Il aura fallu attendre quatre années pour voir le retour des deux acolytes les plus obsédés et drogués, avec Harold & Kumar S'Évadent De Guantánamo, une suite cette fois-ci réalisée par un duo composé de Jon Hurwitz et Hay Schlossberg. L'histoire reprend là ou elle s'était arrêtée dans le premier volet, et nous fait suivre les deux amis prenant l'avion pour Amsterdam afin de rejoindre Maria. Seulement, le vol ne va pas se passer comme prévu et les deux compères vont se retrouver emprisonnés à Guantánamo. Ce synopsis raconte en réalité qu'une petite partie de ce que le scénario a à nous offrir et s'avère beaucoup plus étoffé que ça. Il nous embarque dans une folle aventure, plus longue, avec une heure quarante-cinq au compteur. Une durée qui ne se fait pas ressentir tant le plaisir est présent au visionnage. En effet, cette deuxième mouture est encore plus appréciable que la précédente. L'intrigue parvient à se renouveler à travers des scènes toujours aussi capillotractées, dénonçant d'avantage au passage. On retrouve le même humour porté en dessous de la ceinture et faisant l'apologie de la marijuana. Mais cela semble tout de même moins présent et le ton léger et décalé fait mouche à plusieurs reprises tout du long. Au casting, on retrouve bien évidemment John Cho et Kal Penn qui reprennent leurs rôles. Mais ils sont cette fois-ci entourés par d'autres comédiens comme Rob Corddry, Danneel Harris ou encore Eric Winter, même si on retrouve également Paula Garcés et Neil Patrick Harris, entre autres. Tout ce beau monde entretien des échanges amusants, soutenus par des répliques sympathiques. L'ensemble est convenablement réalisé par le duo de metteur en scène, qui nous permettent de voir du paysage vu le parcours semé d'embuches vécu par les deux amis. Ce visuel n'a rien de particulier à offrir. On retiendra plutôt la b.o. éclectique, capable de s'adapter à toutes les situations avec ses compositions diversifiées. Reste une fin satisfaisante, venant mettre un terme à Harold & Kumar S'Évadent De Guantánamo, qui au final s'avère être une comédie divertissante, légèrement plus réussie que son ainé, méritant le coup d’œil.
Après avoir chassé le burger en passant directement par la case “DVD”, c’est sur grand écran que “Harold & Kumar s’évadent de Guantanamo”. Incarcérés là-bas suite à un malencontreux concours de circonstances impliquant un avion, de la drogue et des passagers paranoïaques, les deux compères ne tardent pourtant pas à en sortir et se retrouvent contraints de traverser les États-Unis. Un périple au programme plus que chargé qui les amènera notamment à participer une soirée “j’enlève le bas”, dormir chez un couple de fermiers consanguins, fuir le FBI, ou encore rencontrer l’acteur Neil Patrick Harris (l’inénarable Barney de la série “How I Met Your Mother”) dans son propre rôle, sans oublier une séance de fumette chez… George Bush ! Un road-movie parfois drôle, souvent gras et toujours crétin, mais qui glisse bien trop souvent vers la vulgarité pour être vraiment plaisant. S’il n’y a pas forcément de quoi vouloir s’évader de la salle, il n’y a donc pas non plus de quoi chercher à en prendre pour perpète.
Harold et Kumar s'évadent de Guantanamo est la suite logique du premier long-métrage réalisé quatre années plus tôt. Cette comédie ne possédant ni scénario, ni acteurs crédibles, ni bons dialogues se base uniquement sur son humour à la fois grotesque et grossier pour toucher le public ; et cela marche... Parfois. A vois entre potes si vous vous ennuyez un soir de coloc.
Que dire de cette suite ? Grosso modo c'est le premier avec encore plus de surenchère, plus de blagues débiles, plus de situations surréalistes. C'est du même niveau, et encore une fois les débiles attardés ou les amateurs de films barrés défoncés y trouveront sans doute leur compte. Pour les autres il serait tout simplement de passer leur chemin (personnellement je l'ai vu avec des cousins, tout seul je n'aurais jamais osé). Totalement dispensable.
Un deuxième opus encore plus réussit que le premier L'humour est gras, lourd, mais le film flingue à tout va les problèmes contemporains et le fait avec humour. Une grosse récréation pas si débile que ça au final, même si c'est loin d'être subtil. Gros point positif avec le flic en chasse des 2 protagonistes absolument débile et paranoïaque au possible, il m'a fait hurler de rire.
Plus imaginatif que le premier opus malgré une conclusion fade et insipide, Harold et Kumar offre ses moments d'humour, d'auto dérision et de critique de la société. On y apercevra ainsi le président Bush tenant un discours libertin inattendu.
Le premier etait aussi drôle que gras, cette suite est juste grasse et réchauffé semblant avoir été écrit et réalisé en 2 semaines. Bien sûr l'univers est toujours le même et quelques digressions par ci par là sont drôles mais l'ensemble est baclé et n'est jamais aussi délirant que le premier. On peut donc dire qu'Harrold et Kumar déçoive et il n'y a que Neil Patrick Harris pour sauver la mise dans son propre rôle.
C'est plutôt bon, une comédie farfelue, déjantée et avec une distribution intéressante. C'est vrai que le scénario n'est pas fantastique mais c'est amusant, assez vivant, on ne s'ennuie pas. Un film à voir et qui plaira surement par ses nombreux gags et situations les plus burlesques les unes des autres!!
Attention, humour graveleux ! Laisser votre cerveau à l’entrée et laissez-vous porter par ce road movie / road tripe complètement déjanté, absurde et très porté en dessous de la ceinture ! Une heure trente de conneries non stop et blagues scato en tout genre, de quoi ravir n’importe quel attardé. Entre certaines répliques amusantes et les clichés racistes, seule les vingt premières minutes du film parviennent à nous décrisper, après on est forcé d’attendre le générique de fin pour déguerpir le plus vite !
J'ai été bien surprise, je m'attendais à un film vulgaire et très lourd, au final c'est très drôle, notamment grâce aux deux personnages principaux. Kal Penn est bourré de talent ! Quelle différence avec son rôle dans "[H]ouse M.D" x'D, et John Cho qui d'habitude récolte des rôles de lourdaux, est plutôt traditionnel :'O ça change. Bref un grand pour