Snowpiercer, Le Transperceneige
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1 376 critiques spectateurs

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anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 19 novembre 2013
Nullissime. Une pitoyable reprodution d'une lutte des classes à l'échelle d'un train, une régulation de l'humanité réduite à un sens primitif.
Zebulonix
Zebulonix

3 abonnés 70 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 3 novembre 2013
Je me suis encore fait avoir. J'ai lu de bonnes critiques (presse) et il y avait une bonne cote sur allociné. Alors j'ai tenté...
Tu parles ! Quand je lis "un excellent voyage au pays de la réflexion humanitaire !" je m'effondre. C'est creux, bidon, plein d'incohérences... Le train, vu de l'extérieur, tremble et fait un bruit d'enfer. Mais une fois dans le train, rien ne bouge et il y a juste un vague bruit de fond très lointain. En VO, l'asiatique parle asiatique (quelle langue ? ça n'a pas vraiment d'importance) et l'autre lui répond en anglais alors qu'ils ne se comprennent pas. Il y a de temps en temps un petit traducteur électronique, mais pas dans toutes les scènes. Curieux, non ? Ce ne sont que des détails. Plein d'autres trucs sont gênants.
D'où vient la viande ? Comment fonctionne la "Machine" ? Des fois les fusils sont vides (plus de munitions depuis la dernière révolte) mais d'autres fois, on se tire dessus quand même... Et j'en passe.
C'est violent, il y a de la baston, et quelques effets spéciaux. Ça ne suffit pas.
Bref, on m'a raconté une histoire à laquelle je n'ai pas cru. Mais alors pas du tout.
Julien D
Julien D

1 228 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 7 novembre 2013
On croyait le schéma de la lutte des classes usé jusqu’à la moelle par le cinéma d’anticipation mais parfois quelques perles de transgression idéologique et de symbolisme philosophique deviennent des brulots politiques. C’est exactement le cas de ce magnifique Snowpiercer, adaptation d’une bande dessinée française par l’un des réalisateurs coréens les plus virtuose dans l’art du mélange de genre, Bong Joon-ho. Derrière un huis-clôt ferroviaire post-apocalyptique, c’est une formidable allégorie du système économique en place qui se dessine, sorte de 1984 réduit à l’échelle d’un train, qui va trouver son sommet dans l’effrayant monologue d’Ed Harris à la fin. L’ensemble du casting, de Chris Evans à Tilda Swinton (magnifiquement méconnaissable), est tout simplement excellent tandis que le superbe travail fait par le directeur photographie contribue à l’ambiance oppressante et à la noirceur du propos. Bref, un grand film de science-fiction qui réussit à faire de sa narration linéaire le support d’un scénario complexe et d’une morale terriblement fataliste (à ce propos, la dernière scène est un peu obsolète).
Guimzy
Guimzy

174 abonnés 467 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 5 novembre 2013
Bong Joon-ho garde un pied en Corée du Sud avec Snowpiercer, son premier film doté d’un casting international et tourné majoritairement en langue anglaise. Et comme à son habitude, le réalisateur pond un film coup de poing, qui parvient à se distinguer clairement des autres blockbusters apocalyptiques. Non seulement l’adaptation est une réussite totale, mais le film en lui-même s’avère assez étourdissant, portant comme jamais la marque de son auteur. Ainsi, le film est ce que l'on attendait et même plus, souvent complexe, toujours aussi raffiné derrière sa noirceur et sa violence. Et surtout, il n'est pas tombé dans le piège que l'on craignait tous : le manichéisme. Là où il n’a pas sa place, c’est dans la simple idée que la répartition des voyageurs ne répond à aucune logique mais s’avère complètement arbitraire. Ce qu’il souligne ici, c’est la nature même de l’être humain, capable d’oublier ses idéaux les plus fondamentaux lorsqu’il se retrouve dans une position privilégiée. Un propos hautement misanthrope que construit également le personnage de Curtis, faux leader et véritable être humain en proie à ses failles, se retrouvant dans le final face à une situation morale extrêmement délicate. Par ailleurs, Snowpiercer reste un pur film de son auteur dans le sens où il s’amuse toujours autant à prendre le spectateur à revers, et notamment à travers son sens de l’humour. Il n’hésite pas à déployer des ruptures de ton brutales, joue avec le grotesque alors que le propos général est excessivement grave, créant parfois une sensation de malaise ( la scène de chant à l'école ). En plus d'avoir un récit propre et d'être un fabuleux projet de mise en scène, le film se permet d'être un véritable symbole, symbole purement pessimiste. A l'image de la scène essentielle, où nos héros se battent contre des ennemis masques, qui doivent utiliser le feu comme moyen de survie et de combattre. Snowpiercer prône, de façon diablement pessimiste, un retour aux origines pour balayer la folie des hommes et reconstruire le monde. Dans cette optique, il n’est pas surprenant de voir dans la séquence finale non pas tant un rappel de la rencontre avec le créateur de la trilogie Matrix mais plus une variation autour de la dynamique mise en place dans 2001, l’odyssée de l’espace, qui reposait sur la valeur cyclique de l’humanité. Ce que propose Boon Joon-ho est donc assez immense, misant quasiment l'intégralité du film sur une approche intellectuelle basée sur une confiance totale en l’intelligence du public. De plus, il parvient à réussir un sacré challenge : parvenir à transposer à l’écran un univers clos et restreint, nécessitant une compréhension de l’espace de chaque instant, et le réalisateur le fait à merveille. Ponctué de séquences d’une violence inouïe (la longue baston du wagon-sauna est terrible), d’une succession de symboles toujours forts et faisant corps avec le propos, Snowpiercer est une œuvre désespérée, comme le sont les révolutions, qui n’oublie jamais que la révolte se fait dans le sang et n’est qu’un écran de fumée pour le peuple manipulable, les héros n’étant que les pantins du pouvoir. On a affaire à une grammaire cinématographique complexe, portée par un ensemble d'acteurs impressionnant , qu’il s’agisse de l’outrance de Tilda Swinton, de la sobriété massive de Chris Evans ou de la folie de Song Kang-ho. Et bien évidemment, les effets numériques de l'extérieur du train sont à tomber par terre. Ainsi, malgré certes quelques incohérences, peut-être même quelques lenteurs, Snowpiercer est une oeuvre assez bouleversante, une odyssée sombre et tragique, portée par l'énergie de du désespoir.
GodMonsters
GodMonsters

1 324 abonnés 2 645 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 30 septembre 2017
L'affiche et le titre m'ont toujours laissé penser que ce film était un navet. Étant impatient de voir Okja du même réalisateur, et ayant apprécié The Host, j'ai décidé de le visionner.. et c'est une bonne surprise ! Le scénario est très vite prenant, l'histoire de cette civilisation hiérarchisée fait écho à notre société. Un film qui mélange le catastrophe, le survival, l'action, et le cinéma d'anticipation. Le seul défaut à mes yeux sont le manque d'épaisseur de certains personnages, notamment le héros, on entre directement dans le côté survival et rébellion.
Acidus
Acidus

753 abonnés 3 742 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 31 octobre 2013
Sous la masse impressionnante de blockbusters typés science fiction qui sont sortis en cette année 2013, trés peu arrivent à se distinguer et à s'écarter de la soupe habituelle que nous sortent les studios holywoodiens depuis quelques temps. Avec un tel casting et Bong Joon-Ho aux commandes,"Snowpiercer" se démarque par la qualité de sa mise en scène, l'intelligence de son scénario et cette ambiance à la fois excitante et étouffante. Le réalisateur coréen n'évite toutefois pas certains clichés et quelques facilités ainsi q'une baisse de rythme durant le dernier tiers du film. "Snowpiercer" constitue néanmoins une bonne surprise.
Roub E.
Roub E.

1 028 abonnés 5 053 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 10 décembre 2014
Un film de science fiction brillant, vraiment dense et qui mériterait franchement une deuxième vision de ma part. Avec cette histoire de révolution à l intérieur d un train dans un monde post apocalyptique qui vit une nouvelle époque glaciaire. Snowpiercer est un film qui prône la résistance en étant en même temps lucide sur l homme cet animal politique. Maniant à la fois l humour, une violence crue, des choix esthétiques brillants que ce soit la photo ou les costumes Snowpiercer est un film qui vaut largement le détour.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 23 novembre 2013
Pour le prix d'un aller retour Massy Palaiseau Paris offrez vous Germinal ET Rambo mais soyez prévenus vous vous embeterez plus que sur le Paris-Massy!
Ce film a un mérite : m'avoir donné envie de m'inscrire pour poster une critique!
En effet j'ai rarement vu pareil navet, et encore plus rare, tel navet encensé par les critiques!
Je passe sur l'invraisemblance du scénario, avec ce train circulant seul dans un monde sans vie ... un rêve de la direction de la SNCF sans doute ...
Au début est la snow mais comme l'indique le film le pire est à venir : dès les premières scènes, dignes des miserables version US, c'est à dire avec maquillages et jeu d'acteur auprès desquels le pire télefilm de FR3 fait figure d'oscarisable, on est dans l'ambiance.
Enfin, c'est ce qu'on croit car ensuite on passe plutot à Rambo 14 et Kill Bill 17 (heureusement que le comique involontaire des costumes (ah les cagoules aveuglantes!) attenue la violence de la boucherie interminable et répétitive! En associant ensuite le pire des films d'actions et les plus simplistes des films politiques (ou l'inverse) eh bien ... on se prend à espérer un jingle SNCF annonçant un prochain arrêt mais non, vous avez la gagné la carte grand voyageur sans terminus. Tout est muni de gros sabots, surjoué, on a lu que c'était autre chose qu'un blockbuster d'Hollywood, c'est vrai : Hollywood n'ose plus être aussi simpliste ...
Reste pour justifier la demi etoile quelques décors de compartiments du train (l'exterieur est plutot decevant aussi ...).
Bref si vous avez aimé reservoir dogs, fast and furious et "les misérables font du ski" allez y
MC4815162342
MC4815162342

405 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 14 novembre 2013
Je vois déjà ceux qui se disent "2h de film dans un train ??? ok euh je passe" mais non ne passez pas, surtout pas ce serait une bêtise, ok le film ne plaira pas à tout le monde mais c'est certainement pas à zapper.
Pour ma part c'est WOAW, woaw, woaw, franchement on en a pour son argent, un film rempli d'action mais qui n’écrase pas la sincérité du scénario, certes par moment c'est pas très réaliste mais on prend son pied devant cette aventure ultra bien mise en scène, au casting irréprochable, au effets spéciaux impressionnant et à la beauté des décors, un véritable petit monstre qui se regarde avec le plus grand des plaisirs.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 1 novembre 2013
j'avais lu la BD tome 1 étant jeune. j'ai dû vieillir. un film aussi long que le train, et une tension encore moindre qu'un TGV en panne. restez sur le quai...
Shephard69
Shephard69

349 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 16 juillet 2014
Un film de science-fiction post-apocalyptique au synopsis d'apparence basique avec une lutte des classes mais au développement scénaristique spectaculaire. Une photographie sensationnelle, une ambiance claustrophobique qui s'installe et fonctionne très bien, des rebondissements dantesques qui prennent aux tripes, quelques passages d'anthologie qui font penser à "Old boy" ou "Thirst" de Park Chan-wook, une mise en scène de Bong Joon-ho grandiose, un casting et une interprétation de gros calibre comme John Hurt, Tilda Swinton. Grosse impression.
Sagramanga
Sagramanga

23 abonnés 87 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 14 décembre 2013
Indigeste comme un hamburger à la viande avariée : une tranche de scénario d'une niaiserie digne de Luc Besson, entouré par deux grosses tranches de mise en scène pompeuse et maniérée, parsemé de personnages ridicules (sans doute le plus mauvais rôle de Tilda Swinton, pourtant souvent admirable), avec quelques vrai morceaux de gore dedans, d'abondance de giclements de sang et de mains transpercées, où la spectacularisation de la violence comme chez Tarantino devient ici très répétitive et ennuyeuse, le tout enveloppé dans un sachet hermétique, à savoir un long couloir de métal assez claustrophobique au long duquel se concentre toute l'action.

Il s'agit pour les pauvres (les gentils), relégués en fond de convoi, de remonter jusqu'à l'avant du train où se trouvent les riches (les méchants, donc), afin de renverser le pouvoir ; du moins le croient-ils, et c'est là la seule subtilité du film, réservant à la fin quelques scènes un peu originales (avec l'apparition du personnage joué par Ed Harris). Ce doit d'ailleurs être la seule chose qui reste de la bande dessinée d'origine.
Mais tout cela est rapidement balayé par des fusillades et des explosions diverses, accompagnées d'avalanches de neige et d'acier, de cris en tous genres et de visages grimaçants.
brunetol
brunetol

197 abonnés 179 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 30 mars 2014
Série Z produite avec des moyens de blockbuster, comme les immondices de Roland Emmerich (Stargate, Independance Day, Godzilla, etc...), ce nanar épouvantable de complaisance et de bêtise s'est retrouvé couvert de louanges insensées par une critique sourde et momentanément décérébrée. La bande-dessinée est un art en soi et l'œuvre de Rochette, Legrand et Lob se suffisait à elle-même. Projetée sur un écran, incarnée, que reste-t-il ? Tout ce qui tenait de la métaphore de la lutte des classes (lourdingue et simpliste, mais visuellement séduisante) devient grotesque. Bong Joon-Ho, déjà coupable du très surestimé "The Host", pratique un mélange des genres insupportable, alternant les séquences larmoyantes écrasées d'esprit de sérieux avec des épisodes loufoques dignes de Benny Hill, le tout assaisonné de violence complaisante, sanguinolente et savamment chorégraphiée comme dans un film de sabre, sans aucun souci de cohérence narrative, stylistique ou psychologique : c'est constamment n'importe quoi. D'un wagon à l'autre au fil de cette pénible remontée, on passe d'une usine à broyer les cafards à un aquarium géant de parc d'attraction aux dimensions incompatibles, de l'Orient-Express à une classe d'école primaire victorienne avec institutrice équipée de kalachnikov, d'un lupanar décadent à la locomotive où sévit l'ignoble Big Brother ici nommé Wilford sous les traits de l'avenant Ed Harris abonné aux rôles de démiurge (cf "The Truman Show"). Bref de Georges Orwell à Delicatessen en passant par Bruce Lee. Même le nullissime "Mad Max 3 : Beyond the Thunderdome" qui grenouillait dans les mêmes eaux dystopiques, parait génial en comparaison de cette bouse. Je ne vous parle même pas du final (qui m'a quand même arraché un grand éclat de rire). En voulant jouer sur tous les registres à la fois, "Snowpiercer" ne peut même pas rejoindre la cohorte des navets dignes d'une mention dans "Mauvais genre" (excellente émission de France Culture), car il lui manque précisément l'amateurisme potache, le manque de moyens et la naïveté mercantile qui sont la marque d'une bonne série Z. En l'état, il se dresse dans le paysage cinématographique comme l'un de ces étrons architecturaux érigés à coup de milliards au milieu des déserts du Golfe Persique. Obscène.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 12 novembre 2013
Voyons.... Grosse merde ! c'est ce qui me vient à l'esprit. Mais comment peut-on faire un film aussi débile avec un sujet aussi intéressant ? Le coup du poisson, les deux molosses aux supers pouvoirs, les univers wagonnesques à la artist touch, l'histoire abracadabrantesque de Curtis, les offrandes des bras, les cons aux haches et aux épées, le train super high-tech mais qui n'a pas de thermomètre extérieur pour voir que la température monte un peu quand même, le femme et l'enfant devant un ours polaire qui finira vraisemblablement par les bouffer etc.... tout ça dans le désordre..... Les personnages sorties tout droit de brazil, en bref ! Ce film est une vraie déception pour l'amoureux du cinéma que je suis. Il est uniquement destiné pour les même crétins qui bouche-bée son en admiration devant une peinture représentant une tache et qui vont y trouver toutes les significations qu'on voudra ou pas entendre.
HONTEUX !
Der Metzgermeister
Der Metzgermeister

40 abonnés 245 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 22 avril 2014
Une utopie sur rail, doter de son propre écosystème et d'un fonctionnement hors du commun, l'idée est remarquable et a de quoi nous intriguer. Installation d'un régime de terreur, soumission des classes moyennes, injustices, tout les ingrédients sont là pour amener le spectateur à être recruter parmi les rangs de ces survivants accablés de douleurs, et aussi à nous enrôler parmi les insurgés afin de servir les causes de cette rébellion. Dès la scène du bras gelé, la colère doit déjà gronder au plus profond de nous mêmes. Puis, la révolte éclate. Nous évoluons ainsi de wagon en wagon, découvrant par la suite les origines ( déjà plus que douteuses ) de ces barres protéinés servit pour les rescapés des ravages de cette nouvelle ère glaciaire. Le réalisme des scènes de bataille est saisissant, Ici, pas de coups dévastateurs qui propulserait un opposant d'un wagon à un autre, ni de kill streaks de la part du leader, Curtis. Tout est finement mesurer, tout est parfaitement chronométrer. Le sang jaillit sans être excessif, la milice est efficace, rien n'est trop surfait, sur ce rythme, les idées jaillissent. Une idée très innovante voie le jour ( ou plutôt l'obscurité ) : La joute entre les deux camps dans un wagon plonger dans le noir total avec les combattants dotés de lunettes infrarouges : Saisissant. Nous continuons notre périple avec moult explications, les théorie de Mason, puis le cours d'aliénations des enfants dans une salle de classe instruit par une fervante admiratrice du créateur de ce système : Wilford ( A qui l'on voue un véritable culte de la personnalité et une vénération divine, un peu comme dans Bioshock ) Puis nous revoilà prit dans une embuscade remarquablement tendue, puis ce nullissime échange de tir entre le bras droit de Mason et Curtis. Le train est en mouvement, une grosse distance les séparent, bref, je n'aime pas. La scène que je préfère est ( étonnement d'ailleurs ) non pas le récit de Curtis devant la porte avec Namgoong, mais bien l'explication que lui fournit ce dernier en lui exposant ses convictions. je trouve cette scène remarquablement forte. Enfin nous arrivons à notre objectif, des explications sont rendues ( trop vites selon moi ) ce qui aboutie à une fin de merde qui pour moi est représentative de la fin de l'humanité, le glas à sonner, une ère nouvelle semble se profiler à l'horizon... Croyez vous ? Greenpeace a dû avoir mal à cul quand ils se sont dit qu'on allait out de même pas se jeter sur le premier ours blanc que l'on croisent... Bref, une fin vite torchée. Joon-ho réalise un film qui manque d'un gros cheveu la perfection, même si celui-ci impressionne avec une photographie honorable, et une utilisation de plans et d'angles assez innovants. La nature humaine est remise en question, parfait ! Mais autant ne pas bâcler le boulot.
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