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Votre avis sur Brüno ?
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Passé les premières 5 minutes délirantes du film, c'est le néant. Autant Borat était un délire d'une cruauté et d'une drôlerie irrésistible, autant Brüno est lourd, beauf, vulgaire, même au 10ème degré, c'est consternant. Énorme déception pour un film pas fait, pas travaillé, pas écrit... D'une paresse et d'une idiotie totalement affligeante. Reviens Boraaaat !
Un film scatologique, délirant, c'est à se demander si Sacha Baron cohen n'est pas fou, pour pousser l'humour potache aussi loin! Zuper Guénial !
Après Borat, Sacha B. Cohen nous livre un Brüno meilleur que son ainé mais injustement moins connu. Ce film retrace l'histoire d'un homo autrichien cherchant à devenir célèbre et "überstrait" (traduisez "macho"). A l'aide de caméras cachées et de scènes déjà scénarisées, Baron Cohen critique la société américaine et ses institutions. Cette fois-ci, on rigole plus souvent que dans Borat et la scène finale sur le ring de boxe est tout simplement tordante.
spoiler:
Brüno n'a pas réussi à devenir überstrait mais
il arrive à nous faire rire. Et ça, c'est bien! Bref, après mieux que Borat, moins bien que The dictator, on attend avec impatience le prochain film du tandem Larry Charles_Baron Cohen qui atteindra peut-être... la perfection?
il arrive à nous faire rire. Et ça, c'est bien! Bref, après mieux que Borat, moins bien que The dictator, on attend avec impatience le prochain film du tandem Larry Charles_Baron Cohen qui atteindra peut-être... la perfection?
Nul. Ce film est vraiment une perte de temps. A éviter!
Le scénario ne tien pas debout. Mais quelque scène drôle
.
Le scénario ne tien pas debout. Mais quelque scène drôle
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D'une nullité... encore pire que Borat. Ca tombe vraiment très très bat. Ca peut faire rire les gamins de 12ans mais pas plus et encore...
Grotesque et dérangeant, "Brüno" ne parvient pas à proposer une réflexion intelligente sur l'homosexualité. Même s'il lui arrive d'en faire trop, Sacha BARON COHEN est la seule satisfaction de ce film réalisé par Larry CHARLES.
gimliamideselfes
L'un des films les plus drôles que j'ai vu au cinéma, j'en pouvais plus, si j'ai détesté l'apparition de SBC dans Sweeney Todd, car son personnage était un peu trop lourd pour le film, j'avais bien aimé Borat même s'il était un peu lourdingue sur la fin, là je m'attendais à rire de temps en temps, mais dès les premières minutes j'étais plié, et je me suis relevé qu'à la fin de l'heure vingt du film. Je dirai même pas que c'est du cinéma, mais c'est tellement con et drôle et osé, et les situations dans lesquelles il se met volontairement sont absolument énorme.
Un ovni complètement débile. Juste quelques scènes drôles.
C'est quoi ça ! Un "foutage de gueule mondialisé", voici ce que vous tirerez de ce film à la fin. Rien à voir avec ce que dit la presse ...
Sacha Baron Cohen ose l'impessable et réussit avec son humour dégueulasse à regarder a au moins au 125° de la débilité ! c'est assez hard, mais fun !
Irrévérencieux, culotté, bourré d'idées second degré. Dans une certaine lignée de Borat ou de M. Youn, certains tableaux réservent des moments savoureux et d'hilarité mais d'autres plus déconcertants. Inegal dans l'ensemble mais quel courage, que d'imagination et quel personnage décalé que Brüno!
Une vraie perle ce film. Comme à son habitude Sacha Baron Cohen est hilarant et on est tordu de rire devant des scènes improbables et un personnage de "Brüno" complètement cliché mais tellement jouissif.
Je suis particulièrement fan de la doublure québecquoise.
A voir sans hésiter !
Je suis particulièrement fan de la doublure québecquoise.
A voir sans hésiter !
Sacha Baron Cohen ne renouvelle malheureusement pas le miracle de "Borat". La performance d’acteur est étonnante et il y a une bonne dose de scènes incroyables: l’interview de Paula Abdul assise sur des Mexicains, l’émission télé avec « O.J. », la drague d’un (petit) candidat à la présidentielle, le casting des parents de bébés... SBC a un génie pour balancer des énormités de façon improvisée dans les situations les plus extravagantes. Mais il y a aussi un scénario peu convaincant avec beaucoup de passages inutiles : la tournée au Proche-Orient (où il semble, aux dernières nouvelles, que l'interview du soi-disant chef des Brigades des Martyrs d’Al-Aqsa est un bidonnage honteux), le club échangiste, le passage à l’armée… Surtout, le film souffre d’une incohérence majeure. Au début, on part dans le délire pur, avec un Brüno qui en fait des tonnes dans le style grande folle. Mais la fin tourne au reportage-réquisitoire contre l’homophobie militante qui sévit dans le sud profond des States. Dans l’absolu, les deux sont jouables... mais pas dans le même film: à la limite, un homophobe militant trouverait largement de quoi amener de l’eau à son moulin dans les outrances du début. Le résultat est donc bancal, d’autant qu’on ne croit pas à une seconde à l’histoire qui sert de fil rouge (la relation entre Brüno et son assistant). Impression très mitigée.
Découvrons Brüno, l’autrichien gai, sketchs à idées pour un de ses alter égo théâtraux, c’est du Sasha comedy club de culture anglophone, le Baron Cohen nous prend des clichés en posant comme un mannequin moulant, exposé son trophée dans un magazine people vitrine multimedia.
Aux cotés des célébrités du show-business, que ce soit le monde de la musique @we are the world of Korea, from the north to the south all Chinese@, U2, Snoop Dogg, Sting, Elton John ou du cinéma Hollywood Chewing-gum Bradangelina #c’est fini 2009 d’Obama#.
Pantalon baissé et bidule à l’air avec vibromasseur, ehhhhh.....! Un créateur de mode designer, de l’art moderne selon lui...... L’ego au dessus de tout, Brüno Lego jouet marionnette spectacle, la star de la chanson autrichienne !
Son pays est l’Autriche, compatriote du Fureur, ah la comparaison piquante, Mel Gibson Jesus Christ ! C’est l’acteur qui se lance en scène, en avant chez les Talk-show, du cinéma avec ses mises en scène millimétrées, ils sont tous payés à être scandalisés sortant de la bouche de Brüno.
Sortir précipitamment du plateau de télévision d’un présentateur nord-américain, chers publics choqués, gênés, un conseil aux plus de 12 ans pour bien regarder ce film, ça voyage beaucoup depuis sa terre natale européenne « The Star system ».
Adopte le continent du tiers-monde faire sa promotion, Lego Brüno yoouuu !!! You too and me too, thank you very much, you’re welcome in America Jungle show, catch me myself I’am if you can !? Catch them all in this ring, ready to mumble !!
Pro-gay ? Plutôt très gay neutron ce rigolo gigolo, politiquement un tout petit peu correct, tout tourne autour de son machin, peace in the area of war, Middle-East, Israel and Palestine, le match Mossad-Hamas interviewé ouch....... c’est pacifique dans cette fiction.
Au conversion therapy, un tour chez les pornographes Sado-Maso l’indécent, en passant par la bigoterie homophobe, dans les états anciennement sudistes au pays de l’oncle Sam.
Aux cotés des célébrités du show-business, que ce soit le monde de la musique @we are the world of Korea, from the north to the south all Chinese@, U2, Snoop Dogg, Sting, Elton John ou du cinéma Hollywood Chewing-gum Bradangelina #c’est fini 2009 d’Obama#.
Pantalon baissé et bidule à l’air avec vibromasseur, ehhhhh.....! Un créateur de mode designer, de l’art moderne selon lui...... L’ego au dessus de tout, Brüno Lego jouet marionnette spectacle, la star de la chanson autrichienne !
Son pays est l’Autriche, compatriote du Fureur, ah la comparaison piquante, Mel Gibson Jesus Christ ! C’est l’acteur qui se lance en scène, en avant chez les Talk-show, du cinéma avec ses mises en scène millimétrées, ils sont tous payés à être scandalisés sortant de la bouche de Brüno.
Sortir précipitamment du plateau de télévision d’un présentateur nord-américain, chers publics choqués, gênés, un conseil aux plus de 12 ans pour bien regarder ce film, ça voyage beaucoup depuis sa terre natale européenne « The Star system ».
Adopte le continent du tiers-monde faire sa promotion, Lego Brüno yoouuu !!! You too and me too, thank you very much, you’re welcome in America Jungle show, catch me myself I’am if you can !? Catch them all in this ring, ready to mumble !!
Pro-gay ? Plutôt très gay neutron ce rigolo gigolo, politiquement un tout petit peu correct, tout tourne autour de son machin, peace in the area of war, Middle-East, Israel and Palestine, le match Mossad-Hamas interviewé ouch....... c’est pacifique dans cette fiction.
Au conversion therapy, un tour chez les pornographes Sado-Maso l’indécent, en passant par la bigoterie homophobe, dans les états anciennement sudistes au pays de l’oncle Sam.
Wouah ! Très provocateur, le film « Brüno » est un mélange de l'émission québécoise « Juste pour rire » version très s trash et du film « La cage aux folles ! Wow, très et vulgaire ! L'acteur Sacha Baron Cohen dans le rôle le d'un présentateur homo autrichien Brüno qui veut devenir un star connu en faisant du casting ou en se filmant à la TV, a osé à passer les limites en provoquant les gens de la rue, de la TV, comme par exemple, se promener en tenue légère dans un pays du Moyen-Orient ou attachée nu par les menottes à un partenaire. J'étais oscillé entre les rires et la bouche bée : « Mais, qu'est ce qu'il est malade ? Drôle, Dérangeant ! Ce qui m'a surpris, c'est la métamorphose de l'acteur Sacha Baron Cohen : j'ai découvert plus tard que c’était le même acteur du film « Borat » ! Il a filmé les gens pour tester leur mentalité; face aux gens complètement décalés. Le goût important de la provocation est sans doute, pour lui, une manière de dénoncer l'étroitesse d'esprit et l'égoïsme des Américains face à l'homosexualité. C'est quand même fort comme provocation...Une seule remarque, ce film devrait être interdit aux moins de 16 ans...
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