Note moyenne
4,1
27 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 Minutes
La réalisatrice (...) n'a rien perdu de son brio pour plonger le spectateur au coeur d'une tension à la limite du supportable.
Charlie Hebdo
On aurait tort de faire la fine bouche (...) devant ce très bon Démineurs, qui envisage cette guerre du strict point de vue concret de trois hommes englués dans un quotidien aussi répétitif qu'extraordinaire.
Impact
Démineurs débarque enfin chez nous et s'impose comme LE film d'action le plus pur de l'année. (...) Une bombe !
L'Humanité
Mission parfaitement accomplie. (...) Remuant.
L'Obs
"Démineurs", film lucide, survolté, tranchant, est beau à regarder, dans l'immédiat. Puis, plus tard, il s'ouvre comme une fleur de sang, superbe bombe à retardement.
Le Monde
Chronique formidablement dense et détonante du quotidien d'une petite équipe de démineurs pendant la dernière guerre d'Irak.
Les Inrockuptibles
Kathryn Bigelow (...) réussit un film âpre, complexe et éclairant.
Metro
Un suspense qui fait transpirer... et réfléchir.
Positif
Démineurs, grand film modeste, met en abime cette seule fonction: montrer l'attente de la morte, sans autre horizon.
Première
Pour (...) Chaque nouvelle séquence fait un peu plus grimper le mercure (...) Un thriller qui vous coupe les jambes, le souffle et vous relâche en nage avec un gout de poudre au fond de la gorge.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Cinélive.
Brazil
En imposant son style et sa personnalité au film de guerre, la réalisatrice en fait exploser les codes. Car, comme dans Point Break, elle filme avec éclat(s) des hommes qui s'adonnent à des activités extrêmes, se vouent tout entier à une passion qui les faits se sentir en vie.
Cahiers du Cinéma
Retour vers un âge absolument primitif du film d'action dont Démineurs tire à la fois son âcre impuissance et sa belle étrangeté.
Chronic'art.com
Ce travail d'exténuation des figures auquel se livre la cinéaste, avec en son coeur une sublime scène d'embuscade dans le désert, ne vaut au fond que comme long cauchemar diurne.
Critikat.com
Le premier atout de Démineurs est de clouer sur place le spectateur, dans la terreur du mauvais fil, de la fatale mauvaise manipulation. Mais Kathryn Bigelow désamorce toute jouissance, frustre son public en lui sucrant l'explosion tant attendue (...).
Dvdrama
Une bombe à retardement immersive qui marque le grand retour de Kathryn Bigelow.
Filmsactu
Un film sur les ravages psychologiques de la guerre - oui, encore - mais suffisamment loin des poncifs pour se focaliser sur les étranges cas d'énergie positive qu'il procure à certains hommes, tout l'opposé de Rambo par exemple, appuyé par une mise en scène particulièrement inspirée.
Libération
Les situations extrêmes auxquelles sont confrontés les personnages conduisent le film sur la voie d'une interrogation sur l'héroïsme et l'addiction des combattants à toujours plus d'adrénaline.
Télé 7 Jours
Spécialiste ès adrénaline, Madame Kathryn Bigelow (...) nopus met au tapis avce cette hallucinante plongée en terrain miné aux accents documentaires.
TéléCinéObs
(...) un film dense, beau, percutant, totalement à contre-courant du politiquement correct et des clichés ambiants.
Télérama
(...) Du suspense en concentré (...) Démineurs joue avec nos nerfs en variant les plaisirs.
La Croix
Un film dur mais saisissant (...) Un thème rarement abordé (...) et traité avec finesse et, somme toute, humanité.
Le Figaroscope
Un film coup de poing, dur, violent et dérangeant, qui marque le grand retour de Kathryn Bigelow.
Paris Match
Avec son réalisme digne d'un reportage (...) ce film de guerre moderne aux composants classiques vous secoue comme une déflagration.
L'Express
Question psychologie, en revanche, on est en terrain déminé.
Ouest France
Propos un peu sommaire.
Première
Contre Rien à faire, cette surenchère d'effets de style rappelle le pire de Tony Scott. (...) La guerre est une drogue, donc (...) et le film une overdose de testostérones mal contrôlées.