne, des plans pénibles d'explications douteuses s'enchainent et.. Les portes du Wagon s'ouvrent enfin, la fine barrière à blanc qui retenait les pauvres bougres dans leur ghetto est franchie, les hommes et femmes courent en glapissant, bondissent en s'égosillant. L'ossature de la machine est alors décortiquée : surprise, son estomac ne réserve rien d'inouïe, accumulant même les facilités scénaristiques sur l'autel bafoué du grand Spectacle. Qui, pour être intéressé? Le petit Créateur, en peignoir babillant, se joue de nous. Seul couple captivant, le père et sa gamine, indéchiffrable silhouette à l'esprit ravagé par la came; entre leurs doigts agiles s'effritent les cubes explosifs, se glissant dans le mouvement perpétuel du train dans le seul but de Survivre, pour de vrai, pour de bon, s'éloigner à tout prix de ce Transperceneige fumeux, débile et dérisoire.
    Mondocine
    Mondocine

    75 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2013
    Avec Snowpiercer - Le Transperceneige, le coréen Bong Joon Ho frappe à nouveau un grand coup en s'immergeant cette fois dans la science fiction adaptée de la BD éponyme française, par une vibrante aventure haletante à l'intelligence sans faille, conjuguant à merveille réflexion de fond sur la nature humaine et l'antagonisme civilisation vs humanité, et divertissement original faisant preuve de caractère. Solide, créatif et immersif, un grand standard moderne de la SF post-apocalyptique qui évacue le spectaculaire facile pour se focaliser avec intensité sur son récit, ses personnages et ses thématiques. Il y a du grand là-dedans ! Dommage seulement que le dernier acte soit un poil plus laborieux et contrecarré par quelques facilités scénaristiques, peinant à extraire de sa puissante histoire métaphorique, une fin idéale tout en subtilité.
    GodMonsters
    GodMonsters

    1 295 abonnés 2 645 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 septembre 2017
    L'affiche et le titre m'ont toujours laissé penser que ce film était un navet. Étant impatient de voir Okja du même réalisateur, et ayant apprécié The Host, j'ai décidé de le visionner.. et c'est une bonne surprise ! Le scénario est très vite prenant, l'histoire de cette civilisation hiérarchisée fait écho à notre société. Un film qui mélange le catastrophe, le survival, l'action, et le cinéma d'anticipation. Le seul défaut à mes yeux sont le manque d'épaisseur de certains personnages, notamment le héros, on entre directement dans le côté survival et rébellion.
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