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AMCHI
J'ai toujours bien aimé ce film et en le revoyant je constate avec plaisir que Le Cinquième Élément 20 ans plus tard tient encore bien la route.
Luc Besson avait agréablement crée la surprise avec son film digne des plus grosses productions hollywoodiennes certes il fait l'impasse sur l'originalité et parmi les défauts du film il y a des scènes d'action qui ne semblent pas être totalement maîtrisées malgré tout ce film de SF est très plaisant à suivre pendant sa durée de 2 heures.
Entraînant dès le début, un peu naïf voire simpliste dans son récit Le Cinquième Élément par contre à un rythme soutenu ses scènes s'enchaînant sans temps mort.
A l'ère du quasi tout numérique dans ce genre de production le film de Besson visuellement garde une certaine beauté presque artisanale (du moins de nos jours car il ne donnait pas cette impression à sa sortie), le cadre et le décor sont bien travaillés donnant une personnalité non négligeable au Cinquième Élément bien que tout cela s'inspire fortement d'autres travaux précédents notamment de l'univers de la bande dessinée Valérian.
On peut même dire que Le Cinquième Élément est un peu la version réussie de l'adaptation des aventures de Valérian car ce qui est quand même dommage c'est qu'avec la version officielle Luc Besson ne réussira pas à nouveau son coup.
Niveau casting Bruce Willlis en pleine gloire interprète avec sa gouaille habituelle un héros un peu loser mais attachant, il est bien entouré de seconds rôles solides dont un Chris Tucker assez marrant par contre j'ai un peu de mal avec Milla Jovovich qui ne m'a jamais semblé une actrice convaincante mais dans la peau de Leelo elle s'en sort assez bien.
Eric Serra signe une agréable B.O. à l'exemple de ce film qui l'est aussi prouvant que quoi qu'on dise sur Besson il est tout à fait capable de faire du bon cinéma divertissant.
Luc Besson avait agréablement crée la surprise avec son film digne des plus grosses productions hollywoodiennes certes il fait l'impasse sur l'originalité et parmi les défauts du film il y a des scènes d'action qui ne semblent pas être totalement maîtrisées malgré tout ce film de SF est très plaisant à suivre pendant sa durée de 2 heures.
Entraînant dès le début, un peu naïf voire simpliste dans son récit Le Cinquième Élément par contre à un rythme soutenu ses scènes s'enchaînant sans temps mort.
A l'ère du quasi tout numérique dans ce genre de production le film de Besson visuellement garde une certaine beauté presque artisanale (du moins de nos jours car il ne donnait pas cette impression à sa sortie), le cadre et le décor sont bien travaillés donnant une personnalité non négligeable au Cinquième Élément bien que tout cela s'inspire fortement d'autres travaux précédents notamment de l'univers de la bande dessinée Valérian.
On peut même dire que Le Cinquième Élément est un peu la version réussie de l'adaptation des aventures de Valérian car ce qui est quand même dommage c'est qu'avec la version officielle Luc Besson ne réussira pas à nouveau son coup.
Niveau casting Bruce Willlis en pleine gloire interprète avec sa gouaille habituelle un héros un peu loser mais attachant, il est bien entouré de seconds rôles solides dont un Chris Tucker assez marrant par contre j'ai un peu de mal avec Milla Jovovich qui ne m'a jamais semblé une actrice convaincante mais dans la peau de Leelo elle s'en sort assez bien.
Eric Serra signe une agréable B.O. à l'exemple de ce film qui l'est aussi prouvant que quoi qu'on dise sur Besson il est tout à fait capable de faire du bon cinéma divertissant.
Un chef d'œuvre survitaminé, héroïque et culte de Luc Besson avec une histoire originale et fantastique, des effets spéciaux très réussis, un scénario original et très bien ficelée, une réalisation parfaite, des décors somptueux, un humour très drôle et des acteurs excellents (Bruce Willis, Gary Oldman, Milla Jovovich, Mathieu Kassovitz et Maïwenn).
Un des films que j'ai vu le plus de fois d'abords à sa sortie. On y trouve à mon sens certains défauts de Besson qui est un réalisateur très doué mais avec des formes curieuses de superficialité et de manques de profondeur. Dans ce film pourtant j'ai apprécié à chaque fois les acteurs, la cohérence et le déroulé de l'histoire, les décors, l'humour, les trouvailles diverses. Dans ce film, j'y vois une visée de la lutte entre le bien et le mal qui n'est pas sclérosée dans le mental humain comme souvent mais bienfaisante dans son ensemble avec une forme d'équilibre entre destruction et construction et la prééminence du bien par le courage, la simplicité et l'amour.
1997 et pourtant d'assez mauvais éffet spéciaux. Grosse initative de luke besson qui sort de son domaine et fait de l'humour ce qu'il arrive plutot bien à faire .à noter la matière utiliser pour faire du sang ressemble limite à du chocolat.
Sans objectivité aucune, Le Cinquième élément, faisant partie des films ayant bercé ma tendre jeunesse, fait partie de ces réalisations qu'il faut avoir vues. Les décors colorés et kitch, l'interprétation décalée, la BO endiablée et les superbes effets spéciaux plairont sans aucun doute aux nostalgiques. L'histoire, quant à elle, convenue et assez classique dans sa construction pourra éventuellement désservir le film sans être rédhibitoire. Dans tous les cas, de grandes scènes d'anthologie pour un divertissement garanti, et qui convient à tous les âges!
Très bon film de Luc Besson, j'ai bien aimé les scènes d'action, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde, le petit bémol tout de même pour Milla Jovovitch qui n'est pas mon actrice préférée mais elle forme un excellent duo avec Bruce Willis, à noté aussi la touche d'humour très particulière de Chris Tucker que j'adore =)
Que dire de ce film culte de Luc Besson... Tout d'abord, au niveau de la forme c'est parfait !! Avec une esthétique étonnante, étrange et colorées. Des costumes, décors, effets spéciaux et une photographie très travaillés qui donnent un charme fou à ce film (en même temps il le faut bien vu le budget colossal). De plus, i y a un art du montage excellent, notamment lors des scènes d'action forcément mais aussi l'intelligence d'un montage alterné entre deux lieux qui nous montrent ainsi deux scènes qui se complètent
spoiler:
(par exemple lorsque Lilou se bat contre les guerriers et qu'on voit en même temps la diva chanter ou encore lorsque l'on nous montre la valise vide du début, coupé à l'explication de Lilou
). On notera également un son très travaillé avec beaucoup d'effets. Alors certes Besson nous prouve encore une fois ici qu'il possède un art de réaliser maîtrisé, mais le scénario est assez décevant... En effet, celui ci se veut surprenant, malheureusement il l'est beaucoup trop. De ce fait, il multiplie les incohérences et l'humour BEAUCOUP trop présent font perdre toute crédibilité aux enjeux. Néanmoins, on passe un bon moment dans cet univers bien exploité où les voitures volent et les flics sont omniprésents pour nous encadrer... On nous délivre par ailleurs un message de paix et d'amour, là où "tout ce que les hommes construisent servent à détruire" et à se faire la guerre.
). On notera également un son très travaillé avec beaucoup d'effets. Alors certes Besson nous prouve encore une fois ici qu'il possède un art de réaliser maîtrisé, mais le scénario est assez décevant... En effet, celui ci se veut surprenant, malheureusement il l'est beaucoup trop. De ce fait, il multiplie les incohérences et l'humour BEAUCOUP trop présent font perdre toute crédibilité aux enjeux. Néanmoins, on passe un bon moment dans cet univers bien exploité où les voitures volent et les flics sont omniprésents pour nous encadrer... On nous délivre par ailleurs un message de paix et d'amour, là où "tout ce que les hommes construisent servent à détruire" et à se faire la guerre.
Le Cinquième Elément pourrait se définir comme un film de SF juvénile . Un scénario pas très élaboré cousu de bons sentiments et des personnages à la trame psychologique soit grossière soit inexistante,ce qui s'additionne à une vision philosophique un peu neuneu (à l'instar de nombreux films de Besson) . Les musiques post-techno de Serra ont mal vieilli comme les mises en scène d'ailleurs avec leurs effets de zoom qui finissent par irriter.
Pareil pour le parti pris esthétique/artistique du film que je trouve de mauvais goût et dont la connotation exagérément gay arrive à me mettre mal à l'aise. Je survolerai le jeu médiocre des acteurs, même celui de Mila Jovovich qui agace par ses mimiques idiotes et sa langue ridicule inventée pour les circonstances et celui de Bruce Willis complètement aux fraises qui a l'air de subir le scénario. Je passerai aussi la scène pénible de la diva cantatrice extraterrestre .
Ce qui sauve ce film du navet total, reste quand même une certaine qualité dans sa réalisation et des FX à la hauteur pour son époque (20 ans déjà) malgré l'aspect un peu quincaillerie de certains éléments du décors ou des costumes et le rythme soutenu du film (bien que quelques longueurs) .
Pour résumer, sans être insupportable à regarder , ce film n'est pas ce que j'attends d'un film de SF dont certains au budget bien moins conséquent, ont plus réussi à me convaincre. Deux étoiles pour un film de Luc Besson c'est déjà bien.
Pareil pour le parti pris esthétique/artistique du film que je trouve de mauvais goût et dont la connotation exagérément gay arrive à me mettre mal à l'aise. Je survolerai le jeu médiocre des acteurs, même celui de Mila Jovovich qui agace par ses mimiques idiotes et sa langue ridicule inventée pour les circonstances et celui de Bruce Willis complètement aux fraises qui a l'air de subir le scénario. Je passerai aussi la scène pénible de la diva cantatrice extraterrestre .
Ce qui sauve ce film du navet total, reste quand même une certaine qualité dans sa réalisation et des FX à la hauteur pour son époque (20 ans déjà) malgré l'aspect un peu quincaillerie de certains éléments du décors ou des costumes et le rythme soutenu du film (bien que quelques longueurs) .
Pour résumer, sans être insupportable à regarder , ce film n'est pas ce que j'attends d'un film de SF dont certains au budget bien moins conséquent, ont plus réussi à me convaincre. Deux étoiles pour un film de Luc Besson c'est déjà bien.
Un chef d'œuvre de Luc Besson survitaminé, héroïque et léger avec une histoire originale et fantastique, des effets spéciaux très réussis, un scénario original et très bien ficelée, une réalisation parfaite, des décors somptueux, un humour très drôle et des acteurs excellents (Bruce Willis, Gary Oldman, Milla Jovovich, Mathieu Kassovitz et Maïwenn).
Un film qui réunit a peu près tout ce que j'aime : de l'humour, de l'action, de la science-fiction, des personnages charismatiques et du second degré
c'est drôle, ce film m'a fait penser à la bande dessinée "l'incal", de moebius et Jodorowsky. peut être parce que le film s'en inspire drôlement, si bien que ces créateurs ont fait un procès pour plagiat à luc besson. vous l'aurez compris, je ne vais pas vous parler du scénario ou des décors... une fois de plus, luc besson nous signe un film se voulant "culte, mythique et grandiose" mais qui reste une sombre merde dans laquelle on peut distinguer quelques bouts de plagiats et une photo degueulasse
C'est un chef d'œuvre de Luc Besson survitaminé, héroïque et léger avec une histoire originale et fantastique, des effets spéciaux très réussis, un scénario original et très bien ficelée, une réalisation parfaite, des décors somptueux, un humour très drôle et des acteurs excellents (Bruce Willis, Gary Oldman, Milla Jovovich, Mathieu Kassovitz et Maïwenn).
Tellement plaisant a voir, ce film légendaire, indémodable.
Il est surtout bien construit, histoire bien ficeler entre amour et peur
C'est un des films à voir et à revoir toutes sa vie.
Il est surtout bien construit, histoire bien ficeler entre amour et peur
C'est un des films à voir et à revoir toutes sa vie.
Ce truc m'a pris en traitre. C'est une attaque dans le dos.
Dès les premières minutes j'ai été ébahi, désorienté en voyant des extra-terrestres qui ressemblent à Casimir.
Je m'arrête là, je ne dirais pas plus sur les hilarités et les désarrois que j'ai eu en regardant cette ineptie.
Le qualificatif de ce truc est un champ..... Un champ de Navets.
Dès les premières minutes j'ai été ébahi, désorienté en voyant des extra-terrestres qui ressemblent à Casimir.
Je m'arrête là, je ne dirais pas plus sur les hilarités et les désarrois que j'ai eu en regardant cette ineptie.
Le qualificatif de ce truc est un champ..... Un champ de Navets.
Le premier film de Luc Besson, Le Dernier Combat, était un film de science-fiction fauché. Avec Le Cinquième Élément, il retrouve le genre avec cette fois un budget nettement plus conséquent (75 millions d’Euros) et un casting avec sa tête des pointures internationales (Bruce Willis, Milla Jovovich, Gary Oldman, Ian Holm, Chris Tucker, Mathieu Kassovitz, Maïwenn, Tricky, Mia Frye).
Grâce à cela, le cinéaste peut se permettre de mettre en images un rêve de gosse (il avait jeté les premières bases du scénario alors qu’il était au lycée) et de le faire partager aux spectateurs du monde entier. Il crée ainsi un univers mélangeant à la fois les univers de Blade runner, de Total recall et de la bande dessinée qu’il adaptera vingt ans plus tard Valérian et Laureline (coécrite par Jean-Claude Mézières qui participa à la création des décors du présent film). Cet univers délirant s’appuie sur des costumes tout aussi créatifs de Jean-Paul Gaultier. La réalisation de Besson est toujours aussi inventive : il prend du plaisir et cela se sent (au point que ce pestiféré de l’intelligentsia française recevra le César du meilleur réalisateur).
Ainsi, une fois accepté d’être dans un film de pur divertissement parfois un peu vain (on est loin de trouver la réflexion de film comme Blade runner ou Minority Report) et une fin un peu trop copiée de la majorité des James Bond, il serait dommage de ne pas prendre du plaisir devant cette réussite de la science-fiction bourrée d’humour, de scènes très réussies spoiler: (l’évasion de Leeloo et sa rencontre avec Korben Dallas, la séquence de la Diva…)
, d’ effets spéciaux parfaits et possédant une direction artistique délirante. Une preuve que le cinéma français peut réussir aussi bien que le cinéma américain dans le divertissement à gros budget.
Grâce à cela, le cinéaste peut se permettre de mettre en images un rêve de gosse (il avait jeté les premières bases du scénario alors qu’il était au lycée) et de le faire partager aux spectateurs du monde entier. Il crée ainsi un univers mélangeant à la fois les univers de Blade runner, de Total recall et de la bande dessinée qu’il adaptera vingt ans plus tard Valérian et Laureline (coécrite par Jean-Claude Mézières qui participa à la création des décors du présent film). Cet univers délirant s’appuie sur des costumes tout aussi créatifs de Jean-Paul Gaultier. La réalisation de Besson est toujours aussi inventive : il prend du plaisir et cela se sent (au point que ce pestiféré de l’intelligentsia française recevra le César du meilleur réalisateur).
Ainsi, une fois accepté d’être dans un film de pur divertissement parfois un peu vain (on est loin de trouver la réflexion de film comme Blade runner ou Minority Report) et une fin un peu trop copiée de la majorité des James Bond, il serait dommage de ne pas prendre du plaisir devant cette réussite de la science-fiction bourrée d’humour, de scènes très réussies spoiler: (l’évasion de Leeloo et sa rencontre avec Korben Dallas, la séquence de la Diva…)
, d’ effets spéciaux parfaits et possédant une direction artistique délirante. Une preuve que le cinéma français peut réussir aussi bien que le cinéma américain dans le divertissement à gros budget.
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