Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Qu'il s'agisse des gags visuels, des situations ou des dialogues, tout ici est inventif, délirant, et matière à fou rire. Ajoutez à cela un Will Ferrell des grands jours et une bande son soul aux petits oignons et vous obtenez un véritable grand chelem.
(...) l'atmosphère seventies qui imprègne le film ajoute à l'intérêt que l'on porte à cette histoire moins banale qu'efficace (...) [Ferrell] habite Jackie Moon comme s'il habitait Hamlet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Prenons donc ce Semi-pro pour ce qu'il est, un coupe faim acidulé et sympa comme tout, avant le véritable festin, annoncé lui pour septembre avec Step brothers, le nouveau Ferrell / Reilly / McKay / Apatow.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Acharné à gérer un scénario attendu, à introduire des éléments de psychologie "crédibles" (...), les auteurs perdent de vue une dimension critique (...). La sauvagerie burlesque s'en trouve altérée, qui ne revient dès lors que par trop brefs moments.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Dans cet éloge de " l'entertainment " à tout prix, "Semi-pro" est sans doute moins drôle que ses grands frères (comme "Dodgeball", auquel on pense parfois) ; mais il s'y trouve une curieuse densité élégiaque, façon Bob Fosse du pauvre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Will Ferrell (...) ne fait que répéter un peu plus ce qui a fait sa gloire (...) pour une débauche humoristique farouchement vulgaire et kitsch. L'abondance de gags irrite plus qu'elle ne divertit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
En dépit de son abord de fanfare funk et bariolée, c'est la modestie qu'impose Semi-Pro comme sa qualité première.
MCinéma.com
Qu'il s'agisse des gags visuels, des situations ou des dialogues, tout ici est inventif, délirant, et matière à fou rire. Ajoutez à cela un Will Ferrell des grands jours et une bande son soul aux petits oignons et vous obtenez un véritable grand chelem.
Première
(...) l'atmosphère seventies qui imprègne le film ajoute à l'intérêt que l'on porte à cette histoire moins banale qu'efficace (...) [Ferrell] habite Jackie Moon comme s'il habitait Hamlet.
Télé 7 Jours
Aucun temps mort, soit 90 minutes de pur délire du meilleur mauvais goût à haute valeur euphorisante. Dans le genre, du travail de pro.
Chronic'art.com
Prenons donc ce Semi-pro pour ce qu'il est, un coupe faim acidulé et sympa comme tout, avant le véritable festin, annoncé lui pour septembre avec Step brothers, le nouveau Ferrell / Reilly / McKay / Apatow.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.com
Le Monde
Acharné à gérer un scénario attendu, à introduire des éléments de psychologie "crédibles" (...), les auteurs perdent de vue une dimension critique (...). La sauvagerie burlesque s'en trouve altérée, qui ne revient dès lors que par trop brefs moments.
Télérama
Dans cet éloge de " l'entertainment " à tout prix, "Semi-pro" est sans doute moins drôle que ses grands frères (comme "Dodgeball", auquel on pense parfois) ; mais il s'y trouve une curieuse densité élégiaque, façon Bob Fosse du pauvre.
20 Minutes
Des grimaces et des gags à répétition, à réserver aux fans les plus fervents du comique [Will Ferrell] !
Cahiers du Cinéma
Rire avec et non aux dépens : tout relève du pastiche, pas de la parodie.
Le Figaroscope
Une farce farfelue autour du sport et de ses fausses performances.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
(...) le filon de la-comédie-de-losers-ringards-qui-s'en-sortent-à-la-fin commence sérieusement à battre de l'aile.
Ouest France
(...) une aventure qui tient de la foire aux potaches.
aVoir-aLire.com
Will Ferrell (...) ne fait que répéter un peu plus ce qui a fait sa gloire (...) pour une débauche humoristique farouchement vulgaire et kitsch. L'abondance de gags irrite plus qu'elle ne divertit.