Derniers Avis sur Survivance

Cinq amis décident de partir camper le temps d’un week-end en pleine forêt. Les autochtones du coin leur déconseillent de s’y aventurer, mais ils n’en font qu'à leur tête. Ils ne seront pas déçus du voyage…

La filmographie de Jeff Lieberman (Meurtres en VHS - 1988) n’a rien de très reluisante et c’est donc sans grande surprise que l’on se retrouve face à un survival forestier très mou du genou. C’est bien simple, le réalisateur n’arrive jamais à y instaurer un quelconque climat d’angoisse. On est devant l’archétype du slasher pour ados, avec un groupe de jeunes gens qui partent passer du bon temps en forêt et qui vont se faire disséminer les uns après les autres, façon Délivrance (1972), mais sans le talent de John Boorman.

Sans la moindre originalité (on a même droit à l’inévitable scène topless), pourtant, on sent que le réalisateur voulait tout donner d’entrée de jeu et qu’il n’avait pas envie de perdre son temps (et par la même occasion, le notre), puisque le tout premier meurtre intervient dès la 5ème minute. Mais malgré cela, à aucun moment le film ne parviendra à se démarquer de ce qui a déjà été fait par le passé.

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Pour une raison quelconque je suis attiré par ces films d'horreur de péquenauds comme un papillon par une flamme. Dans ce sous-genre particulier je qualifierais Survivance de moins que moyen. En général je pense que ces films me plaisent en raison de leur réalisme. Les monstres, les fantômes et autres éléments surnaturels sont bienvenus mais même le plus basique et le plus banal de ces films demande au spectateur de faire appel à son imagination jusqu'à un certain point. En revanche nous avons tous entendu des histoires sur des montagnards consanguins et fous et leur méfiance à l'égard de la société moderne. Et si des films comme celui-ci peuvent prendre des libertés avec l'extrême violence c'est malheureusement aussi sont leur intérêt...

Un film qui accusé le poids des ans au son comme à l'image, malgré quelques jolis plans. J'ai eu l'impression d'un mélange entre Délivrance et Massacre à la tronçonneuse, sans la tension du premier et sans l'angoisse du second. Deux étoiles malgré tout pour la barbarie du couteau dentelé qui a l'air de faire vraiment mal quand on l'enlève du corps et pour le combat final, complètement barré mais assez efficace. À voir faute de mieux.

"Survival "dans la moyenne qui n'accroche pas vraiment à cause de son manque de rythme. Personnellement j'aime bien la dernière scène ou la survivante utilise une méthode peu commune pour s'en sortir. j'ai lu que c'était du n'importe quoi. Et bien non c'est une technique de la dernière chance que l'on peut employer en cas d'attaque de chien.

Survivance (Just Before Dawn) est un très bon Survival réalisé par Jeff Lieberman ou on trouve cinq jeunes (jouaient par Chris Lemmon (le fils de Jack), Gregg Henry (futur acteur fétiche de Brian De Palma a partir de Body Double), Deborah Benson, Ralph Seymour (acteur qui joué Sinatra dans un film TV) et Jamie Rose) qui vont camper sur le sommet d'une montagne ou ils vont recevoir la visite de tueurs consanguins... Voici, un film ressemble étrangement à un mélange entre Délivrance (surtout au niveau des décors) et à la série Vendredi 13 (des jeunes partent camper au beau milieu d’un bois et un vilain monsieur vient se joindre à la fiesta pour les massacrer les uns après les autres…)… Mais en fait, (malgré, qu'il soit assez long à démarrer (comme la plupart des survival, par ailleurs) et une interprétation qui laisse à désirer, parmi les jeunes acteurs (ce qui est aussi souvent le cas de nombreux films de ce genre)... ce survival est vraiment sympa grâce à une histoire bien ficelée, des meurtres intéressants et un lieu vraiment bien choisi.... ce qui en fait l'un des meilleurs Slasher ou Survival des années 80 (voir le film pour comprendre, car je ne peut en dire plus pour ne pas faire un Spoiler).... Donc a voir

Délivrance puis Massacre à la Tronçonneuse ont généré un nombre incalculable de survival et de slasher movies, où l'on trouve du pire au meilleur... ici on suit un groupe d'amis partis en randonnée dans l'Amérique profonde. Malgré sa réputation le film ne tient pas le coup, mal filmé, mal joué, mal scénarisé, on s'ennuie vite...

Un survival qui emprunte tout à la fois à Délivrance, la référence dans le domaine et au slasher style Vendredi 13 où une bande d’ado attardés se jette avec plaisir dans tous les pièges les plus évident pour s’offrir en victimes quasi consentantes au méchant. Méchants qui ici sont deux car jumeaux. Le ton est un peu celui du documentaire ce qui donne plus de vraisemblance aux avatars de ces touristes imprudents. On sait qu’aujourd’hui ce procédé technique est considéré comme le nec plus ultra alors qu’à l’époque il relevait tout simplement d’un manque cruel de moyens. Dans un certain sens Jeff Lieberman fut un peu un précurseur. On retrouve pour un petit rôle George Kennedy. Banal mais pas complètement inintéressant.

Just before dawn est un film assez peu connu mais qui n’est pas un slasher désagréable. Attention, cela ne veut pas dire qu’il soit exempt de défauts et qu’il mérite un statut culte.
Coté casting on a des acteurs intéressants. On a un lot de jeunes pas vraiment connus, mais qui s’avèrent plaisant. Les personnages sont pour une fois un peu plus attachants que dans nombre de slasher, et surtout ils peuvent parfois surprendre (confère la fin). Ils sont joués avec conviction, et de nombreuses scènes sont clairement sauvées grâce à leurs prestations. En revanche les méchants de service sont quand même assez fades, et ne font vraiment pas bien peur. C’est dommage que Just before Dawn n’est pas eu un grand méchant du niveau de ses confrères. A noter la petite surprise George Kennedy qui apparait peu et s’avère surtout une curiosité plutôt qu’un argument.
Le scénario est assez linéaire. Des tueurs, des jeunes, une forêt, on connait la suite. Il a toutefois un point négatif : il commence vraiment tardivement. A 45 minutes ca commence juste à décoller, alors forcément c’est assez gênant pour ceux qui cherchent à rentrer rapidement dans le vif du sujet. Reste que lorsque le film se lance il y a des choses vraiment bien, le rythme s’accélère, et la gradation devient très solide jusqu’à un final curieux qui fait presque étonnamment basculer le film vers Le Guerrier silencieux ! On retrouvera bien des clichés du genre (le type qui suit l’inconnue), et le film est relativement prévisible, mais globalement il est efficace et suffisamment divertissant pour s’en sortir.
Visuellement c’est là que Just before Dawn est le plus à l’aise. La mise en scène est très réussie, elle donne vraiment belle allure au métrage. Le réalisateur utilise parfaitement les décors, et construit son film avec réalisme. Il y a des passages franchement brillants, dont la fin encore une fois, à l’inverse, à la limite de l’allégorie, mais aussi la séquence avec les amoureux qui se reçoivent sur la tête un colis inattendu ! Les décors sont sublimes, avec des paysages naturels magnifiques qui donnent une réelle authenticité au métrage. La photographie m’a elle aussi fort plu, alors que mon support n’était pas de la meilleure qualité. Il y a un travail sur l’ambiance qui fait très plaisir dans une production que l’on n’imagine pas très fortunée. A noter que ceux qui cherchent de l’horreur dans Just before Dawn seront assez déçu. Le film est très soft, et s’il ne prête pas à rire, il n’a visuellement parlant rien de nettement horrifique. Maintenant c’est un choix respectable et qui s’avère suffisamment maitrisé pour ne pas porter préjudice au film. En revanche l’absence d’une bande son digne de ce nom est dommageable. En dehors d’une introduction sur un tube de Blondie qui met parfaitement dans l’ambiance et s’avère quand même très agréable à entendre, le reste est malheureusement trop faible.
En conclusion Just Before Dawn est un film d’horreur pas mauvais, et qui mériterait surement d’être un peu mieux connu. Pour autant on est loin aussi du petit film culte oublié. Il ne manque pas de défauts, dont son scénario basique et très mou dans sa première partie ou ses tueurs pas à la hauteur de la concurrence (riche et éclectique) sur le marché du slasher. A voir à l’occasion, et je lui accorde 3.

Jeff Lieberman étonne avec son Just Before Dawn. Si le grain de l'image a vieilli et que le film n'est pas gore, la qualité du réalisateur - nan le film n'est pas moche, l'image participe de l'atmosphère de terreur- les décors superbes et l'interprétation pas si mal en font un incontournable du genre. Un slasher/survival qui a marqué grâce à une scène finale...originale. Un bon film. 3,5/5

un b movie qui n invente rien (en gros c est délivrance en beaucoup moins bien version slasher) et qui peche par une photo très moche. cependant, l honneteté de l entreprise et l implication des acteurs font plaisir a voir. film oubliable, mais consommable grace a quelques scènes bien cools et réjouissantes dans l esprit et des paysages vraiment sympas.

Un mixte entre "Délivrance" et "Vendredi 13" qui ne réinvente rien. Des jeunes se font une escapade en forêt où des dégénérés s'offrent de temps à autres un massacre. Déjà vu mais c'est surtout la mise en scène qui pêche. Une photographie exécrable et des scènes d'horreur qui ne font jamais frissonné font soit rire soit ennuie. Un film insipide qui tient au final aucune promesse.

Dans la lignée de "Delivrance", nous partons en promenade-rando chez les dégénérés 'tex-mex', faire - entre autre - 1 salut à la famille sinon au fils visiblement (très) oublié depuis un moment: Pas de véritables grands moments malgré une joyeuse scène de lac, un suspense croissant ainsi qu'une permanente lumière bleue d'ailleurs relative aux les films de J.Liebermann. Pour le fun.

Bah C'est très amusant comme film! Des acteurs assez nanar un scénario tout bonement copié sur son grand père Délivrance ( a noté la ressemblance du titre... Coïncidence? ), ce film est en aspect générale assez amusant et divertissant avec quelques onne idées de ce réal'Jeff Liberman a qui l'on doit le grand film culte La Nuit Des Vers Géants.
Bon dans ce film on nous balance des acteurs nazes au possible, aui partent campé dans le trou du c** du monde malgrès les avertissements du garde forestier purement américain. Bon jusque là... Rien de nouveau, rien d'originalité, banal. Mais il y a une petite famille de ripoux avec pépé le Shotgun et mémé pierre a feu qui rodent dans la forêt dans une cabane opurrave avec leur fille étrange. Une famille donc pas très inquiétante mais assez amusante va a la rencontre des jeunes campeurs tous cons a n'en plus finir. Pépé leur sort un banal avertissement enb fin plutôt une menace. En gros il leur dit F*** Off.
Avant on voit un oncle et son neveu ou je ne sais plus trop quoi, enfin on s'en fou qui se font bien massacrer la gueule par un dégénéré à coup de machette à dents de scie ( d'ailleurs elle est bien stylé ). Donc en gros le garde forestier raplique parce il a la bonté de Dien en lui ( l'espoir américain de la patrie ) et qui tue le Bad Guy. Mais alors qu'il ne rest plus qu'une héroïne, un deuxième Bad Guy se ramène, identique au dernier. Il s'avérer en fait qu'il y avait deux frères jumeaux, jumeaux jusqu'à la machette ( et oui! )qui étaient rejeté par leur famille des lieux. Bon c'est du gros nanar comme on les aime c'est pourquoi je ne mets que 2 étoiles. Ca peut plaire aux fans de série B ( ou Z dans ce cas là ) ou a l'inverse complètement déplaire aux personnes normales qui n'aiment que les gros film à hyper production. Amusant.