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Redzing
1 113 abonnés
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1,0
Publiée le 8 mai 2012
Joel Schumacher a une carrière très inégale. Après avoir sauvagement massacré le chevalier noir ("Batman & Robin"), et avant de proposer un solide drame ("Tigerland"), il nous livre cette histoire de détective privé enquêtant dans l'univers du snuff movie. La première partie contient des longueurs mais se veut relativement intrigante, avec une atmosphère poisseuse. Puis "8MM" se transforme en thriller totalement grotesque, au scénario prévisible, et faisant une apologie très douteuse et peu subtile de l'auto-justice. Quant aux interprètes, seul Peter Stormare, dans son rôle de réalisateur dérangé, sort brièvement de lot. Un faux pas de plus pour Schumacher.
L'un des meilleurs de JOEL SCHUMACHER avec FALLING DOWN et A TIME TO KILL.....N.CAGE est sobre comme d'habitude. La palme revient à Peter Stormare, totalement hallucinant en DINO VELVET...Un type que personne voudrait fréquenter.....L'ambiance ultra malsaine et glauque est très bien rendue par SCHUMACHER...Injustement descendue à sa sortie en 1998, ce film à le courage de montrer ce que les coincés bien pensants ne nous montre pas.....Ils préférent encenser une daube comme AVATAR tout ça parce que il cumule tous les excés...8 MM est un chef d'oeuvre absolu et culte pour moi...Beaucoup plus choquant que des bleuettes comme le minable SCREAM ou les SAW...Totalement invraissemblables.....
Un bon thriller bien glauque qui remu pas mal, car avant ce film je ne savais même pas qu'un snuff pouvait exister, que le monde est bizarre. Nicolas Cage est excellent, comme dans la plupart de ses films des années 90, ça s'est gâté par la suite.
Quelques longueurs, cela ne vaut pas "Seven", mais c'est un bon film, dans un univers très malsain, celui de la pornographie extrême et des snuff-movies; j'ai adoré les mauvaises critiques des bobos offusqués par la soi-disant apologie de l'auto-justice, mais quand il n'y a pas de preuves concernant un crime gratuit sur une adolescente, simplement pour que les très riches puissent s'assurer qu'ils ont tous les pouvoirs, cela me semble tout à fait justifié et n'a d'ailleurs rien à voir avec l'Irak ou autres combats foireux des Américains. Si les bobos imaginaient un instant leur propre fille à la place de la gamine, si cela arrivait à l'un de mes proches, enfants, mari ou chat, je me sentirais le droit de tuer le coupable, si la justice se trouvait dans l'incapacité de faire son boulot, les bobos défendent toujours les pires ordures, c'est même à ça qu'on les reconnait.
Un thriller qui s'inspire grandement de Seven mais qui prend le risque de traiter d'un genre cinématographique tabou: le porno. En plus de ça, c'est fait avec sobriété et maîtrise, ça ne tombe jamais dans le ridicule. Joel Schumacher met en scène une descente aux enfers intelligente et bien structurée. Malgré quelques longueurs et des moments répétitifs, "8MM" est un film pas trop mal qui se laisse regarder sans problème.
Retrouvez la critique de Matt en intégralité et en vidéo sur Youtube :
Un choc, voilà l'effet que produit ce super thriller. La première partie est excellente avec une ambiance qui peut rappeler celle de "Seven", en plus malsaine. La suite dans laquelle Nicolas Cage ( au passage excellent) joue les justiciers est un peu décevante. Malgré ca, le film reste très bon, et nous fait passer un moment très particulier aux cotés de l'horreur humaine, surprenant et terrifiant.
Un film haletant dans le milieu de la pornographie et découvrons un univers glauque d'une noirceur et d'une violence inouïe à travers la quête de justice d'un détective que rien ne va arrêter.
Si le scénario n’est qu’une enquète policière ou le passage dans le coté obscure n'est pas sans rappeler certains autres films. L'ajout du milieu pornographique en fond, lui ; s'avère ; quant à lui ; original. Quelques peu malsain, voyeur... Une sorte de présuel au "turmovie" qui ont suivi des dizaines d'années plus tard ("Saw", Hostel"...). La vengeance est donc ici, un moyen d'enrichir le scénario et de pouvoir notamment d'y intégrer ses scènes chocs. Ou même si le casting et la réalisation se veulent correct. Voir Nicolas Cage dans ce type de film, m'a étonné. MAis sans me déplaire., il n’en reste pas moins un sujet intéressant, scabreux, et peu traité dans la majorité des films(les milieux du porno trash illégal et du snuff). Psychologique moins que visuel (belle photo), le film nous entraine assez facilement car il parle d’interdits, de pulsions sexuelles et meurtrières, il brosse des portraits de personnages hideux et malades, d’un univers insoupçonnable voir complètement méconnu. Bien sur le film ne va pas trop loin, il ne nous imprègne pas, ne nous choque pas, ne nous change pas ; ça n’est qu’un bon film qui ne vivra que le temps de sa vision. Mais il est quand même réservé à un public averti. Car même si les scènes ne sont pas là spécialement pour choquer comme dans certains films. Ici, cela peut être le cas assez souvent. Un bon petit divertissement de seconde partie de soirée, que je n'avais pas vu depuis plusieurs années!^^
Un grand film dans la catégorie thriller noir, le déroulement de l'intrigue est imprévisible, on est surpris du début à la fin par des enchaînements de faits qui créés tout une analogie d'évènements dont la conclusion est tragique. Nicolas Cage incarne à la perfection un détective perspicace, subtile et engagé découvrant un monde sombre et sans scrupule qu'il ne soupçonnait pas de découvrir un jour, le plus impressionnant est son entrée et son adaptation dans le milieu du porno clandestin où on passe du novice aux fan expert en la matière, en bref c'est excellent. Les autres acteurs ne sont pas en reste; ainsi on y trouve Joaquin Phoenix dans un bon rôle de guide naïf et futé, Peter Stormare, un réalisateur avide et pervers et James Gandolfini le bourreau psychopathe. Tout ce ceci nous donne un petit chef d'oeuvre du genre.
Le film qui m'a donné la plus forte sensation de dégoût après l'avoir visionné. C'est un film complaisant qui plaide sans la moindre finesse pour le droit à la légitime défense. Le spectateur est dans la pire situation qui soit celle du voyeur impuissant a qui on impose une vision d'horreur sans la moindre nuance. Jean Seberg disait dans "A bout de souffle" de Godard: "Qu'est-ce-que c'est dégueulasse?".Eh ben voilà c'est ça dégueulasse.
J'ai trouvé ce film assez moyen, les acteurs sont bons et tout, le scénario aussi mais je me suis ennuyé pendant plus d'une heure car il met très longtemps a démarrer après, ca devient intéressant!