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lhomme-grenouille
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0,5
Publiée le 14 janvier 2015
Avec ce « 8mm » on touche pour moi au summum du cinéma putassier. Ça bouge dans tous les sens, on essaye de faire de la scène choc pour faire de la scène choc, mais en réalité tout est vain, c’est du cache-misère. Donc, en plus d’être vide, ce film, par son astuce de saltimbanque mal avisée, s’avère en plus de cela assez malsain. Bref, une belle horreur que ce film là…
A vrai dire, je ne m'attendais pas du tout à voir ce genre de chose, mais ce n'est pas plus mal car on y apprend pas mal de chose sur un univers malsain. De plus peu de temps avant j'avais, entre autre, fait un exposé sur le sujet de la pédophilie, et là j'en ai appris bien plus que je ne le pensait. J'adore Nicolas Cage, et encore une fois, il ne nous déçoit pas. Beaucoup de bons acteurs dont Joaquim Phoenix, toujours au rendez vous et cette fois çi dans la peau d'un vendeur dans un magazin X qui va aider justement Nicolas Cage. Le film parle d'un sujet plutôt tabou dont on ose pas trop parler avec les gens. Je pense que c'est assez fidèle à la réalité, même presque trop. Justement, le protagoniste essaie de résoudre l'enquête qui lui ai confié par une vieille dame à propos du cassette ou l'on y voit une femme torturé et probablement tué, je vous laisserai le découvrir. Et il suit son bonhomme de chemin avec tous les inconvénients qu'il puisse y avaoir, et franchement parfois, on aimerait vraiment pas se retrouver à sa place. En bref, c'est un très bon film même si ça reste quand même assez noir comme sujet, et que ce film ne pourra pas être visionner par n'importe qui. Mais si vous avez l'âge, ne vous faîtes pas priez, alors bon film !
Une véritable descente aux enfer dans le monde de la pornographie illégale et du snuff-movie menée à bien par un très bon Nicolas Cage qui se fond dans son personnage.Noir, glauque et dérangeant ce film nous fait quand meme ressentir un peu de pitié et bien que la violence et la haine le domine de part en part il nous prend comme si nous etions impliqués dans cette histoire.Les âmes sensible devront toutefois s'abstenir car les scènes de viol et de tortures sont bien la, et d'un profond réalisme. On n'en ressort pas indifferent, M. Schumacher y est pour quelque chose..
Attention film choc ! Sordide au possible, une photographie très sombre à l'instar de ces personnages que l'on côtoient tout au long de ce film malsain....Mais nécessaire. Je suis de ceux qui pensent qu'il faut choquer pour prévenir des dangers qui nous entourent. Le film reste, malgré le malaise que l'on ressent, assez gentil car issu d'une grande major américaine. S'il avait fait partie des productions indépendantes, on aurait évité les pirouettes scénaristiques habituelles des grosses productions américaines, pour obtenir un produit des plus authentiques car très proche de la réalité. Nicolas Cage (que j'apprécie pourtant beaucoup) semble sincère mais manque de crédibilité pour un rôle comme celui-ci. Les seconds rôles sont, par contre, absolument fabuleux (Phoenix et Gandolfini en tête) Un film noir donc à ne pas conseiller aux depressifs car le genre humain en prend un sacré coup derrière les oreilles, et ce n'est pas avec ce film que l'on regagnera confiance en l'avenir de ce monde, décrit ici sans flatterie, en nous faisant baigner dans notre "propre" décadence. A méditer !
Une démonstration de ce qu'on peut faire de pire au cinéma : utiliser l'ultra-violence comme seul sujet de film, en justifiant ce parti pris par une morale immorale consistant à soutenir le choix de se faire justice soi-même. Ce n'est d'ailleurs même pas présenté comme un choix, mais comme un devoir. Immoral donc, puisqu'à l'encontre de la vraie justice, dangereux puisqu'à l'encontre de toutes les lois, et nul puisque sans réalisation aucune, et une emphase constante bien plus écoeurante que la violence elle-même. Tel un Marylin Manson qui doit s'ouvrir le torse sur scène pour justifier son manque de talent. Pitoyable.
Avec 8mm, Joel Schumacher réalise une oeuvre magistrale sur l'univers du Snuff Movie. Avec un scénario à la fois captivant et émouvant, ce film est une véritable descente au enfer,dans un monde cruel où le sexe et le meurtre sont réunient pour ne créer plus qu'un. Parfois à la limite du supportable, ce film malsain est magnifiquement porté à l'écran par un Nicolas Cage toujours aussi excellent, et un Joaquim Phoenix épatant. Entre excitation et horreur, voila un choix des plus malsain, mais tout simplement génial. Un grand film...
Ce film est pour ma perception "artistique" et "psychologique" très bien. La musique est originale et colle assez bien au rythme et aspect "glauque-folklo" du moovie. Le sujet est très intéressant: la relation entre les "disparitions" de personnes (notamment jeunes) et le milieu du porno, en tous les cas du commerce sexuel, sous toutes ses formes ou presque. NICOLAS CAGE, qui incarne le détective privé, chargé d'enquêter sur un film particulièrement violent (mise à mort d'une personne) appellé "snuff", est encore, et pour moi quasiment toujours, impeccable. L'évolution de son personnage est intéressante, assez détaché et "professionnel"au départ, il s'impliquera davantage, jusqu'à un point surprenant. Joachin Phoenix, le frère de River, est terriblement sexy en "tenancier" de sex-shop "cuir et latex". Drame à teneur de sexe, pouvoir et argent, avec pour ma part une bonne crise de fou rire, lors de l'engeulade entre deux porno-businessmen par téléphone interposé... A voir §§
Une plongée vertigineuse dans lunivers du porno clandestin, un film qui repousse à lextrême les limites de la décence : extrêmement malsain, extrêmement dur, extrêmement violent, extrêmement dérangeant, extrêmement déroutant, à lambiance extrêmement glauque, amoral, sordide, pervers, voyeuriste Un thriller dune extrême noirceur qui a tout pour vous mettre mal à laise tout en vous captivant et en vous surprenant par un scénario très très bien ficelé et qui réserve son lot de surprises En plus interprété par dexcellents acteurs : Nicolas Cage, Joaquin Phoenix, Peter Stormare, James Gandolfini, et réalisé dune main de maître par Joel Schumacher, qui exhibe ici ce qui sûrement son meilleur film : un thriller sur fond dérotisme et de voyeurisme, teinté dun noir ténébreux, descendu par les critiques de la société bien-pensante. Nous, on adore, 8MM est un chef doeuvre magistral, à reconnaître à sa juste valeur. Alors, prêts pour le grand plongeon ? Survivrez vous à ce voyage jusquau bout de lhorreur ? Croyez moi, vous ne ressortirez pas indemne de ce film, à ne pas laisser entre toutes les mains.
8 mm est une preuve que même si Joel Schumacher est capable du pire il est également capable du meilleur. Ce film n'est pas seulement rendu intéressant par un retournement de situation à la fin, non, il est absolument captivant de part en part, ce qui je dois dire est assez rare. L'ambiance sinistre, voire glauque amenée par les couleurs employées est encore renforcée par la musique de fond. Parmis les acteurs, Joaquin Phoenix, malgré son petit rôle, ressort du lot. Pour résumer, c'est un film hautement réussi qui se laisse voir et revoir sans lasser.
Un film glauque et prenant. A la réalisation, Joel Schumacher fait preuve du même courage que pour Chute Libre. Nicolas Cage est magistral dans sa métamorphose de bon père de famille en homme lessivé par la violence. Un thriller qui prend aux tripes.
Un thriller qui vous scotche du début à la fin. Nicolas Cage y est remarquable. Pour ma part, j'ai particulièrement apprecié l'idée de "vengeance de Nicolas Cage" sur la fin. J'étais tellement plongé dans le film, le réalisateur a réussi à me faire ressentir cette profonde injustice qui s'émane du scénario. Je ne pouvais pas imaginer la fin autrement.
Malgré un sujet très " lourd " et difficile à scénariser sans tomber dans des clichés et des excès, le film tient toutes ses promesses et on est entraîné (comme Nicolas Cage) dans une descente aux enfers. On ne ressort pas indemne d'un tel univers et on se pose la question de savoir où se situe la frontière entre la fiction et la réalité. Au niveau de l'interprétation, Nicolas Cage est très bon et Joaquim Phoenix est magistral.
L'idée était franchement bonne et jamais exploitée. Faire un film sur l'industrie du snuff movie pouvait s'avérer comme une expérience intéressante au cinéma. Seulement voilà, on est à Hollywood et si l'on veut qu'un film marche, il faut y ajouter des coups de flingue et des retournements de situation à vomir. C'est malheureusement ce qui arrive dans 8mm Huit Millimètres. La première partie est excellente, tout se passe très bien, une enquête, banale, mais intéressante. Certaines scènes sont choquantes mais contribue à la réussite de cette partie. De plus, Nicolas Cage et Joaquin Phoenix sont excellents. Puis vient la seconde partie, plus du tout consacrée au snuff movie, mais consacrée à un homme qui doit tout faire pour échapper à des méchants (très méchants même) qui veulent sa peau. C'est con, très con, les scènes sont téléphonées et insensées, on y croit pas une seconde et on est un peu déçu. Puis vient un coup de théâtre absolument idiot qui gâche tout. 8mm Huit Millimètres aurait pu être au rang de Seven. Dommage.
Ambiance malsaine qui donne toute sa dimension au film. N. Cage incarne un detective engagé par une vieille dame pour retrouvé une fille "morte sur pellicule". Il va donc devoir évoluer parmi les détraqués fans de snuff movies.