Note moyenne
2,5
17 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Planetcinema.com
8 mm reste (...) un summum en matière de thriller et fait passer tous les films à suspens de ces dernières années pour des bluettes de collégiennes
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Parisien
Le prétexte, malsain par définition, est filmé sans complaisance mais sans suffisamment de révolte.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
8 MM dose de façon particulièrement antipathique le grand guignol horrifique et le preche moralisateur, le tourisme sexuel dans les bas-fonds de l'industrie porno clandestine et le plaidoyer hystérique de la justice privée (...)
Chronic'art.com
Cette fois-ci, c'est la vengeance meurtrière que prône Joel Schumacher (...) avant de nous offrir, dans une dernière séquence navrante, une morale, où plutôt une anti-morale des plus dangereuses idéologiquement parlant.
Cinopsis.com
Monsieur Schumacher exploite très mal, un sujet "dans le vent", qu'il traite comme un documentaire, sans aucune sensibilité, ni décence.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Schumacher semble davantage préoccupé par des problèmes d'efficacité, transformant Nicolas Cage en clone du Charles Bronson du Justicier dans la Ville, un vengeur hystérique (...)
Les Echos
On sort de 8MM avec une double nausée due au très mauvais gout du sujet et au sentiment fort désagréable d'avoir assisté à un exercice de manipulation malsain.
Les Inrockuptibles
Le nouveau film de Joel Schumacher est une invitation au voyeurisme le plus abject.
Libération
Schumacher devrait émigrer en Afghanistan, au pays des talibans coupeurs de mains impies et des femmes claquemurées. Et arrêter, il va sans dire, de faire des films.
Planetcinema.com
8 millimètres est un thriller, à la fois efficace et effrayant car le metteur en scène exploite, sans vergogne, le voyeurisme potentiel de ses spectateurs.
Première
Toute la dramaturgie de 8 mm consiste à chauffer le spectateur avec l'idée que les personnages, désignés comme des ordures indiscutables, méritent de souffrir très longtemps avant de mourir de la main du héros.
Télérama
Au fil de la "plongée en enfer" du brave détective, le voyeurisme soft cède la place au mauvais film d'horreur et à une morale très spéciale que Schumacher assénait déjà dans Le Droit de tuer. En gros, celle de la légitime vengeance.