Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Les Toits de Paris" ressuscite la magie du cinéma le plus pur pour dire la dureté du monde d'aujourd'hui, sa cruauté, son injustice. Il le fait avec la complicité d'acteurs, de vrais acteurs, de grands acteurs. Chapeau.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
[Hiner Saleem] peint avec tendresse et humour des êtres humains qui se débattent pour tenter d'exister encore un peu dans une société qui les rejette (...). Le charme du film vient aussi de l'excellence des comédiens (...).
TéléCinéObs
par ME Rouchy
En peu de mots, et grâce à la formidable interprétation de Michel Piccoli, toute en pudeur et en tendresse, Hiner Saleem (...) dit l'indicible (...) Choquant et paradoxalement bouleversant d'humanité, son film nous donne à voir ce que l'actualité pourtant bavarde n'a pas réussi à nous montrer : la beauté et la fragilité d'une vie de peu sous les toits.
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Sur un tel sujet, on pouvait craindre un déferlement de situations mélodramatiques douteuses, mais l'auteur se tire parfaitement de la situation en retenant les leçons de Tati ou d'Iosseliani : en faire moins pour plus d'efficacité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Grand âge, solitude et pauvreté condamnent à un exil dont Hiner Saleem, désormais parisien, scrute sans peur l'intimité, sous les fusils de l'indifférence.
Le Monde
par Thomas Sotinel
C'est la singularité et la beauté de Les Toits de Paris que d'être un film à thèse dont le propos n'est jamais énoncé. Tout passe dans une espèce de chorégraphie des derniers jours de la vie, un lent trajet vers le néant ponctué de moments de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe Azoury
(...) Le premier film français de Hiner Saleem, cinéaste kurde (Kilomètre Zéro) croqu[e], avec l'acidité du désespoir, quelques traits français – comme avait pu le faire avant lui le Jacques Tati géorgien Otar Iosseliani.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Sophie Grassin
[Hiner Saleem] signe (...) un film d'une grâce et d'une poésie folles sur le lent et très digne naufrage d'un homme.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
par Jean-Luc Bertet
(...) Le constat d'une société qui condamne à la solitude est juste. Michel Piccoli joue magnifiquement le naufrage de l'âge, la pudeur et la dignité humaine. Mais le film à son mi-temps s'essouffle, semble hésiter sur les chemins à suivre. C'est alors l'intérêt qu'on lui porte qui marque le pas.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
MCinéma.com
par Philippe Scrine
Fidèle à ses principes, Hiner Saleem est bien sûr amer, mais aussi, à l'occasion, drôle, tendre et poète.
Ouest France
par La rédaction
(...) passé une première tentation de rejet, on se laisse gagner par la poésie, la tendresse, la mélancolie et l'humanité que dégage le très généreux Michel Piccoli.
Positif
par Elise Domenach
(...) le jeu retenu de Piccoli (...) et de Bénichou offre à l'univers de Saleem sa plus jolie expression.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Pierre Murat
Durant les vingt dernières minutes, Hiner Saleem en rajoute un peu (...). Dommage. Car c'est dans le fragile équilibre entre humour noir et rose(...) que le cinéaste excelle.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Une fois Bénichou parti, le film perd ses meilleurs atouts et tombe dans le lourdeur et la redite.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
"Les Toits de Paris" ressuscite la magie du cinéma le plus pur pour dire la dureté du monde d'aujourd'hui, sa cruauté, son injustice. Il le fait avec la complicité d'acteurs, de vrais acteurs, de grands acteurs. Chapeau.
Le Figaroscope
[Hiner Saleem] peint avec tendresse et humour des êtres humains qui se débattent pour tenter d'exister encore un peu dans une société qui les rejette (...). Le charme du film vient aussi de l'excellence des comédiens (...).
TéléCinéObs
En peu de mots, et grâce à la formidable interprétation de Michel Piccoli, toute en pudeur et en tendresse, Hiner Saleem (...) dit l'indicible (...) Choquant et paradoxalement bouleversant d'humanité, son film nous donne à voir ce que l'actualité pourtant bavarde n'a pas réussi à nous montrer : la beauté et la fragilité d'une vie de peu sous les toits.
aVoir-aLire.com
Sur un tel sujet, on pouvait craindre un déferlement de situations mélodramatiques douteuses, mais l'auteur se tire parfaitement de la situation en retenant les leçons de Tati ou d'Iosseliani : en faire moins pour plus d'efficacité.
L'Humanité
Grand âge, solitude et pauvreté condamnent à un exil dont Hiner Saleem, désormais parisien, scrute sans peur l'intimité, sous les fusils de l'indifférence.
Le Monde
C'est la singularité et la beauté de Les Toits de Paris que d'être un film à thèse dont le propos n'est jamais énoncé. Tout passe dans une espèce de chorégraphie des derniers jours de la vie, un lent trajet vers le néant ponctué de moments de grâce.
Libération
(...) Le premier film français de Hiner Saleem, cinéaste kurde (Kilomètre Zéro) croqu[e], avec l'acidité du désespoir, quelques traits français – comme avait pu le faire avant lui le Jacques Tati géorgien Otar Iosseliani.
Première
[Hiner Saleem] signe (...) un film d'une grâce et d'une poésie folles sur le lent et très digne naufrage d'un homme.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
(...) Le constat d'une société qui condamne à la solitude est juste. Michel Piccoli joue magnifiquement le naufrage de l'âge, la pudeur et la dignité humaine. Mais le film à son mi-temps s'essouffle, semble hésiter sur les chemins à suivre. C'est alors l'intérêt qu'on lui porte qui marque le pas.
MCinéma.com
Fidèle à ses principes, Hiner Saleem est bien sûr amer, mais aussi, à l'occasion, drôle, tendre et poète.
Ouest France
(...) passé une première tentation de rejet, on se laisse gagner par la poésie, la tendresse, la mélancolie et l'humanité que dégage le très généreux Michel Piccoli.
Positif
(...) le jeu retenu de Piccoli (...) et de Bénichou offre à l'univers de Saleem sa plus jolie expression.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Durant les vingt dernières minutes, Hiner Saleem en rajoute un peu (...). Dommage. Car c'est dans le fragile équilibre entre humour noir et rose(...) que le cinéaste excelle.
Les Inrockuptibles
Une fois Bénichou parti, le film perd ses meilleurs atouts et tombe dans le lourdeur et la redite.