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aaber
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2,0
Publiée le 20 janvier 2010
Autant Borat m'avait bien éclaté la rate, autant Brüno ne m'a pas déridé le fion ! Eh oui, la vulgarité est à la portée de tous ! Camille, heureusement que t'es pas une modasse !
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1,0
Publiée le 23 août 2013
Est-ce trash ? Est-ce rèpugnant ? Est-ce drôle ? Est-ce dèbile ? On pencherait pour la dernière hypothèse mais certaines scènes laissent vraiment perplexes! Sacha Baron Cohen se moque des prèjugès homophobes et nous le fait savoir mais l'ensemble est tellement vulgaire que ça part rapidement dans le grand n'importe quoi! Le crèateur et hèros de "Borat" s'est totalement loupè avec ce personnage dèjantè à la limite du mauvais goût et du ridicule! Un personnage qui dèpasse en terme de provocation tout ce que l'on peut imaginer et qui manie le culot et l'insolence jusqu'à parfois frôler l'inconscience! On rit parfois (la blonde siliconèe au fouet où se jeter par la fenêtre est la seule èchappatoire possible) mais uniquement par rèflexe conditionnè, c'est dire! En tout cas, "Brüno" est un ton très largement en dessous de "Borat". Mais c'est surtout un mètrage à ne pas mettre entre toutes les mains, l'interdiction aux moins de 16 ans ètant totalement justifièe...
Grosse déception... On pouvait espérer un autre délire qui gratte là où ça fait mal, désignant du doigt les travers d'un monde américain malade... De la mode au conflit israelo-arabe en passant par les dérives de l'adoption par le biais d'un gay avait effectivement de quoi nous faire rire à gorge déployée. Cependant on est vite déçu... Le conflit du moyen-orient est baclé, la mode était-elle un thème si important ?... Sacha Baron Cohen s'elise dans un humour très très pipi caca trop facile ; à ce point il arrachera toujours un rire mais au dépend d'un poil à gratter plus à propos. Dommage.
Après Borat, on se demandait bien ce qu'allait nous pondre Sacha Baron Cohen. Brüno est tout aussi réussi, l'effet de surprise en moins. Encore une fois les américains s'en prennent plein la gueule ! Encore une fois c'est totalement hilarant. Les films comme cela qui ne s'interdisent presque rien sont tellement rare aujourd'hui qu'il faut les voir pour vraiment rire avec quelque chose qui sort de l'ordinaire. Pour ma part je n'ai pas arrêté de rire du début à la fin. C'est tellement trash tout en faisant tout de même réflechir sur la bêtise humaine...Que dire de Sacha Baron Cohen si ce n'est qu'il est encore plus drôle que dans Borat. Sans conteste une des comédies de l'année. En France on a Coco, les anglais nous envoie Brüno. Sans commentaire.
Sacha Baron Cohen a bien changé physiquement par rapport à Borat pour jouer Brüno. Le concept est globalement le même (force clichés et caricatures), et l'effet sur les gens qui sont filmés en croyant que le personnage de Brüno existe vraiment est le même que pour Borat. C'est toujours intéressant à voir, et certaines scènes sont drôles, même si cela ne vole pas très haut.
Après le raz-de-marée provoqué par l’énorme "Borat", Sacha Baron Cohen remet le couvert avec un autre de ses personnages fétiches, Brüno (chroniqueur autrichien spécialiste de la mode et gay assumé)… et le film souffre énormément de la comparaison avec les aventures du journaliste kazakh ! En reprenant exactement les mêmes recettes que son illustre prédécesseur (un héros décalé, des interviews-pièges de peoples, un brouillage entre la réalité et la fiction…), "Brüno" ne pouvait espérer bénéficier du même effet de surprise mais, plus grave, sombre dans la provoc’ gratuite là où "Borat" brillait par la pertinence de sa critique des travers de la société US. On comprend d’ailleurs mal ce que veut dénoncer Sacha Baron Cohen lorsqu’il se galoche avec son assistant devant une foule furieuse qui pensait assister à un combat de catch ou qu’il vient emmerder des couples échangistes en pleine "séance". Même chose quand il chauffe à blanc un public de talk-show en confiant qu’il a réussi à adopter son enfant contre un I-Pod (il aurait été plus couillu de faire ça en présence de Madonna ou Angeline Jolie). Et puis le personnage de Brüno est nettement moins intéressant (et plus caricatural) que celui de Borat qui prenait le soin de ne pas tomber dans la vulgarité (la vidéo-test de l’émission de Brüno, l’entraînement pour parer les attaques de gods ou la séance de spiritisme sont franchement lourdes !). Reste quelques fulgurances qui rappellent le génie comique du bonhomme (l’allusion à la pilosité de Salma Hayek, l’adoption d’un bébé noir pour devenir célèbre, la chanson caritative avec Bono, Sting, Elton John, etc...) mais, au final, "Brüno" restera comme un échec artistique (et public) qui, s’il s’était davantage renouveler, n’aurait pas autant ressemblé à un épisode de "Jackass" !
Brüno est un bon film. Sous forme de faux documentaire, ce film comique mêlant séquences de fiction et plongée dans l’Amérique profonde, est une farce délirante qui stigmatise pêle mêle l’homophobie, la télé poubelle, le puritanisme avec un humour décapant, trash et dévastateur. L’histoire parle de Brüno, flamboyant journaliste de mode autrichien, homosexuel, insensible aux différences culturelles et narcissique, qui va tenter par tous les moyens de faire parler de lui et de devenir célèbre aux Etats-Unis. Il faut être un petit peu au courant de ce que l’on va se mettre devant les yeux avant de foncer tête baissé devant ce genre d’œuvre au risque d’être possiblement surpris, pas forcément en bien. Dans mon cas j’avais surtout peur de ne pas adhérer au trip et preuve en est que sur moi ça à bien fonctionner et la poilade a été assurée. Je n’ai pas trouvé le film extra non plus, mais le délire fonctionne bien, c’est original, c’est drôle, c’est rythmé et ça change de ce que l’on a l’habitude de voir. Attention en revanche ça reste parfois assez cru mais perso ça ne me dérange pas et ça colle bien au personnage. J’ai adoré le travail de mise en scène et comme je le disais c’est très bien rythmé et en plus au son d’une bande son superbe de style de musiques techno dont le métrage s’ouvre d’ailleurs avec le titre très sympa de Scooter – Nessaja. On entendra aussi lors d’une scène tordante le titre PopCorn de Crazy Frog. Puis d’autres musiques bien cool. Le réalisateur Larry Charles signe ici avec cette œuvre son 4ème long métrage et continue dans son propre style pour lequel je découvre seulement ici. Le casting est top, surtout Sacha Baron Cohen qui joue à merveille son personnage délirant, Gustaf Hammarsten, Lainie Kazan, et pleins de stars dont Harrison Ford, Elton John, Chris Martin, Snoop Dogg, Sting, Slash, James McCartney et Paul McCartney. Vraiment de quoi s’amuser avec Brüno et son trip totalement délirant. Ma note : 7/10 !
Par tous les saints et tous les seins ! Amateurs de bon goût, foutez le camp rapido ! Sacha Baron Cohen est de retour et se lâche encore plus qu'avant. Autrement dit, l'acteur va plus loin, beaucoup plus loin que dans « Borat ». Ici, il est Bruno, homosexuel autrichien qui s'en va aux USA pour faire carrière et pour être mondialement connu. Au menu : provocation, mauvais goût, humour scato et porno. Rien que ça. Au poil pour filer des boutons à un représentant d'une famille de conservateurs. Ou même à toute une famille. SBC se lâche donc et nous offre encore quelques scènes de provocation particulièrement jouissives. Je pense notamment à celle du casting (où une mère accepte de faire perdre 5 kg à sa gamine en une semaine). Mais LE sommet du film, LA provocation ultime intervient lors du passage de Brüno sur le plateau de l'émission de Richard Bey. Mais quel pied, quel pied que de voir une scène comme ça ! Et elle n'est que plus jouissive devant la réaction du public présent. Pour ma part, j'avais plutôt bien aimé « Borat », mais hélas pour moi, ce « Brüno » m'a fait une moins bonne impression. Si le premier film nommé avait déjà un peu de mal à tenir la distance, le deuxième nommé a encore plus de difficultés et ça le pénalise lourdement. Et trahit un brutal manque d'inspiration de Cohen. Provocateur, trash, réduisant les gens à l'état d'ordure et j'en passe, « Brüno » avait tout pour concurrencer « Borat » et même lui damner le pion, mais à mon goût, il lui reste inférieur. Mon prochain rendez-vous avec SBC ? Certainement « Ali G ».
En dehors du nouiveau personnage créé, on reprend quasiment le même type de structure de film que les anciens : blagues bas de gamme, que des allusions sado-homo-scato, des second role basique... bref on se lasse de ces créations !! Même si du deuxième degré apparait régulièrement pour dénoncé une amérique puritaine et loin de faire ce qu'elle dit. Ennuyeux
Le film est très divertissant et on ne peut pas s'empêcher de regarder chaque seconde du film, ce film nous tient en éveille du début à la fin. Problème, il y'a quelques images choquantes et parfois l'histoire ne rime plus trop avec la réalité. De plus ca part en vrille total, parfois il n'y a plus de cohérence bref c'est juste...bien.
Je n'ai pas vu "Ali G", je n'ai pas vu "Borat" mais je connaissais tout de même un peu le "phénomène" Sacha Baron Cohen. Et j'ai beaucoup aimé "Bruno", que j'ai vu en VOST par ailleurs. Personnage mi-attachant mi-agacant, voire carrément effrayant par moments (le coup du bébé noir), Bruno permet également de mettre en exergue les travers de ses contemporains, à travers une série de "portraits" qui font froid dans le dos (les essais pour passer le casting, la tendance écologique,...). Ceci mis à part, le film réserve son lot de scènes drôles, voire hilarantes (le passage avec le politicien) et cela sans en faire des tonnes, comme on aurait pu s'y attendre en voyant le synopsis (et l'affiche du métrage). Bien évidemment, il ne faut pas s'attendre à quelque chose de profond (intellectuellement parlant, de toute manière les spectateurs qui vont voir "Bruno" savent à quoi s'attendre) mais le fait est que j'ai été particulièrement emballée par ce film. Certaines personnes ont critiqué le fait que "Bruno" comportait beaucoup de scènes osées, mais à mon avis ces passages sont essentiels au film. Cela dit, la séquence de la soirée échangiste aurait mérité d'être plus courte à mon avis. En résumé, "Bruno" mérite vraiment le coup d'oeil, ne serait-ce que pour son aspect faussement documentaire qui permet un regard non dénué d'une certaine pointe de réalité sur notre société.
Sacha Baron Cohen est fou. Mais un fou comme je les aime ! BRÜNO est tout simplement GENIAL et politiquement incorrect !! Et c’est ce qui donne son charme au film. Je le conseil à tout le monde mais allez y entre adulte. Certaine scène sont vraiment pas faite pour être montrer des enfants.
Après avoir tourné en ridicule des dizaines d'américains avec Borat en 2006, Sacha Baron Cohen décide de récidiver avec un autre de ses personnages crées dans son ancienne émission, le Da Ali G Show. Fini le journaliste Kazakh poilu et bedonnant, voici Brüno un journaliste autrichien gay, fashion victime et à l'égo surdimensionné qui décide de partir tenter sa chance aux États-Unis après avoir tout perdu dans son pays d'origine où il était une star. Le concept est le même que dans Borat : opposer le personnage très provocant aux mœurs américaines afin de faire sortir la bêtise humaine. Et une fois de plus, ça marche. Le film enchaine les scènes choquantes où le comédien n'hésite pas à se mettre dans des situations hautement risquées pour nous faire rire (Son personnage n'hésite pas à demander à un chef terroriste de le kidnapper et se fait à se moquer de lui).
Les homophobes, les stars, les racistes, les parents inconscients, les charlatans... absolument tout y passe et certaines scènes sont parfois alarmantes tant la réaction des gens est vraiment surprenante. Allant très loin dans la provocation et aussi dans la nudité et la vulgarité, le film peut mettre mal à l'aise donc est réservé à un public averti. Mais pour ceux qui veulent se taper une bonne 1h30 de franche rigolade qui vaux tous les reportages du monde, alors n'hésitez pas, c'est Über-Génial !