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Un visiteur
0,5
Publiée le 19 octobre 2009
N'ayant pas vu Borat, je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Je n'ai pas été déçu devant tant de nullité. C'est pas drôle, ridicule, finalement pas si assumé que ça. Clichés sur clichés, débilité sur débilité, Brüno est aux antipodes de la caricature drôle.
Sacha Baron Cohen joue et surjoue de sa notoriété peu fondée (pas si génial que ça non plus dans le barbier bidule de Tim Burton). On ne voit pas un acteur mais un caricaturiste. L'idée n'est pas si mauvaise au départ. Ca aurait pu être très drôle si cela avait été un tant soit peu (bien) écrit. Ca se donne l'aspect d'un documentaire mais ça n'en a que l'aspect parfois partisan.
En fait, c'est simpliste et méchant. De mauvais goût et même pas drôle.
Si je vous dis que Sacha Baron Cohen, dans ce film, en fait des tonnes ... vous me croyez ? Toujours drôle, mais je pense que la ficelle s'usera vite. J'avais beaucoup plus ri devant Borat, ne sacha...nt pas qui était le personnage (humoriste transformiste de la tv anglaise). Il faut ajouter que la ridiculisation du village roumain ayant servi à tourner Borat est assez mal passée. L'an dernier, les habitants protestaient durement face à cet hurluberlu d'Europe de l'Ouest venu salir leur image (et tout ça parce que la Roumanie est un peu moins éloignée que le Kazakhstan). Comme quoi, on vient trahir des pauvres pour prétexter la caricature de la société dominante américaine. Le procédé utilisé vaut toujours son pesant de cacahuètes en ce qui concerne la critique. Et le fait que ce film m'ait moins plu que le précédent ne vient peut-être pas de ce qu'il soit moins drôle : disons que Sacha a un peu baissé dans mon estime. Sûrement une personne dont l'ego se détériorera au fil de ses succès ...
J'ai vu un film... qui suscite des sentiments partagés... Certes "vulgaire" qualifie bien ce film, mais avec qq moments parfois réussis... Trop de cul, trop peu de finesse, pas assez de densité, et des moments inégaux...
Sacha Baron Cohen ne renouvelle malheureusement pas le miracle de "Borat". La performance d’acteur est étonnante et il y a une bonne dose de scènes incroyables: l’interview de Paula Abdul assise sur des Mexicains, l’émission télé avec « O.J. », la drague d’un (petit) candidat à la présidentielle, le casting des parents de bébés... SBC a un génie pour balancer des énormités de façon improvisée dans les situations les plus extravagantes. Mais il y a aussi un scénario peu convaincant avec beaucoup de passages inutiles : la tournée au Proche-Orient (où il semble, aux dernières nouvelles, que l'interview du soi-disant chef des Brigades des Martyrs d’Al-Aqsa est un bidonnage honteux), le club échangiste, le passage à l’armée… Surtout, le film souffre d’une incohérence majeure. Au début, on part dans le délire pur, avec un Brüno qui en fait des tonnes dans le style grande folle. Mais la fin tourne au reportage-réquisitoire contre l’homophobie militante qui sévit dans le sud profond des States. Dans l’absolu, les deux sont jouables... mais pas dans le même film: à la limite, un homophobe militant trouverait largement de quoi amener de l’eau à son moulin dans les outrances du début. Le résultat est donc bancal, d’autant qu’on ne croit pas à une seconde à l’histoire qui sert de fil rouge (la relation entre Brüno et son assistant). Impression très mitigée.
Sacha Baron Cohen, toujours aussi culotté, ose tout pour nous faire rire mais aussi nous montrer la connerie américaine (des parents prêts à tout faire faire à leur enfant, des hétéros qui ne jurent que par Jésus...). Les situations sont hilarantes mais pour moi, la sauce prend moins que "Borat". Mais ça reste une excellente comédie. Baron Cohen finira mal avec ces conneries...
Certains diront que c'est du réchauffé par rapport à Borat. Je ne suis pas vraiment d'accord car le film n'a pas tout à fait le même traitement documentaire. Derrière cette avalanche de vulgarités et de scènes toutes plus scabreuses les unes que les autres, se cache tout de même une critique profonde de l'Amérique. J'en ris encore, surtout quand je repense à toutes les personnes que j'ai vu quitter la salle au bout de 30 minutes... Moi je n'en ai pas perdu une miette et je suis même allé le revoir!
Sasha Baron Cohen ne me fait pas du tout rire, déja Borat j'avais pas aimer. En plus c'est grossier et complètement vulgaire. Je suis pas gay mais c'est une insulte aux homosexuels, c'est vraiment ignoble de faire un film comme celui la.
Plus belle surprise de l'été 2008 (A l'heure ou je tape ces mots, je ne pas vu ce que donnait les Inglorious Basterds). Si vous voulez rire, c'est ici que ca se passe. A l' heure ou Appatow, Smith et d' autres carburent aux vannes cinglantes et à l'esprit Geek assumé, Cohen revient à la provoque pur simple. Une formule déja exploité à la télévision britanique et dans Borat (Ali G n'est dans le meme genre). Et vu que c'est le meme principe, les rabats-joies vont encore se plaindre, mais le résultat est largement à la hauteur et les rabats-joies n'ont rien compris. Pour la deuxieme fois, il carricature les homosexuelles européens (La premiere fois, c'était en homo francais face à Will Ferrel, dans Ricky Bobby). Mais cette fois, il fait entrer la carricature dans le monde réel et le mélange est explosive. On a pas honte de rire. Et ca ne s'arette pas. Ca fait vranchement du bien. 3 ans après, Sacha Baron Cohen reste le maitre de son genre. Dans Borat, le trash n'était pas si présente que dans Bruno. Dans Bruno, le trash est plus affirmé et maitrisé. Et une critique de la société évidente et allucinante. Les personnes piégées sont moins choquants (des boeufs homophobes, des millitaires enragées, religieux sur de lui et meme des terroriste), ils sont plutot victime, mais sont, par leur facon de pensée, assez détéstable. Bon je pourrais parler lonptemps des qualités, mais il est impérative de le voire. ALLEZ-Y. C'est imperative. Deuxieme meilleur film de l'année après Gran Torino. Rien que les deux dernieres scènes du film sont cultes. Elles vallent à elles seuls le coup. Vivement un autre film de l'ami Cohen.
Un film gigantesque, certes trash, avec un humour assez ridicule parfois, mais tellement efficace. En plus, c'est Sascha Baron Cohen, donc il fallait s'y attendre. Par contre, ce qui me fait rire, c'est qu'en Belgique, le film est interdit au moins de 12 ans. Or, y a des scènes que l'on pourrai limite qualifier de pornographiques. Enfin soit, un excellent film et une comédie hors du commun qui nous sort un peu des comédies à humour enfantin. Longue vie à Sascha Baron Cohen et vivement le prochain film !!
Je ne poste jamais de critiques mais la il le fallai : je m'adresse uniquement aux personnes ayant un cerveau, de la culture, une vie sociale stable et aimant le cinéma, je n'ai jamais vu une merde pareil sa dépasse tout se que j'ai pu voir , de la daube à l'état pur ! je pense que les personnes ayant mis une critique 4 étoiles doivent être tous sous cocaine LSD et j'en passe ou leur QI ne doit pas dépasser 70 j'ai l'humour facile décalé mais la ce mec doit arrêter son métier personnage irritant très mal filmé à éviter de toute urgence !!!!
Sans intérêt, lourd très lourd et parfaitement déplacé. Perso je rigole de tout, mais même en regardant ce film au second degré ( faut certainement descendre beaucoup plus bas ) j'ai pas rigolé une seul seconde. Soporifique au possible. De plus l'interdiction au moins de 12 ans devrait être remonté à 16 voir 18, a moins qu'on veuille faire de nos enfants des dégénérés mentaux des leurs plus jeunes age. 0 étoile, je comprend même pas qu'on puisse faire ce genre de film.
Wouah ! Très provocateur, le film « Brüno » est un mélange de l'émission québécoise « Juste pour rire » version très s trash et du film « La cage aux folles ! Wow, très et vulgaire ! L'acteur Sacha Baron Cohen dans le rôle le d'un présentateur homo autrichien Brüno qui veut devenir un star connu en faisant du casting ou en se filmant à la TV, a osé à passer les limites en provoquant les gens de la rue, de la TV, comme par exemple, se promener en tenue légère dans un pays du Moyen-Orient ou attachée nu par les menottes à un partenaire. J'étais oscillé entre les rires et la bouche bée : « Mais, qu'est ce qu'il est malade ? Drôle, Dérangeant ! Ce qui m'a surpris, c'est la métamorphose de l'acteur Sacha Baron Cohen : j'ai découvert plus tard que c’était le même acteur du film « Borat » ! Il a filmé les gens pour tester leur mentalité; face aux gens complètement décalés. Le goût important de la provocation est sans doute, pour lui, une manière de dénoncer l'étroitesse d'esprit et l'égoïsme des Américains face à l'homosexualité. C'est quand même fort comme provocation...Une seule remarque, ce film devrait être interdit aux moins de 16 ans...
Comédie à ne pas rater qui laisse vraiment une sensation de bonne humeur. Bravo et que les personnes qui se choquent passent leur chemin sans se rendre compte de la profondeur de ce film ;-) ...