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Orno13
14 abonnés
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2,0
Publiée le 14 mai 2023
1 et film de danny Boyle,un realisateur dont je n apprecie pas ses films,celui ci est le moins ennuyeux mais ça ne va pas me réconcilier avec ce metteur en scene. Des mouvements de caméra intempestifs et ses couleurs particulières sont sa marque de fabrique dont on ne comprend pas où il veut en venir. 3 amis colocataires cherche un 4 eme colocataire pour limiter les frais,après avoir trouvé un homme mystérieux il meurt des son emménagement en laissant une valise bourré de fric ce qui va occasionner des conflits et une perte d harmonies entre les anciens amis Le reste est à découvrir ou pas
J'aurais du mal expliquer pourquoi je n'ai pas aimé ce film car il ne m'a pas laissé un gd souvenir fan de mcgregor mais pas du cine anglais, ce film ne m'a juste pas captivé du debut a la fin et je n'ai pas ri ce qui est difficilement appréciable dvt une supposé comédie
Vraiment très bon ce premier film de Danny Boyle. Abordant des questions essentielles telles la cupidité, l'amitié et la loyauté, Petits meurtres entre amis passe d'un thriller gentillet et plutôt drôle à un véritable thriller psychologique, extrêmement noir. Pour cette raison, j'aurais du mal à classer le film dans le rayon comédies, comme l'indique l'affiche. Finalement, il est vrai que le scénario reste assez classique (Même si l'idée en elle-même est originale) et ne dispose pas d'une intrigue à multiples rebondissements, mais cette dernière arrive réellement à passionner, à captiver et même parfois à couper le souffle. De plus, l'essentiel d'un thriller étant son dénouement, on peut dire que le scénario est réussi, car le final de Petits meurtres entre amis est excellent et respecte entièrement la facture du genre du thriller. Pour son premier film, Danny Boyle disposait déjà d'un style de réalisation bien à lui. Parfois académique, mais malgré tout personnelle et surtout, réussie et offrant une réflexion dans la mise en scène. Les acteurs sont parfaits, Ewan McGregor brillait déjà à ses tout débuts. Le thème musical est hypnotisant et hantant, parfait. En bref, un premier film très réussi de la part de Danny Boyle qui annonçait déjà un avenir prometteur.
Ce singulier Shallow Grave, premier long-métrage de Danny Boyle et première de ses trois collaborations avec Ewan McGregor, laissait déjà entrevoir en 1994 tout le potentiel du réalisateur anglais. Le postulat, que tout le monde a imaginé au moins une fois, est relativement simple mais le scénario de cette tragédie se déroule de façon implacable du début à la fin, et ce dans une ambiance intrigante et pesante qui scotche le spectateur. Les personnages qui composent le trio sont complémentaires et évoluent chacun de façon différente jusqu'au dénouement final ultra cynique et ponctué d'un mini twist inattendu. On pourrait cependant reprocher au film ce qui fait aussi sa force, c'est-à-dire son côté absurde peut-être un peu trop poussé. Le montage aurait également mérité un peu plus de cohérence.
Encore un film de Danny Boyle parfait. Une intrigue incroyable et une gestion des personnages et de leurs psychologies proprement dessinées, pour une descente aux enfers parfaite. A voir !
Dur dur la co-habitation ! Surtout lorsque le nouveau locataire passe de vie a trépas le soir même de son emménagement, dans sa chambre, laissant son cadavre (et un étrange butin de millions de £ !) à une bande de joyeux lurons et fidèles amis. Evidemment cet acte va radicalement changer leur vie, et faire découvrir a chacun de nouvelles peurs et de nouvelles facettes de leur personnalitée. "L'argent rend aveugle et le "crime" rend fou, mefiez-vous !". C'est un peu en sorte ce qui pourrait être la morale de ce film étrange, qui démarre en comédie trash pour mieux plonger dans le thriller violent à l'ambiance sombre. C'est la ce qui "choque" le spectateur, le coup de théatre qui va donner au scénario une tournure inattendue.
Donc des personnages portés par un jeu d'acteurs ultra-réaliste, et pour ce je vous demande d'applaudir bien fort la "Troupe a Boyle" : Chris Eccleston, Ewan MacGregor et Kerry Fox ! Et surtout celui sans qui on aurait pas vu cette performance d'acteur : le metteur en scène anglais Danny Boyle (qui n'en était pas a son premier coup d'essai cinématographique mais néanmoins à son premier succès) qui impose son style particulier et étrange, ressemblant assez a l'univers déjanté d'un autre british plus connu (a qui l'on doit notamment "Brazil", allez cherchez bien vous allez trouver !).
Bref, c'est osé, c'est sanglant, c'est choquant mais c'est anglais! Découvrez tout le dangereux charme de Danny Boyle a travers ce film aux apparences trompeuses mais néanmoins bien savoureux.
Qui n'a pas imaginé au moins une fois le postulat de ce film? Qui n'a pas osé imaginer trouver une malette pleine de billets de banque, et surtout envisager tout ce qu'il pourrait faire avec? C'est ce que Danny Boyle nous propose à travers ce petit bijou de cynisme. L'ambiance est intriguante et lourde, bien appuyée par une BO finement sélectionnée. Le tout créé une tension palpable et une évolution psychologiquement étouffante. Les personnalités de chaque personnages ainsi que leurs relations et leurs évolutions au fil des tensions sont très captivantes. Le poids des actes est également retranscris avec une grande méticulosité. Le twist final, surprenant et pouvant être considéré comme un poil absurde, fait également son effet positif. Un film de grande classe !
Premier long-métrage du britannique Danny Boyle, qui constitue l'épisode initial de sa trilogie "Bag of money" (suivront "Trainspotting" et "A life less ordinary"), "Shallow grave" est un thriller cynique et maîtrisé, qui sait surprendre le spectateur par de jolis retournements de situation. Pourquoi alors cette note médiocre? Principalement pour une raison subjective : les 3 héros du film ne sont absolument pas attachants, je n'ai personnellement ressenti aucune empathie pour eux, et ce dès les scènes de présentation, qui se veulent décalées et amusantes, mais qui n'ont suscité chez moi que de l'agacement. Du coup, je ne souhaitais par la suite que des emmerdes à ces 3 têtes à claques, ce en quoi je n'ai d'ailleurs pas été déçu... Par ailleurs, Boyle affiche déjà une belle inventivité dans sa mise en scène, mais comme en plus "Petits meurtres entre amis" (1994) accuse méchamment le poids de ses 20 années...
Je suis bluffé. Je m'attendais à un bon film mais sans plus et finalement j'ai eu droit à une petite pépite totalement délirante qui nous dévoile comment l'argent peut conduire à la folie furieuse. Le casting est excellent, le personnage de David fait vraiment froid dans le dos à l'image d'un Jack Nicholson. Ewan Mcgregor est aussi très impressionnant et bien déjanté également. Sinon l'histoire est bonne et accrocheuse. Bref Petits Meurtres Entre Amis est un très bon film bien que déroutant il n'en reste pas moins une perle rare.
Ce film est un bijou, qui a fait (1 119 015 - 4 = )1 119 011 entrées effectives car j'avoue en avoir abusé 5 fois en salles obscures en 1995. Un joyau de cynisme brutal et d'humour noir ravageur, où un trio d'amitiés explose lentement mais sûrement face à un magot inattendu et quelques cadavres encombrants. Les acteurs débutants (le fougueux McGregor, l'inquiétant Eccleston, l'opportuniste Fox) apportent une fraîcheur et une aigreur indélébile par leurs actes irréversibles moyennement assurés. Ils sont servis par des dialogues et des répliques cash qui apportent du sourire entre deux sons stridents de scie. La B.O. restera longtemps dans le fin fond de notre oreille interne. Le débutant réalisateur Danny Boyle nous sert un film rythmé crescendo: il montre déjà les premiers stigmates d'une réalisation maniérée, même si ici la mécanique est huilé à la sauce (aigre) douce. L'argent fait tourner la tête, "Petits Meurtres entre Amis" retourne lui les esprits.
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1,5
Publiée le 14 avril 2021
Le problème de Boyle est qu'il ne sait pas comment diriger ses acteurs c'est pourquoi je pouvais ignorer ses défauts quand j'avais de faux zombies ou des trucs de science-fiction pour me distraire de ses lacunes. Mais Petits Meurtres entre amis tout comme Trainspotting sont les pires films du réalisateur qui doit diriger un scénario peuplé de personnages totalement antipathiques. L'histoire de ce film est prévisible et n'est animée par rien. Le trio de personnages principaux est constitué de brutes et les acteurs semblent penser qu'exagérer chaque mot et chaque expression faciale constitue un jeu d'acteur ce qui n'est pas le cas. McGregor est ennuyeux, Fox et Eccleston s'en sortent tout juste avec des rôles loufoques. Il y a aussi Ken Stott qui joue les détectives et un Keith Allen nu pour me décourager. Les choses deviennent de plus en plus incroyables au fur et à mesure que l'histoire avance avec des corps enterrés dans les bois, des voitures qui tombent des falaises et des gens qui se cachent dans des appartements. Puis il y a un soi-disant rebondissement final que vous pouvez voir à des kilomètres a la ronde et vous vous demandez c'est tout. Ce film est d'un ennui total...
A la recherche du colocataire idéal, trois amis font passer un examen d'entrée très strict à bon nombre de postulants jusqu'à ce qu'ils découvrent la perle rare en la personne d’Hugo. Celui-ci se révèle tellement discret qu'il meurt en silence, enfermé dans sa chambre, quelques heures seulement après avoir emménagé. Avec le corps se trouve une valise pleine de billets qui va rapidement avoir raison d'une longue amitié. En l'an de grâce 1994, Danny Boyle réalise son premier long-métrage, " Petits meurtres entre amis ", premier volet de la trilogie sur le manque d'argents (Bag of money trilogy) où il dirige à chaque reprise son acteur fétiche, l'Ecossais Ewan McGregor. Ce film n'était qu'à considérer tel un coup d'essai, nous en sommes en faite en présence d'un véritable coup de maître. Danny Boyle construit son œuvre sur les bases d'une comédie dramatique à l'humour mordant, où situations grinçante et répliques cultes s'enchaînent avec une savante gestion du temps. Puis, le cinéaste changent radicalement de ton et parachève son film avec un structure proche du thriller psychologique aux résonnances dramatique ; un travail artistique remarquable qui relève d'une incontestable maestria qui laisse pantois. Il convient également de souligner l'efficacité de la mise en scène, elle constitue en soi en formidable vecteur de suspense. Un premier film admirable, qui n'a guère démérité le Grand prix du jury du festival de Cognac. Chapeau bas.
Le chef d'oeuvre pour moi de Boyle...de la critique pur critique dosée avec un humour noir subtil et intelligent.Les acteurs sont dans le truc,ils jouent à merveille et font du scénario orriginal une histoire en or.Vive la colloc et le frick ^^