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Drawer
73 abonnés
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4,0
Publiée le 25 août 2009
C'est vraiment très gras ! SBC frappe plus fort qu'avec Borat à mon goût mais moins qu'avec Ali G (faut dire que c'est pas trop comparable mais bon...) Ce film est super osé entre réalité et fiction, mais moi il m'a bien fait poiler (surtout la scene avec le fantome :D)
On pourrait y aller d'un petit couplet sur la dénonciation de l'homophobie, du monde de la mode et plus généralement de la bêtise crasse qui règne en ce bas monde... certes. Mais bon, on ne va pas se mentir, "Brüno" est surtout le film le plus con et le plus vulgaire de tous les temps. On n'essaie même plus de savoir si les situations sont jouées par des complices ou surprises en caméra cachée et on contemple juste médusé (et, il faut bien le dire, hilare) le jusqu'au boutisme absurde et grotesque de Sacha Baron Cohen en se demandant, comme Coluche, "jusqu'où s'arrêtera-t-il ?"
Un film beaucoup moins réussi que Borat même si certaines scènes restent très drôle ( notamment la scène de sexe avec son compagnon du début et avec les échangistes ) . Le défaut de ce film reste son humour parfois trop graveleux et ses clichés sur l homosexualité assez simpliste . Sympa sans plus !
Meme si j'eprouve toujours le même souci avec ce genre de film faussement fiction/réel qui empêche vraiment de savoir si les situations sont spontanées ou pas(donc drôles), j'ai pris plus de plaisir à voir" bruno" que " borat".Il y a là une réelle dénonciation de l'homophobie et une volonté de l'acteur S.Cohen d'oser franchir les limites et bousculer les conventions.
On est tous d'accord pour dire que Brüno est un énième long-métrage complètement barré avec Sacha Baron Cohen, pourtant sa prestation est incroyable dans cet "OVNI". Le premier quart d'heure est juste incroyable, pour ma part, d'une telle auto-dérision et de caricature, extraordinaire ! Cependant le reste du film se noie dans des situations trop farfelues, trop vulgaires, ce qui faisait le charme de Borat ne se retranscrit pas ici avec Brüno.
On ne change pas une équipe qui gagne. Après le très rigolo "Borat", Sacha Baron Cohen et son réalisateur Larry Charles signent une comédie analogue, quoique bien moins convaicante. Dans la foulée de Borat, le candide journaliste kazakh auscultant l'Amérique profonde, c'est Brüno, journaliste autrichien homosexuel, qui débarque aux Etats-Unis pour, croit-il, conquérir la gloire. Malheureusement, son extravagance de "folle" à l'accent teuton ne fait vraiment pas mouche à tous les coups. Sacha Baron Cohen pousse loin l'outrance (homo)sexuelle et, certes,des séquences particulièrement trash -qui valent au film une interdiction aux moins de 16 ans- sont désopilantes dans l'audace et la feinte candeur. Pour autant, parce que le récit, elliptique, et vif par ailleurs, tourne trop exclusivement autour des provocations sexuelles et des accoutrements de Brüno, du rejet que les unes et les autres suscitent chez ses interlocuteurs, la farce tourne en rond. C'est beaucoup moins corrosif et pertinent que "Borat" et, par conséquent, tout réacs que peuvent être les personnes que rencontre ou interview le journaliste autrichien, on conçoit leur effarement. Enfin, et ce n'est pas le moins important, le principe de la caméra cachée est largement discrédité par le fait qu'on n'y croit guère...La connivence semble être très souvent la règle.
Choquer c'est bien, mais encore faut-il avoir une raison de le faire. J’ose espérer que les raisons du créateur déjanté de Brüno, Sacha Baron Cohen, soient toutes louables, mais j'ai tout de même un sérieux doute quant au public visé et la manière d’y procéder. Pour moi son personnage Brüno ne frappe pas aux bonnes portes. Oui, il y a de l'homophobie et du racisme dans le monde et il y en aura probablement t à jamais... Si dénoncer était l'objectif et bien "bravo", mais pour ma part, j'étais au courant. Qu’on se le dise, on ne manque pas de dénonciateurs, mais bien d'acteurs! Ma question à M. Baron Cohen : Qu'avez-vous fait de l’argent gagné suite à la sortie de ce film ou d’autres produits dérivés à l’effigie du personnage ? Le reverser à une association qui combat l'homophobie ou le racisme de manière générale...? Jamais entendu parler....
Vous n'aimez pas l'outrance et encore moins la provocation? Autant vous prévenir tout de suite, passez sans regrets votre chemin devant ce "Brüno" qui ne fait franchement pas dans la dentelle. On pourra d'ailleurs sans nul doute reprocher à Sacha Baron Cohen et Larry Charles d'y aller tout de même un peu fort, certaines scènes franchement vulgaires n'apportant en définitive rien au film, au contraire. Cela dit, à l'image de "Borat", nul doute qu'on pourra à nouveau trouver un réel intérêt à ce nouveau brûlot, tant celui-ci sait tout de même se faire réjouissant à bien des égards. Car derrière cette outrance se cache tout de même une véritable intelligence et un réel esprit critique, bien plus profond qu'il ne peut paraître au premier abord. "Brüno" n'épargne rien ni personne, et c'est incontestablement cela qui fait sa grande force. En effet, que ce soit l'homophobie et toutes les formes de racisme en général, le film s'avère souvent hilarant, et ce notamment dans une deuxième partie d'anthologie et qui risque de compter nombre de scènes cultes dans l'avenir. Bref, et ce même s'il ne plaira donc pas à tout le monde, "Brüno" s'impose comme l'une des comédies les plus mordantes et savoureuses de cette année 2009 : il serait donc fort regrettable de s'en passer. Jubilatoire.
Après Ali G (2002) & Borat (2006), Sacha Baron Cohen endosse une fois de plus le costume d’un de ses personnages fictifs (créer à l’occasion de son émission "Da Ali G Show"), après le rappeur déjanté et le reporter Kazakh, le voici grimé en styliste gay Autrichien qui après une faute lourde se retrouve licencié et décide donc de repartir à zéro aux Etats-Unis afin de devenir célèbre ! Brüno est une incroyable comédie, accumulant sans cesse les gags les plus osés, les plus scato et politiquement incorrecte. La connerie humaine mis sur le devant de la scène avec des Américains encore plus vrais que nature, cela en devient même flippant. On se souviendra longtemps de la séquence où LaToya Jackson, sœur de Michael Jackson, s’assoie sur un Mexicain en position tabouret, de l’émission télévisée où Brüno fait croire qu’il a échangé son Ipod contre un enfant Africain, du club échangiste qui vire à la catastrophe ou encore du combat de boxe entouré d’homophobes, bref, Sacha Baron Cohen ne nous épargne rien (âmes sensibles ou enfants s’abstenir !!!), il dépeint une Amérique ridicule et affligeante. Drôle à s’en dévisser la mâchoire, Brüno se moque de tout et sans aucune retenue, nous on en redemande !!!
"Brüno" est l'objet le plus subversif récemment sorti sur les écrans.Reprenant le procédé du faux-documentaire explosif de "Borat",Sacha Baron Cohen utilise cette fois son personnage de gay autrichien,victime de la mode,et mettant les gens face à leur bêtise et leurs préjugés.Autant vous prévenir tout de suite,cette satire va très loin dans la provocation et une classification interdit aux mineurs n'aurait pas été de trop.Baron Cohen ne se fixe aucune limite,tant pour pousser son interlocuteur(quel qu'il soit)dans ses retranchements,que pour montrer des scènes de sexe homosexuelles explicites.Il réussit son pari absurde de choquer,et Brüno a droit à plusieurs morceaux de bravoure,comme perturber à un défilé avec un costume en velcro,participer à un talk-show sur un bébé black adopté ou ulcérer un public de républicains venus "admirer" du catch.Bien sûr,cette outrance permanente a le don de masquer les faiblesses d'un montage creux,de scènes répétitives et surtout d'une vulgarité généralisée.On peut dire que le film n'est pas à la hauteur de Baron Cohen,qui lui,est stupéfiant d'audace,de culot,d'immersion dans son personnage.Il faudrait plus de perturbateurs de cet ordre qui nous met face à nos barrières mentales,mais avec une toute autre rigueur alors...
Soo Fashion!!!!!!!! Je n'ai que 2 mots à dire après la séance: CORROSIF & JOUISSIF!!!!! Sacha Baron Cohen va encore plus loin dans la provocation, qu'il ne l'avait fait précédement avec Borat (et c'est à se demander si un jour il ne va pas y passer tellement cela devient extrème)!!! Cela ne se voit pas mais, je suis gay!!!!!!!!!!!!
-Plus de sexe (surtout entre homo, 3 scènes hétéro à tout casser dans un club échangiste!! Censure pour l'acte et non pour l'exhibition) - les grands noms people et l'américain moyen de L.A. sont tournées en ridicule (une star faisant dans l'humanitaire qui s'assoit sur une chaise "mexicaine", des stars qui vous disent quelles causes est "in" ou "out", des parents prêts à faire subir les pires humiliation et tortures à leur progéniture pour quelles décrochent un contrat publicitaire, l'échange d'un enfant africain contre un I-Pod, les mal-êtres des afro-américains...) Looking my Black Baby!!!
-L'homophobie des américains (l'église essayant de convertir les homo à être Hétéro par divers pratiques, les mouvements Homophobe qui sont humiliés) -la tentative de résolution des conflits au Moyen-Orient!!!!!!!
Il n'y a pas à dire ce film est à voir car durant tout le film on se prend des barres de rires NON-STOP, mais aussi on se met à réflechir sur certains faits de sociétés!!!! Brüno rempli son contrat haut la main, ma note: 8/10
Comme pour Borat, on peut vachement se marrer à la première voyure puis trouver ça plutôt naze à la seconde, une fois la surprise passée (déjà qu'un max de scènes est fourré dans la bande-annonce)... Mais c'est le premier coup qui compte. Ceux qui parlent de film anti-homo ont tord (vu le final!), pro-gay aussi sans doute car au fond ça ne change rien, tellement on navigue dans l'énormité: Borat ou Ali G étaient bien des personnages hétéros, même si là il peut se lâcher encore plus! En tous cas c'est fait pour décoincer les tristes mines et il ne faut pas voir ce film en s'attendant à un chef-d'œuvre de finesse: c'est effectivement du bien lourd mais si on marche avec le personnage, le récit de ses lubies et déboires fonctionne. Certes c'est filmé un peu n'importe comment, mais cette laideur voulue accompagne la vulgarité affichée. Y a pas mal de clins d'oeil, quelques références gay bien placées et qui les connaît déjà savourera d'autant plus les gags. C'est du Sasha, quoi, du big trash. Amazing! Certains crachent dessus en adulant cette bouse pathétique de Very Bad Trip: le mauvais goût n'est pas forcément là où on l'imagine. Question humour, l'été 2009 c'est Brüno qui décroche la palme.
Sacha Baron Cohen revient avec un nouveau personnage haut en couleur : Brüno ! J’étais très impatient de voir ce film, suite à l’excellent Borat de 2006, mais j’avoue avoir été un peu déçu. Clairement, le film va toujours très loin dans la provocation et le trash, et Sacha Baron Cohen est quand même très très fort dans le genre. Cependant, j’aurai bien aimé qu’il aille encore plus loin dans sa façon de tendre aux américains le miroir de leur homophobie latente, je pense en particulier au moment où il est confronté à une manif anti-gay. Et puis, il y a peut être l’effet de surprise en moins depuis son précédent film… le vrai et le faux se mariant ici moins bien que dans Borat. Malgré tout, c’est quand même suffisamment drôle pour mériter le détour, certaines scènes sont ahurissantes de conneries mais terriblement efficaces (la scène de pipe mimée est un must). Petite déception donc sur l’ensemble mais on est quand même dans ce qui se fait de mieux en comédie irrévérencieuse de nos jours. En tout cas, il faut admettre que Sacha Baron Cohen a suffisamment de couilles pour oser faire un film où il risque de ne pas se faire que des amis, et ça c’est plutôt rare.
L'humour de Sacha Baron Cohen est toujours très spécial, il surprend à chaque fois avec les virages pris dans ces films. J'ai beaucoup moins accroché à Brüno qui exagère le côté gay du personnage principal et se joue de son public et de son audience dans des scènes osées/grossières.. Un peu déçu par rapport à Borat, mais ça reste du bon n'importe quoi (tout en critiquant, ce qui est fort).