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this is my movies
700 abonnés
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3,0
Publiée le 26 mars 2015
(...) C'est l'une des règles de base du film sur le sport, il n'est pas nécessaire de choisir une compétition connue de tous au risque de se mettre à dos tous les spécialistes comme dans "3 zéros" par exemple, qui est complètement invraisemblable à plein de niveaux. Et surtout, il ne faut pas oublier d'être fun et "Semi-pro" sait l'être. Déjà, le film propose toute une galerie de personnages complètement barrés avec en tête Jackie Moon, despote omnipotent comme adore les jouer Will Ferrell et qui va multiplier les premières parties loufoques avant ses matchs afin de remplir un gymnase qui sonne creux. Le duo de commentateurs, un classique du film de sport, est lui aussi particulièrement réussi avec l'immense Will Arnett, complètement déchaîné et le placide Andrew Daly. Dans le rôle de Monix, Woody Harrelson est très à l'aise, lui qui est aussi un spécialiste du film sur le sport et qui avait déjà jouer un basketteur dans les années 90 avec "Les blancs ne savent pas sauter". Le film fonctionne pas mal avec une bonne répartition entre les personnages, Jackie Moon assumant la majorité de la partie comédie avec quelques scènes mémorables et Woody Harrelson se voit confier un rôle plus complexe qui n'est toutefois pas vraiment original, celui de l'ancien espoir qui veut prouver au monde qu'il vaut mieux que sa réputation et qui veut également récupérer son ex dont il est très amoureux, ce qui tombe bien car cette dernière éprouve encore quelque chose pour lui. Son mec actuel est d'ailleurs fan de Monix ce qui occasionne quelques bons gags dont un très osé mais tellement vrai ! Ce n'est pas la meilleure comédie avec Will Ferrell et la mise en scène d'un point de vue général manque de punch mais les gags sont nombreux, les répliques sont assez drôles même si ça manque un peu de rythme et parfois de folie mais le plus intéressant n'est pas là. Encore une fois, le film s'applique à décrire une époque révolue, celle d'avant le business à outrances de la NBA et il veut retrouver la légèreté et l'insouciance de l'époque. Le film est également très intéressant parce que le but final n'est pas d'être leader mais d'accrocher la 4ème place, ce qui fait qu'on est très loin des objectifs des films sportifs habituels à savoir gagner, se dépasser. (...) La critique complète sur
Bon, ça commence à bien faire les navets qui ne sont même pas drôle pour un sou! J'adore ce genre de film mais là, faut arrêter le massacre! C'est lamentable. On ne sourit même pas tellement c'est affligeant! "Les rois du patins" était excellent, "Dodgeball" très moyen et la même chose pour "Balls of fury". Mais là, pfiou, franchement ils sont allés chercher loin. Trop loin sans doute!!! A ne voir sous aucun prétexte...
Qu’un film de Will Ferrell sorte en salles constitue un mini-événement en soi : véritable star outre-Atlantique, le comique bénéficie, ici, d’un crédit tellement moins important ici que la grande majorité de ses comédies gagnent très souvent une sortie technique, quand ils ne passent pas directement par la case “DVD”. Un sort que ne connaît donc pas “Semi-Pro” dans lequel Ferrell, après les courses de voiture ou le patinage artistique, épingle ici le monde du basket, avec l’ambition de mettre un peu de funk dans le dunk. De quoi nous donner envie de mettre les deux pieds dans la raquette, les zygomatiques prêtes à attraper au vol les gags et répliques de l’histoire de Jackie Moon, looser de compétition qui, dans les années 70, tente d’atteindre la prestigieuse NBA, avec son équipe de bras cassés professionnels. Seulement voilà : chacune de nos envies de rire est systématiquement bâchée par un humour au ras du parquet (avec un enchaînement régulier de lancers francs en-dessous de la ceinture), à base de situations attendues et tenues, certes ridicules, mais pas drôles pour autant. Si l’on ne peut qu’admirer le masochisme de Ferrell, peu effrayé par la honte, tout ici ne suscite que l’indifférence la plus totale, tandis que l’intrigue avance de façon prévisible, pour s’achever sur une offensive de bons sentiments qui n’arrangent vraiment pas le score final qu’obtient le long métrage de Kent Alterman, où seuls deux gags (dont un, celui de l’ours, présent dans la bande-annonce, et qui est plus que largement répété par la suite) parviennent vite fait à nous dérider brièvement, avant que l’ennui ne reprenne la main. Si l’on ne demandait pas non plus la lune à Jackie Moon et ses comparses, un film semi-drôle aurait simplement fait l’affaire. Mais “Semi-Pro” ne parvient hélas qu’à rester hors-jeu, jusqu’au coup de sifflet final. Out !
Cette comédie sur fond de basket se basant sur des faits historiques à savoir la fusion de l’ABA (American Basketball Association) et de la NBA (National Basketball Association) dans les années 70, suit les aventures des Flint Tropics, une équipe de basketball semi-professionnelle qui doit terminer en haut du classement afin de pouvoir accéder à la puissante NBA, qui lors de la fusion des 2 ligues ne peut que sauver que 4 équipes de l’ABA qui était une sorte de deuxième division de ce sport. C’est pour dire que pour l’équipe de bras cassé des Flint Tropics composée d’anciennes gloires du basket et emmenée par son dirigeant joueur vedette, Jackie Moon, la lutte s’annonce rude mais comme on peut le deviner, à travers un scénario bien classique d’une succes story à l’américaine, les sympathiques losers par leur acharnement vont bien sûre retrouver leur dignité. Outre alors la prévisibilité du film, l’intérêt de Semi – pro est plutôt d’abord dans la performance de Will Ferrel qui fait du Will Ferrel donc Semi – pro est forcément une comédie désopilante grâce aux frasques souvent crétins de l’acteur principal, car celui-ci en effet incarne Jackie Moon qui est davantage doué pour faire des spectacles débiles afin d’assurer la promotion de son équipe ou à organiser à chaque mi – temps des shows absurdes. On peut dire aussi que Will Ferrell en fait des tonnes mais son dynamisme, son enthousiasme suffisent largement pour retenir tout le long de cette bonne comédie, l’attention, tant disque à ses côté les personnages, de Woody Harrelson et Andre Benjamin qui l’aident dans sa tâche pour que l’équipe gagne, apparaissent bien secondaire même si les 2 acteurs s'en tirent pas trop mal. Cependant, le petit bémol qu’on pourrait reprocher à ce film plaisant, ne vient pas forcément du fait que le scénario est bourré de plein de clichés mais plutôt qu'il introduit une romance entre le personnage de Woody Harrelson et son ex – femme, ce qui ralentit souvent le rythme
En France,l'humour gras bien yankee de Will Ferrell a rarement fait mouche.Et c'est vrai que ce n'est pas pour rien que ses compères du "Saturday Night Live"(Ben Stiller,Owen Wilson,Jack Black...)sont plus populaires chez nous.Absence de finesse,gags grossiers,mimiques insupportables.Ca passe("Frangins malgré eux")ou ça casse("Ricky Bobby").Mais on ne peut lui enlever le fait qu'il se livre totalement,pour provoquer le rire,quitte à passer pour un abruti.Un vrai humoriste de formation donc.Dans "Semi-Pro",il confirme son goût pour les comédies sportives absurdes et son attrait pour les losers magnifiques.Le déroulement est encore une fois cousu de fil blanc.En revanche,bonne initiative que d'avoir choisi le basket américain des années 70(la ligue ABA,concurrente de la NBA) avec sa liberté d'expression rafraîchissante et ses rythmes soul et funky.L'occasion de pasticher une période,avec des acolytes rompus à l'exercice comme Woody Harrelson et Andre Benjamin.La crétinerie est poussée assez loin,comme il est de coutume avec Ferrell et ça ne va pas ensemble avec la morale proprette et les situations conventionnelles.Quant on choisit un créneau,on s'y tient!
Pas évident ce soir de lâcher du regard cette pochette de Cerrone Supernature. Dur dur de se prendre un uppercut devant SemiPro avec Mister Wiiiiiillllll Ferell. Cette orgie de basket, de choucroutes, de pelles à tartes et de blousons camel en cuir très très près du corps vous tordent de rire. Tout est plus loufoque, sans aucun round et surtout sans aucun répit. Nous sommes bien dans les années 70.
Y aura-t-il une limite dans la bêtise ? Non, no limit!
Ouvrez la pochette intérieure du vinyle de Cerrone. Tout est dit, la chaleur, la jungle urbaine, la moiteur, la nudité du corps exposé sont des offrandes à notre manière d’appréhender le monde.
Et bien écoutez cette magnifique chanson de Jackiiiiiiiiiie Moon Love Me Sexy citée à plusieurs reprises dans le film.
Franchement, oser reprendre la scène de la roulette russe dans Voyage au Bout de l’Enfer est vraiment la démonstration d’une maîtrise d’un grand cinéma américain comique.
Je suis un grand amateur des comédies de Will Ferrell. Généralement, je me marre comme un bossu durant tout le film. Mais, aujourd'hui, j'ai vu Semi-pro. Et j'ai trouvé que c'était un de ses films les moins bons ! En effet, l'histoire est un peu bancale et vue et revue des centaines de fois. Certes, c'est ici traité sous le signe de la comédie, pas comme tous ces drames ou films sportifs mais, finalement, le scénario leur ressemble beaucoup, passant par les étapes obligées de ce type de films. C'est dommage car les scénaristes n'osent pas assez, ils restent assez sages alors qu'ils ont Will Ferrell sous la main. Je suis convaincu que cette comédie aurait pu être bien meilleure s'ils avaient osé sortir des sentiers battus et nous proposer quelques séquences un peu folles. Ici, aucune séquence ne marque les esprits. Le film sera d'ailleurs bien vite oublié je pense. Quant aux comédiens, je pense que c'est eux qui sauvent le film. Woody Harrelson, Alexandre Benjamin, David Koechner, Will Ferrell, Will Arnet : ils jouent bien et on sent qu'ils ont envie d'être là et de jouer leur rôle. Cependant, je tenais à préciser et à finir ma critique par le fait que j'ai tout de même pouffer de rire quelque fois.
Will Ferrell, unique, génial, hilarant comme à son habitude. Beaucoup de surprises, beaucoup de fous rires, beaucoup de larmes de joie. Destiné à être culte, comem tous les films de l'acteur. Et à conseiller aux fans, les seuls qui ne sont pas abrutis pour prendre le film au premier degré ("bouh bouh y a pas de scènes de basket").
Will Ferrell persiste dans l’univers sportif, après le DTV Ricky Bobby - Roi du circuit (2005) et plus récemment Les Rois du patin (2007), il nous revient en grande forme dans une énième comédie sportive qui cette fois-ci, délaisse l’asphalte et la glace pour le parquet d’un terrain de basket. Le résultat ne se fait pas attendre, dès le générique, le ton est donné, avec Ferrell qui se prend à fredonner « Love Me Sexy », rien de bien confiant au final puisque Semi - Pro est du début à la fin une comédie ultra codifiée, sans effet de surprise avec son lot de blagues en dessous de la ceinture. Seul Ferrell parvient (à de rares moments à nous faire sourire), sinon, ce n’est qu’ennui et lamentation durant toute la durée du film. Même la distribution ne parvient pas à sauver le film, que ce soit Woody Harrelson ou Andre Benjamin, prenez votre mal en patience !
Une comédie sur le sport, le scénario assez classique, ainsi que l'humour de Will Farrel assez classique lui aussi. Le film devient assez lourd avec le temps et on en devine facilement la fin. Assez médiocre dans l'ensemble, sa reste sympa à regarder.