Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
fred2lo
14 abonnés
104 critiques
Suivre son activité
1,0
Publiée le 28 juillet 2008
Kent Alterman part d’une histoire vraie, la fusion entre la ABA et la NBA dans les années 70, pour réaliser une comédie loufoque et pleine de bons sentiments, dans la lignée de Dodge Ball. L‘argument de vente principal : Will Ferrel, au top de sa forme en touche-à-tout improbable, à la fois propriétaire, coach, joueur de sa propre franchise (Les Flint Tropicals) et ex-star du Disco, parodiant et usant à tout va de l’entertainment et la promotion pour offrir la touche déjantée et/ou lourdingue à l’ensemble. La bande son disco est épatante, c’est toujours ça de pris. Bref, pour les amateurs du genre uniquement. Les autres auront vite fait de zapper l’humour gras...
Les blagues font mouches drôle et souvent original malgré ces façades bêtas Semi pro est aussi une comédie intelligente grâce à sa satire sur le basket américain. Au final Le premier essaie du réalisateur s'avère audacieux.
Une comédie qui retranscrit bien l'époque où la NBA se créa. De bonnes petites choses par ci par la , des gags lourds par d'autres moments , ce film ne vaut pas plus de 2 étoiles.Rien d'autre a dire de plus sur ce film sitôt vu sitôt oublié.
Une comédie absurde avec des situations absurdes et des dialogues absurdes. L'adhésion du spectateur français n'est pas gagnée. Personnellement, ça s'est bien laissé regarder.
La tentative d’une équipe de basketteurs (ringards) pour prétendre à jouer dans le championnat NBA donne un film joyeusement régressif mais qui manque de rigueur comique : beaucoup de gags sont à jeter au panier... Kent Alterman compte trop sur le seul abattage de Will Ferrel, impérial dans sa coupe afro 70’s. Woody Harrelson est sous-employé et sa romance insipide avec la belle Maura Tierney plombe le film. Deux scènes sont pourtant d’une irrésistible drôlerie : le combat à mains nues avec un "bébé" ours, la partie de roulette russe avec un revolver que tout le monde croit vide…
Une comédie (pas vraiment drôle mais le film s'inscrit en tant que comédie, donc laissons le croire que s'en est une) bancale, ridicule. Aussi intéressante que les cheveux frisés, le torse velu et les mollets de fillettes de l'acteur principal. Will Ferrell devrait commencer à penser sérieusement à changer de standard ou tout simplement à quitter définitivement le cinéma. On peut également se demander ce que vient faire ici Woody Harrelson, l'acteur mythique de Natural Born Killers. Certes, excepté ce film et Larry Flynt, il a cumulé les navets et autres films de mauvais goût. Mais de là à tomber si bas il y a une différence. Scénaristiquement vide et ennuyeux, le film est digne d'un encéphalogramme plat : mort. Et l'on ne prendra,bien évidemment, pas la peine d'essayer de la ranimer. Laissons le reposer en paix dans les méandres des plus grands ratés de l'histoire du cinéma.
Le film met un peu de temps à démarrer, mais dès la scène de roulotte russe, il devient grand. Les réferences passé-présent sont exquises, et celles au basket sont assez marrantes. Will Ferrell est un génie, André Benjamin est adorable comme d'habitude. Un très bon film, bien barré.
Je l'admet, Will Ferell n'est pas le meilleur acteur de comédie mais moi personnellement, il me fait bien marrer. Plusieurs moments de ce film ont su me faire rire et je trouve le film pas mal. Je préfère autant écouter un film de comédie de ce genre que d'écouter un film d'action bien ordinaire avec un simple gars qui doit tuer un ennemi, un peu comme dans la plupart des films de Jason Statham.
Comme il l’avait fait dans Match en Famille/Kicking and Screaming (Jesse Dylan, 2005), Ricky Bobby : Roi du circuit/Talladega Nights: The Ballad of Ricky Bobby (Adam McKay, 2006) et Les Rois du patin/Blades of Glory (Josh Gordon et Will Speck, 2007), Will Ferrell revisite pour la quatrième fois un des sports emblématiques des Etats-Unis, uniquement en acteur ici.
Réunissant plusieurs interprètes jouant en bande (Will Ferrell, bien sûr mais aussi David Koechner, Matt Walsh, Will Arnett et Ed Helms en apparition furtive), écrit par Scot Armstrong (fidèle des premières réalisations de Todd Phillips), porté par une (excellente) musique funky signée Theodore Shapiro (qui a collaboré à plusieurs créations de Jay Roach, Ben Stiller et Paul Feig), ce Semi-Pro est l’une des nombreuses productions estampillées Frat Pack étendu, ce groupe informel réunissant régulièrement les mêmes personnes et gravitant autour de quelques personnalités du monde du cinéma et de la télévision (Ben Stiller, Judd Apatow, les frères Wilson, Adam McKay, Will Ferrell et bien d’autres). Réalisé par Kent Alterman, dont c’est l’unique film et qui fut directeur de la chaîne Comedy Central, l’oeuvre réunit en outre un surprenant Woody Harrelson, toujours là où on ne l’attend pas, un convaincant André Benjamin et Maura Tierney en seule présence féminine (à l’exception des cheerleaders et de la fabuleuse Kristen Wiig dans une toute petite apparition).
Si toute cette suite de noms, de talents et de liens génère un sentiment de sympathie, il faut hélas reconnaître que l’ensemble est assez moyen malgré un humour de situation parfois assez détonnant, quelques scènes proprement hilarantes, les répliques décalées et parodiques du duo de commentateurs (Andy Daly et Will Arnett) et un final qui récupère les codes du genre tout en les dépassant.
Semi-pro est regardable et plutôt sympathique mais il n'atteint pas son objectif premier: faire rire. Ok la VF y joue peut-être un rôle mais les gags semblent vus et revus et le film se déroule sans surprises, selon un schéma qui semble être commun à un grand nombre de comédies américaines (équipe de loosers, ascension etc...). On sent aussi que le réalisateur n'est pas allé assez loin dans ses ambitions, je pense notamment à la scène lorsque les gus jouent au poker, l'idée est bien trouvée mais le dénouement du gag est pas top.