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4 étoiles pour les 4 acteurs ( le gamin) et spécialement emmanuelle Beart, brulée par la passion
« Nous trois » est une comédie dramatique de Renaud Bertrand qui avait réalisé la saison 1 de Clara Sheller. Le film est vu à auteur d’enfant, le personnage principal étant Sébastien, 6 ans et demi, dont le père est inventeur et la mère institutrice. Le réalisateur tente de montrer à travers cette histoire simple la complexité et parfois la brutalité des relations entre adultes à travers le regard de ce fils en manque d’affection. De la comédie de mœurs rétro un brin désuète, le film bascule dans sa dernière partie vers le drame familial. « Nous trois » bénéficie d’une bonne interprétation mais le scénario manque de consistance et d’originalité. Les décors reconstituant les années 70 sont un peu trop kitsch et la bande originale nous sert inévitablement des tubes d’époque. Tout ceci est très louable mais un peu artificiel et ce long métrage peine à réellement capter notre intérêt sur la longueur.
Une étoile juste pour Jacques Gamblin et Audrey Dana
Renaud Bertrand signe ici un film qui est ennuyant du début à la fin. Bon, moi personnellement, je n'aime pas Emmanuelle Béart car je trouve qu'elle a toujours le même jeu depuis qu'elle fait du cinéma.
Il y a cependant des points positifs : Jacques Gamblin, par exemple ou meme Audrey Dana. Mais ce n'est pas suffisant.
Un film sans interet.
Il y a cependant des points positifs : Jacques Gamblin, par exemple ou meme Audrey Dana. Mais ce n'est pas suffisant.
Un film sans interet.
J'ai été très déçue. Je m'attendais au moins à voir un film humain... pour moi, ce film n'est pas moral. Il n'empêche qu'il y a un travail derrière ce film, et que les acteurs sont vraiment doués, mais les films français et moi, ça n'a jamais collé. Pas de fin, les femmes sont prises vraiment pour... des insultes, bref dans certains films ça peut etre utile. Dans ce film, c'est son côté immorla qui ne m'a pas plu, c'est-à-dire le comportement des adultes vis-à-vis du petit garçon. C'est le film... mais pourrions-nous rendre cette histoire plus humaine?
Sympathique film qui semble bien partir avec de la joie de vivre, mais la fin me déçoit un peu...
entre le dernier jour du reste de ta vie et Amélie Poulain ce film se laisse se regarder avec une pointe de scpticisme , est ce le scnenario qui est mal écrit ou les acteurs qui surjouent , Gamblin est top
j ai passé un bon moment triste a la fin mais bon scénar les acteurs joue bien a voir
Dès sa sortie en dvd, je le regarde en boucle. Suberbe
Un jeune acteur adorable pour une histoire vraiment moche. Le rêve de tout enfant est de voir ses parents ensemble, pas de voir sa mère en aimer un autre, même si son père est décevant. Emmanuelle Béart n'est plus qu'un coup de bistouri sur pieds ! j'ai pas été touchée du tout :o(
« Ce qu’il y a de plus important chez un homme, c’est le premier regard que sa mère pose sur lui » dit Sébastien, six ans et des brouettes, dans une très belle scène d’ouverture. On est en 1972 et c’est à travers les yeux de ce gamin aussi rêveur que mature que va se dessiner un beau portrait de femme : celui de sa mère (Béart), institutrice et épouse modèle, éteinte par une vie monotone, que le môme fantasme en héroïne de roman-photo, reine heureuse et épanouie...alors qu’elle se meurt d’ennui au sein de son couple (son mari, joué par Gamblin, étant un inventeur farfelu et toujours à l’Ouest, un de ces nombreux « présents-absents» que l’on regarde trop tard ).
Lorsqu’un couple de voisins, libéré et aussi joyeux qu’une pub Kinder, vient emménager près de chez eux, Sebastien voit dans ce bel italien au sourire qui lui bouffe le visage, l’amant idéal de sa mère, celui qui lui fera reprendre goût à la vie. Impossible en voyant ce film de ne pas penser au récent « Le premier jour du reste de ta vie » ou au très beau « C.r.a.z.y ». Même mixture douce de tendresse, passion, frustrations, nostalgie familiale et regard troublé de l’enfance (pas si épargnée que cela).
Gamblin, inventeur fou de « la quatrième pédale du piano » et du toupet pour fixer les perruques, étriqué dans ses costumes papiers peint seventies, un regard d’enfant naïf dans un corps de vieux beau, est aussi touchant qu’Audrey Dana, épouse trompée, croqueuse de vie à la gaieté trop criante pour ne pas cacher un cœur ultra-fragile. C’est simple : on ne voit presque qu’elle, ici. Cette fille est juste GE-NI-ALE. A se tordre de rire ! Une grande fofolle exubérante qui va redonner des couleurs à ce monde terne, quitte à y perdre les siennes...
(1ére partie)
Lorsqu’un couple de voisins, libéré et aussi joyeux qu’une pub Kinder, vient emménager près de chez eux, Sebastien voit dans ce bel italien au sourire qui lui bouffe le visage, l’amant idéal de sa mère, celui qui lui fera reprendre goût à la vie. Impossible en voyant ce film de ne pas penser au récent « Le premier jour du reste de ta vie » ou au très beau « C.r.a.z.y ». Même mixture douce de tendresse, passion, frustrations, nostalgie familiale et regard troublé de l’enfance (pas si épargnée que cela).
Gamblin, inventeur fou de « la quatrième pédale du piano » et du toupet pour fixer les perruques, étriqué dans ses costumes papiers peint seventies, un regard d’enfant naïf dans un corps de vieux beau, est aussi touchant qu’Audrey Dana, épouse trompée, croqueuse de vie à la gaieté trop criante pour ne pas cacher un cœur ultra-fragile. C’est simple : on ne voit presque qu’elle, ici. Cette fille est juste GE-NI-ALE. A se tordre de rire ! Une grande fofolle exubérante qui va redonner des couleurs à ce monde terne, quitte à y perdre les siennes...
(1ére partie)
Film sans intérêt. Que raconte l'histoire? Qu'estc e que le petit garçon en retire à la fin? Rien. Nul. Bonne nuit.
Un film qui sait faire naître un tel sentiment de malaise relève forcément pour partie de la caste des très grands films. Pour partie... car certains points sont à revoir. Néanmoins, à aucun moment mon esprit ne fut en paix. Toujours à vouloir dénouer le bien du mal, l'excusable de ce qui ne l'est pas, le logique de l'illogique... Renaud Bertrand nous gratifie là d'une prestation plus qu'honnête qui ne laissera à coup sur personne de marbre. Une sorte de thriller psychologique si j'ose dire. Comme je l'ai dit, le film est dérangent sous de nombreux angles et les cinq protagonistes participent grandement au maintient d'un climat quasi indescriptible. Le mot de la fin? Ce n'est pas le genre de film que je regarderais tous les jours, néanmoins celui-ci méritait vraiment le détour.
Petite histoire charmante où Jacques Gamblin semble ne servir à rien, mais ça n'est qu'une facade!! Ce film est un tout, une histoire d'adultes vu par les yeux d'un enfant, cela rend vraiment très bien!
ce film passe en ce moment sur canal. je ne peux m'empecher de le voir en boucle tout me bouleverse la bande son est magnifique les acteurs sublimes et la detresse de cette femme me retourne; très très beau film !!!
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