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Un visiteur
1,0
Publiée le 26 octobre 2011
Brüno ou bien un film trash, choquant, indécent, provocant et surjoué. Même si deux, trois scènes m'ont fait sourire il n'y a pas grand chose a en tiré malgré le message qu'il a essayé de faire passer.
S.B. Cohen ose tout dans cet ouragan hyper trash et survitamine, a prendre au quatrieme degre. L'absurdite des situations creees par Bruno font ressortir les travers et intolerances de la societe US. Les guests et la performance de Cohen meritent le detour.
Alors j'ai complétement rien compris au film et je le trouve débile à souhait moi qui est fan de genre décalé et d'humour a 3 ème degrès la j'avous ne pas l'avoir cerné ... Complétement débile idiot tous comme son acteur bref film à déconseiller a part si vous voulez perdre votre temps. Peut être le plus gros navet de l'histoire !
Là ou "Borat" avait l'honneur de nous faire rire en piégeant véritablement les gens filmés (le village, le vendeur de voitures ...), on sent malheureusement que cette fois ci, tout est écrit à l'avance. L'humour en est toujours à son stade le plus bas (mais qui peut être amusant), mais les sketchs sont moins drôles. Le seul point fort (?) de Brüno est d'aller vraiment dans l'extrême au niveau politiquement correct (en particulier, la soirée chez les échangistes). Ceux qui pensent que "Ted" était limite peuvent voir que la censure laisse passer bien pire. Mais ça ne suffit pas à faire un bon film, quand l'humour n'est pas là, on ne rigole pas et le film perd tout son intérêt.
Mon dieu ! Quelle daube ! Une honte que ce film soit aussi médiatisé. Borat, je veux bien, il y avait des trouvailles même si ça laissait un peu à désirer mais là... Des scène sexuelle plus que puérile, je peux pas cacher que quelques scène m'ont un peu fait rire mais bon... Une merde magistrale !
Après Borat, un film un peu moins réussi. Je n'ai pas du tout aimé les passages sur le conflit palestino-israélien, et j'ai trouvé que le début était bien plat. Mais à partir du moment où il rentre d'Afrique, ça devient bien plus drôle.
Sacha baron Cohen frappe encore très fort ! Encore un nouveau personnage (moins charismatique que Borat) dans lequel il se fond avec talent pour dénoncer les travers de la mode et de la société du spectacle en les grossissant. Il nous venge de toutes les conneries que l'on doit subir dans les médias. C'est un justicier humoriste, un prince de la caricature.
Sacha Baron Cohen nous fait rire une fois de plus. Moins puissant que Borat mais jouissif tout de même. Poussant la "provocation inconsciente" à l’extrême, en situation réelle, l'acteur écrase les tabous et joue avec, provocant des réactions délirantes, dépeignants une société américaine plutôt bête. On quitte le film en étant sur qu'il est unique tellement il est spécial :)
On peut aimer "Borat" et détester "Bruno". "Borat" avait ceci d'hilarant que sous couvert de dialogues racistes, machistes et homophobes, Sacha Baron Cohen montrait les pires travers de ses interlocuteurs victimes de ses impostures. Ici il ne montre rien, ne prouve rien, il ne fait que les mettre dans des situations insoutenables sans jamais servir la cause de la tolérance. On atteint les sommets d'une vulgarité qui, si il faut reconnaître qu'elle témoigne d'un culot hors normes, en devient rebutante et lassante.
Interdit aux moins de 12 ans ? Mais qu'est ce qui arrive à la censure ? Ils ne se rendent pas compte à quel point cette oeuvre est provocante ? Mais à part ça, Brüno est un regard sur l'homosexualité tellement appuyé qu'il sépare immédiatement la salle en deux camps : ceux qui rient et ceux qui sortent. Car derrière sa volonté de mettre les gens face à leur préjugés, il y a aussi un traitement au premier degré du thème par l'étalage complaisant de ces mêmes préjugés (qui du coup ne peuvent pas vraiment être défendus par qui que ce soit). Au moins, la vulgarité omniprésente nous fait tout de suite prendre l'objet au second degré, et ça passe alors très bien. Si le film ne va nulle part, il aura au moins réussi à nous faire rire un bon coup sur des thèmes relativement "démagogiquement incorrects" sans pour autant initier une prise de conscience sur le statut homosexuel en société. Reste des moments de bravoures fantastiques.