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    8 mm
    Note moyenne
    3,2
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    301 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 avril 2011
    8mm est un thriller assez moyen. Si l'idée de départ était originale, le développement se révèle banal au regard d'autres thrillers. La première partie du film est très lente, très ennuyante... Si bien qu'à la moitié du film, on a l'impression d'être aux trois quarts (Dans le mauvais sens du terme, bien entendu... C'est parce qu'on a hâte que le film se termine, pas parce que le temps passe vite... Au contraire, on la sent passer la première heure...) La seconde partie du film est plus dynamique, plus entraînante... Elle se "réveille", si je puis dire (Malgré une fin déplorable et bâclée).
    Au niveau de la réalisation, c'est du Joel Schumacher et, même si ça reste meilleur que ses Batman (Comment faire pire ?), ça reste tout de même assez moyen... Le film cherche à créer une atmosphère glauque et dérangeante mais pendant les deux heures, on a l'impression qu'elle ne fait qu'essayer, qu'elle n'ose pas, qu'elle n'arrive pas vraiment à se trouver un caractère...
    Ensuite, je n'ai jamais trouver Cage extraordinaire, et je ne change pas d'avis... Il est assez banal, à l'image des autres acteurs de 8mm.
    Je finirais en parlant de la BO. Si certains titres sont agréables à écouter, d'autres sont vraiment insupportables... La BO est à l'image du film ; irrégulière.
    Voyez le si vous le pouvez et si vous aimez le genre, sinon, vous ne ratez rien.
    jamesluctor
    jamesluctor

    134 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mars 2011
    Clairement ici un des films les plus risqués de Nicolas Cage, qui met ici clairement son image en danger. Excellent film qui parle de Snuff, et qui n'hésite pas à se montrer sadique quand il le faut, sans ménager aucun personnage de l'histoire. L'intrigue est bien fichue, la mise en scène est réfléchie et on passe un sacré moment. A voir d'urgence, amateurs de thrillers massifs !
    Legid
    Legid

    36 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 avril 2013
    Joel Schumacher est un réalisateur très décrié, pour la qualité discutable de certains de ses films. Malgré cette réputation plus ou moins méritée, il faut bien reconnaitre qu'il a fait de bons films. On pense bien sur à l'excellent Phone Game. Ce 8mm est également a rangé du côté des bons.
    Un thriller sur le milieu de la pornographie underground et du snuff movie, légende urbaine sur des films montrant le meurtre réel de personnes.
    Sur ce synopsis original, 8mm s'avère être un bon thriller au scénario captivant, à l'ambiance glauque et à l'interprétation de qualité. Nicolas Cage se montre très convaincant dans le rôle de ce détective privée chargé de déterminer par une riche dame âgée si un film est un snuff movie ou non. Les seconds rôles ne déméritent pas non plus notamment les excellents Joaquin Phoenix, Peter Stormare et James Gandolfini.
    Petit regret sur les scènes entre Nicolas Cage et sa femme qui n'apportent pas grand chose au récit et se montrent assez répétitives voir un peu lourdes.
    La fin est réussie en dévoilant l'évolution de Nicolas Cage, bon père de famille qui se voit déborder par la violence du milieu qui l'entoure.
    Une bonne surprise !
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 110 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 septembre 2010
    (...) 8MM nous offre une plongée palpitante au sein des Snuff Movies, films légendaires et undergrounds où le porno se transforme vite en un bain de sang réel. Un film sombre, dérangeant où l’on peut sentir à travers l’écran la putréfaction de lieux bordés de dégueulis et d’excréments. Quoiqu’en prétende l’opinion bien pensante et proprette sur elle, 8MM est un excellent policier au casting prestigieux dirigé d’une main de maître par un Joel Schumacher alors en pleine possession de son Art.
    Lire la suite: http://www.leblogducinema.com/2010/09/30/critique-8-millimetres/
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    687 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 octobre 2018
    Destruction des femmes et des familles par le mensonge classé X, viol de l’innocence, fascination masculine pour cette danse du diable capable d’entraîner par sa noirceur le plus solide des citoyens. Ou quand la quête de la vérité nue devient aussi nauséabonde que les fantasmes d’un milliardaire – et des hommes à l’œuvre pour les incarner – au point de faire basculer dans les flammes de l’Enfer (transition éloquente à 1h46 de film) l’ange père de famille. La narration donne l’illusion de se focaliser depuis les rangs du bien sur les rangs du mal ; la dernière demi-heure renverse cette idée, notre héros remet en scène par les mots et les gestes les sévices infligés, brutalise les coupables pour le plus grand plaisir – ou déplaisir – d’un spectateur passé de témoin à complice. Le tueur, pellicule 8mm ou Machine cagoulé, caméra hollywoodienne qui sème dans l’esprit ses graines de star, le rêve de l’étoile, pour finalement mettre à mort de manière esthétique ceux qui, en pensant contempler le Ciel, regardaient le caniveau où il se reflétait. Refusant toute approche psychologisante, 8mm se confronte à l’horreur humaine (essentiellement masculine en fait) dans ce qu’elle a de plus barbare et froide, ose représenter une sensibilité insensible à l’agonie d’autrui. L’homme doit saisir les ailes que lui tend la femme pour s’élever hors de sa condition misérable ; « sauve-moi » implore Nicolas Cage dans les bras de son épouse. On pourra reprocher à Schumacher son approche un peu moralisatrice mais, au fond, forte d’un humanisme qui cherche à comprendre. La plus belle et bouleversante scène du film, c’est ce plan en contre-plongée d’une épouse loyale et fidèle contemplant avec dégoût et malheur son défunt mari dont la toile gît sur le mur du bureau privé ; le coup de téléphone a sonné, la vérité a éclaté, sa destinée est écrite : le déshonneur intime ne deviendra, de son vivant, jamais public. Derrière l’impression que son œuvre tombe sans vergogne dans la complaisance, Joel Schumacher se joue des images pour dénoncer cette même complaisance. En amont du Sinister de Scott Derrickson, version thriller. Morale : attention au pouvoir diabolique des images.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    291 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 août 2020
    Certes assez malsain tant du point-de-vue de la morale que du voyeurisme auquel Joel Schumacher fait déballage, on ne peut nier à "8 mm" des qualités. L'intrigue est extrêmement prenante, la tension constante, et l'intensité omniprésente. Le scénario est plutôt original, quoique assez glauque. Les bas-fonds de l'industrie du porno, les sous-troittoirs du sado-masochisme, l'univers brumeux et glauquo-gore du snuff movie, il fallait oser en faire une histoire qui tienne la route.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    273 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 septembre 2014
    Un bon film de Joel Schumacher (à souligner car sa filmographie comporte quelques perles dans le domaine du nanar indigeste). L'idée de départ est intéressante et est développée avec suffisamment de subtilité pour éviter l'indigeste gore qui l'aurait rendue ridicule. Nicolas Cage est clairement dans la meilleure période de sa carrière, et l'ensemble des seconds rôles contribue à l'atmosphère poisseuse et un tantinet irréelle du film.
    DenbroughX
    DenbroughX

    56 abonnés 314 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 août 2010
    Auteur des innomables Batman Forever et Batman et Robin, Joel Shumacher a pourtant démontrer un talent insoupçonné dans Phone Game, qui reste son oeuvre la plus convaincante. 8 mm, s'inscrit plutôt dans la catégorie des Batman que celle de Phone Game, avec comme unique point commun leur curiosité. On entre dès les premières minutes dans cet univers malsaint aux tendances sado-masochiste, avec un film qui semble utiliser son enquète comme un prétexte pour déballer un abbatage d'interminables scènes de violence extrême et "gore", souvent insupportable et inutile. On en vient même à ce demander ce que Nicolas Cage et Joaquin Phoenix viennent faire dans cet galère, la fin qui se vouler intense et palpitante, ne surprend guère et nous laisse comme dernier message , une discutable et douteuse leçon de justice individuel. Navrant, dangereux et affligé de répugnante sèquence perverse, à l'exemple de son scénario, qui partait d'un esprit plus constructif et plus précis : dénoncer cette terrifiante abomination, mais qui se perd très vite en ne cessant de démontrer cette dernière, au dépend de la condamner.
    Aulanius
    Aulanius

    196 abonnés 1 707 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2006
    A vrai dire, je ne m'attendais pas du tout à voir ce genre de chose, mais ce n'est pas plus mal car on y apprend pas mal de chose sur un univers malsain. De plus peu de temps avant j'avais, entre autre, fait un exposé sur le sujet de la pédophilie, et là j'en ai appris bien plus que je ne le pensait. J'adore Nicolas Cage, et encore une fois, il ne nous déçoit pas. Beaucoup de bons acteurs dont Joaquim Phoenix, toujours au rendez vous et cette fois çi dans la peau d'un vendeur dans un magazin X qui va aider justement Nicolas Cage. Le film parle d'un sujet plutôt tabou dont on ose pas trop parler avec les gens. Je pense que c'est assez fidèle à la réalité, même presque trop. Justement, le protagoniste essaie de résoudre l'enquête qui lui ai confié par une vieille dame à propos du cassette ou l'on y voit une femme torturé et probablement tué, je vous laisserai le découvrir. Et il suit son bonhomme de chemin avec tous les inconvénients qu'il puisse y avaoir, et franchement parfois, on aimerait vraiment pas se retrouver à sa place. En bref, c'est un très bon film même si ça reste quand même assez noir comme sujet, et que ce film ne pourra pas être visionner par n'importe qui. Mais si vous avez l'âge, ne vous faîtes pas priez, alors bon film !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 juillet 2009
    Je voulais le voir juste car Nicolas Cage est en tête d'affiche. Connaissant le réalisateurs Joel Schumacher, j'imaginais possible que le film ne soit pas extraordinaire. Cependant j'ai trouver que ce fameux "8 MM" est une réussite. Nicolas Cage joue très bien comme toujours. Le scénario est très élaborer et imaginatif. J'ai trouver amusant de retrouver Peter Stormare notre aime Abruzzi de Prison Break, qui interprète la un rôle très secondaire. On accroche assez rapidement ce qui nous scotche bien sur notre canapé, bref un bon thriller!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 octobre 2007
    Il est des films comme celui là,ou pour se chauffer un peu,on jette un coup d'oeil aux critiques des autres...Pour etre chauffé là,je suis chauffé!Quelle est donc cette bande de moralisateurs professionels et hypocrites,qui se la jouent pudiques et condescendants lorsqu'ils parlent de sujet aussi derangeant que celui là.Car c'est bien la raison innavoué de cette bande de tafiottes que de condamner sans appel ce genre de film,qui les mettent face à leurs mensonges de gens "normaux" et moralement irreprochable (je presume qu'ils ont le porte monnaie qui va avec!).Et oui que voulez vous,nous n'avons pas tous le loisir de calquer nos valeurs sur des concepts publicitaires,vehiculés par une intelligensia bien pensante,dont la sensibilité "objective" s'apparente plus au titre d'un livre de leur bibliotheque,que d'une réelle profondeur d'ame! (dernier livre en haut à gauche sur l'etagere!).Oui,il y a des gens qui ont les moyens de se payer des gamines sans que cela se sache,oui il y a des gens propres sur eux qui ont des activitées sexuelles tres bizarre sans pour autant avoir ete victime eux meme de sevices,oui la perversion humaine est une realité...ET OUI!tous les pervers criminels tueurs d'enfants meriteraient de se faire traiter avec des pillules de 9mm dans la gueule pour avoir eu la barbarie de s'en prendre à des pauvres gosses (tous le monde n'a pas les relations qui permettent de faire en sorte que le malade se "suicide" de remords!) Alors pour tous ceux qui douteraient encore de la capacité de l'etre humain à etre tordu sans possibilité de guerison,je recommande les livres de john douglas,fondateur du departement des comportements criminels au FBI. J'adresserais ce dernier message au critiques bobos et aux amateurs de vodkamartini (ils se reconnaitront):remballez vos caisses bandes de nazes,les degenerés sexuels prosperent grace à des gens comme vous,bandes de sous merdes!!!!
    l'homme qui murmurait à l'oreille des chameaux
    l'homme qui murmurait à l'oreille des chameaux

    22 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2015
    Une plongée au coeur du cinéma clandestin, de la criminalité pornographique et du snuff movie. Une descente aux enfers dans un univers malsain et dérengeant. 8MM est un thriller sombre et noir comme jamais.
    Stephenballade
    Stephenballade

    396 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 septembre 2014
    Joel Schumacher, à qui l’on doit "Chute libre", a l’art de conter les descentes aux enfers. Mais ici, avec 8MM, le ton est des plus violents. Maîtrisé du début à la fin, le film nous transporte au cœur d’un monde aussi glauque que la raison de cette enquête, au cœur d’un monde parallèle, point de chute de tous les extrêmes, où les perversions et les pulsions primitives destructrices sont reines, celui de la pornographie clandestine, là où il n’y a plus aucune limite. "8MM" est donc une œuvre largement sous-estimée et relativement méconnue, qui ne fait que refléter ce dont la nature humaine est capable de faire dans le pire, ne fait que refléter ce que doit être la triste réalité cachée, à moins que cela ne soit pire encore… Le film ne nous révèle en fait pas grand-chose qu’on ne sait déjà, mais l’atmosphère est habilement sombre et grave pour nous tenir sans difficulté durant les 118 minutes que dure ce film, en sachant susciter en nous des sensations comme la répugnance, le scandale, l’angoisse, et il est clair qu’on ne veut que savoir comment le film arrive à son épilogue. Evidemment, la bonne tenue du film n’est pas seulement due à la qualité de la réalisation et de son montage, mais également grâce à la performance de Nicolas Cage en enquêteur solitaire, bien épaulé par Joaquin Phoenix, et aussi grâce à un sujet jusque-là peu abordé au cinéma. D’ailleurs attention, ce film n’est pas à mettre entre toutes les mains, ayant été interdit aux moins de 16 ans en salles. Mais c’est aussi un moyen de sensibiliser notre jeune population innocente sur les risques encourus face au désir de profit doublé d’une absence totale de scrupules de certaines personnes totalement pourries par le vice. Pour finir, et à n’en pas douter, ce film vous marquera en laissant un souvenir indélébile et ne vous laissera pas indifférent.
    pierrre s.
    pierrre s.

    426 abonnés 3 304 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 avril 2012
    Un choc, voilà l'effet que produit ce super thriller. La première partie est excellente avec une ambiance qui peut rappeler celle de "Seven", en plus malsaine. La suite dans laquelle Nicolas Cage ( au passage excellent) joue les justiciers est un peu décevante.
    Malgré ca, le film reste très bon, et nous fait passer un moment très particulier aux cotés de l'horreur humaine, surprenant et terrifiant.
    Vivien19
    Vivien19

    63 abonnés 443 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2012
    Y a des films qui me font douter de ma propre santé mentale : est-ce que je serais pas un peu concon sur les bords pour aimer des films de merde ? Oui parce que 8 mm a été presque unanimement détruit par la critique jusqu'à obtenir avec le temps une certaine reconnaissance par certains critiques malgré qu'il soit tombé dans l'oubli le plus total à moins de feuilleter par hasard la filmographie de Joel Schumacher ou de s'intéresser au début de la fin de Nicolas Cage. Je pense que le casse critique autour doit être sans doute du à la présence de Joel Schumacher à la réalisation : car depuis qu'il a réalisé Batman et Robin et dans une moindre mesure, Batman Forever (que je trouve tout de même regardable), il semble que tous ses films, même les bons, soit détruits par la critique. Phone Game en est l'exemple le plus parlant, ou encore Chute Libre. Mais passons, puisque j'ai découvert 8 mm hier - par peur de découvrir un navet, j'avais gardé sous la main mon DVD des Incorruptibles que j'avais envie de revoir, mais là n'est pas la question. Déjà, il est clair qu'avant d'aborder 8 mm, on ne s'attend pas le moins du monde à ça : un film sur le snuff movie, sur la pornographie et le viol, le tout traité avec une élégance et un style crade et malsaine qui démontrent un véritable talent de la part de Schumacher, puisque si y a bien quelque chose à retirer de 8 mm c'est bien la mise en scène qui est incroyablement réussie. Vraiment. Ensuite - et c'est là le problème - c'est qu'après une heure quinze parfaitement réussie, le film perd subitement de l'intérêt et détourne encore une fois de ce à quoi on s'attendait. La première partie est largement plus réussie que la seconde - à l'image du Nombre 23 mais c'est pas vraiment la même chose car la seconde partie du Nombre 23 était véritablement merdique, contrairement à celle de 8 mm qui est moins bonne sans être mauvaise à ce point.
    On note déjà un certain charisme de tout le casting. Nicolas Cage surjoue un peu, mais depuis dix/douze ans il fait plus que ça donc on est pas trop choqué, Joaquin Phoenix est absolument parfait, Peter Stormare est terrifiant. Mais revenons un peu à la mise en scène : l'ambiance, parfaitement installée, parvient à déranger à coups de glauquerie et surtout parce que 8 mm est l'un de ces rares films à oser s'amuser avec un sujet tabou : la pornographie. Et Schumacher le fait sans pudeur et avec une certaine classe, certaines scènes subjuguent même. Pour la seconde partie, comme dit plus haut moins bonne - ça constitue en gros les quarante cinq dernières minutes - je retiendrai une scène en particulier : la scène finale avec Machine. Stressante, notamment quand Nicolas Cage passe d'une pièce à l'autre avec ce bruit de tourne-disque. Un maestro de mise en scène. 8 mm constitue au final le meilleur film de Schumacher que j'ai vu - et je ne les ai pas tous vus. Trop critiqué, le réalisateur s'en sort avec brio - et même si le film parviendra à choquer les âmes les plus sensibles, il est pour moi évident que 8 mm constituera désormais l'une de mes références du Thriller, car même si c'est loin d'être parfait, c'est le fils spirituel de Seven (même si le Fincher est lui, un chef d'oeuvre) : glauque, sale, méchant, bien foutu et à la mise en scène parfaitement soigné. Un très bon film à découvrir si vous ne l'avez pas encore fait - et c'est rare que je conseille des films comme ça.
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