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    Brüno
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    542 critiques spectateurs

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    jfharo
    jfharo

    55 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 août 2009
    Vulgaire ,décalé mais somme toute jubilatoire .
    fasskinder
    fasskinder

    27 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juillet 2009
    Drôlissime !
    RedArrow
    RedArrow

    1 665 abonnés 1 529 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 avril 2013
    Le seul film qui m'ait fait pleurer de rire au cinéma. Après Borat, Sacha Baron Cohen y livre encore une performance démentielle.
    Les répliques, les situations, ..., tout est culte dans Brüno!
    Yossi Z
    Yossi Z

    27 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juillet 2009
    Tres certanement le film le plus drole de ces dernieres années. Un humour qui repose sur la bétise et l'homophobie des victimes de bruno. Bruno est une espece de Borat puissance 10. Je crois que je n'ai jamais autant ris dans une salle de ciné. Je pense que je vais retourner le voir demain.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 février 2012
    Dans le top 3 de mes daubes des 5 dernières années avec Halal Police d Etat et Drive. Mais là on verse dans l'horreur, le ridicule, c'est Borat sans le coté marrant. Fuyez!
    Machriasi
    Machriasi

    11 abonnés 629 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2011
    N'ayant pas aimé Borat je pensans en faire de meme pour bruno et bien pas du tout pas long j'ai pris plaisir a suivre les aventures de Borat il y a des scenes tres droles et une ou deux tres vulgaires mais on passe quand meme un tres bon moment
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 juillet 2010
    dommage qu'on ne puisse pas noté ce film par un 0 pointé. je sais que l'idée générale du film est a la base louable mais traitée de maniere grotesque, vulgaire, beaucoup de montages et de scenes créées de toutes pieces ce qui casse le coté real tv docu film loufoque. C'est cliché, vulgaire, choquant. Pourtant, je me suis quand meme forcé a le regarder jusqu'a la fin. Fin qui aurait pu largement suffir au film car elle montre bien l'idée général qui est la denonciation de l'homophobie. Heureusement cette scene est un total fake (casting enorme rien que pour celle ci). meme si malheureusement ca existe.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 5 juillet 2010
    J'ai bien rit.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 août 2009
    Sacha Baron Cohen dépasse absolument toutes les limites que la société nous impose !
    a se tordre de rire
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 août 2012
    Film très vulgaire, j'ai nettement moins aimé que Borat mais ça reste divertissant et quelques scènes sont assez marrantes.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    154 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2024
    "Brüno", comédie britannico-américaine réalisé par Larry Charles, sortie en 2009.
    Nous retrouvons ici le style et l'humour typique des films de Larry Charles avec Sacha Baron Cohen (Borat, The dictator).
    Un pseudo documentaire avec des pseudos caméra cachées où un personnage excentrique (ici, un mannequin gay autrichien), provoque et choque le plus possible, notamment les stars américaines piégées en caméra cachée.
    Brüno, avec un pasteur, un ultra-conservateur, des juifs orthodoxes, des afro… toutes les blagues les plus trashs y passent.
    Filmé avec le style plus ou moins faussement à l'arrache, toujours aussi mal doublé en français, c'est débile, déjanté, très bête, mais c'est marrant.
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    142 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 août 2015
    En matière d’humour, j’aime beaucoup le politiquement incorrect. Et heureusement que des Sacha Baron Cohen existent pour nos proposer des conneries XXL pleines de gags de mauvais goût, sinon je m’ennuierai un peu. Encore une fois, on retrouve un film à l’humour qui va loin, parfois trop loin, mais c’est ça qui est bon. Alors je vais quand même commencer par le bât qui blesse, c’est ce manque de liant. Le film est très brouillon, les séquences s’enchaînent avec un minimum de cohérence certes mais sans proposer un réel développement continu, ce qui est un peu dommage. Toutefois, ça n’empêche pas le film d’offrir des barres de rires inégalables une fois que l’on accroche au délire.

    Ce qui est bien, c’est que Baron Cohen ose et pas qu’un peu. Le personnage de Brüno est complètement exagéré, outrancier et certaines séquences authentiques sont juste irrésistibles. Le fait de capter parfois de vraies réactions en tournant une scène dans un lieu réel fait toujours son effet. Après tout, comment réagirait-on au fait de voir un enfant noir arriver dans un carton depuis la soute à bagages dans un aéroport aux côtés de défenses d’éléphant? Comme dans Borat, on retrouve une alternance souvent troublante entre la réalité et la fiction. Et même quand on sait que c’est fictif, on ne peut s’empêcher d’avoir un petit doute. Et je trouve que c’est aussi une bonne manière de faire fonctionner l’humour, de rester souvent dans le flou et d’être finalement très surpris de certaines tournures du film. L’interview du politicien, c’est quand même quelque chose !

    Et quel mauvais goût assumé. L’hélicobite en gros plan, le club échangiste, le vélo-godemichet… Le film ne se refuse rien, il s’enfonce dans la connerie XXL sans jamais déroger à sa ligne de conduite en proposant une quelconque morale à la con. Le film est généreux dans sa bêtise du début à la fin, ce qui fait son charme. En tout cas j’ai vraiment ri de bon cœur à certains passages, souvent en étant pris à contre-pied tellement je ne m’attendais pas à de telles séquences. Alors je peux totalement comprendre que l’on soit réfractaire à cet humour débile mais que l’on n’aille pas me vanter les mérites de comédies type Les profs à côté. Car si ce dernier propose des gags aseptisés à base de prouts, Brüno est plus extrême et ne va pas faire de concessions à qui que ce soit, ce qui rend le film bien plus burné. En tout cas j’adhère totalement. Et si ce n’est pas toujours finaud ou bien rythmé, il y a ce qu’il faut de séquences hilarantes pour me faire passer un bon moment. Vivement le prochain Baron Cohen !
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 octobre 2012
    Quand il présentait son émission sur The Paramount Comedy Channel à la fin des années 90, Sacha Baron Cohen campait trois personnages : le rappeur blanc Ali G, le journaliste kazakh Borat Sagdiyev, et le roi de la mode autrichien et homo Brüno. Comme ses deux acolytes avant lui, ce dernier a le droit à son tour à son long métrage, fort du succès mondial de "Borat". Hier, Libération faisait sa une de l'événement, saluant le nouveau Zelig qui "rejoue l'infamie moyenâgeuse, mais cette fois en diffusion planétaire, avec MySpace et Twitter en catalyseurs".

    Commençons donc par Zelig. On sait que Sacha Baron Cohen ne donne aucune interview sous son identité propre, et qu'il fait vivre son personnage avant et après le film, comme lors du MTV Movie Awards où un Brüno angélique a déposé ses parties génitales sur le nez d'Eminem, peu connu pour son homophilie, ou dans le même Libération, où il remarque que "Sarkozy, ce serait mieux s'il était avec ein mannequin plus petit que lui, parce qu'en ce moment, on dirait qu'il sort avec un transexuel opéré".

    A l'écran, le trublion anglais donne autant de sa personne que pour "Borat", voir plus. Casque blond, corps épilé au laser avec le fameux ticket de métro, il ne nous cache aucune des parties de son anatomie ni de ses pratiques ancilaires particulières avec Diesel, son domestique philippin. Il ne craint pas d'aller au combat, que ce soit dans Mea Sharim où il exhibe une tenue mi-cuir, mi-loubavitch qui n'est pas du goût des religieux orthodoxes, ou dans un match de catch au corps à corps avec Lutz son assistant devant un public de l'Arkansas où pourtant, "on n'est pas des pédés".

    Pour l'infamie moyenâgeuse, on est servi, avec pêle-mêle une interview de Paula Abdul qui nous parle de son engagement caritatif assise sur un ouvrier mexicain remplaçant le mobilier qui n'a pas été livré, les conseils d'un pasteur gay converter (déjà vu dans son émission, cette fois c'était le Pasteur Quinn),

    Reste que l'objet qui nous est présenté nous est vendu comme un film, alors que plus encore que "Borat", il s'agit d'une succession de sketchs inégaux, avec comme seul lien "puisque je ne peux être célèbre en Californie en interviewant Harrisson Ford, je vais l'être en Cisjordanie en confondant Hamas et Hoummous". Le fil est encore plus décousu, et on retrouve le carbone du scénario de "Borat" : un mélange de happenings visant à susciter les réactions des personnes qui y assistent, d'entrevues piégées avec des spécialistes (ici, outre le convertisseur d'homosexuels, deux jumelles dont le créneau est l'engagement caritatif des stars) et d'immersions dans l'Amérique profonde post-Bush.

    On ressent plus encore que dans "Borat" le doute, voire la gêne devant l'absence de clarté sur ce qui est en camera caché et ce qui est arrangé avec des figurants (le casting de bébés, par exemple), et le talk-show où Brüno exhibe le gamin qu'il a acheté en Afrique devant un public à 90 % "afro-américain" suscite des spectateurs des réactions que le réalisateur veut faire paraître naïves, mais qui ne sont que des évidences au-delà du décorum propre au genre. Comme dans le précédent, on se demande en ne se voyant pas rire devant un rameur d'appartement équipé d'un gode ou une séance de fouettage par une échangiste S.M. si on est coincé ou si simplement ce n'est pas drôle.

    Il y a quand même et heureusement des sketchs plus réussis que ceux-là, comme l'interview du candidat républicain Ron Paul ou le clip final avec Elton John, Sting et Bono complices de l'apôtre de la paix, et aussi ces remarques savoureuses, comme la définition de l'idéal autrichien ("avoir un emploi, trouver une cave et y construire une famille") ou le regret que pour la deuxième fois en un siècle, le monde ignore un talent autrichien.

    Moins construit que "Borat", forcément moins surprenant du fait de la volonté manifeste des auteurs d'en reprendre les recettes, "Brüno" me laisse sur ma faim, avec l'impression que le déficit en drôlerie a été compensé par une surenchère dans le trash, rendant à l'avance les critiques réac ou out, pour reprendre la conception manichéenne du monde du roi de la mode viennois.

    http://www.critiquesclunysiennes.com
    Dixxonikk
    Dixxonikk

    1 abonné 46 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 mai 2010
    1ère partie affligeante où l’on se sent seul au monde lorsqu’on est à coté de spectateurs en délire avides d’humour extrêmement gras. Cela rappelle les blagues potaches bien bourrin autour de l’homosexualité où l’on veut se prouver qu’on est un vrai mec alors qu’on passe pour un vrai con. SBC réussi cela à presque 40ans. Heureusement que sa performance d’acteur tient bon sinon ça serait pitoyable.
    2ème partie avec un SBC qui essaie moins de choquer pour choquer. C’est drôle mais on est jamais très loin de l’embarras.
    Bref si vous aimez les chansons paillardes, Marc Dorcel, Jean Marie Bigard, les blagues sur les juifs, Michaël Youn et Borat, vous aimerait probablement Brüno.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 février 2014
    Après l'excellent Borat, Sacha Baron Cohen débarque dans le rôle d'un rédacteur de mode déchue autrichien : Brüno. Ce film est franchement inférieur à Borat ou à The Dictator. Il y a quelques scènes marrantes mais c’est souvent vulgaire et ce inutilement. De plus on s'ennuie par moment alors que le film ne dure que 1 h 20.
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