Derniers Avis : La Fabrique des sentiments - Page 3

J'attendais beaucoup de ce film, adorant Elsa Zylberstein et j'ai finalement été un peu déçue. Pas vraiment de propos ni d'histoire, des plans interminables sur Elsa en train de marcher dans des rues désertes (démonstration pesante de sa solitude je suppose), une fin un peu bizarre, bref j'ai trouvé le temps long. Quelques moments amusants ou bien vue rachètent un peu le film mais le contenu reste plus que ténu et aurait mérité d'être étoffé un peu.

De jean Marc Moutout 2008.
Une etoile parceque bon il y a quand meme eu du boulot,meme si ca m'a pas plu...J'ai trouvé le film long, chiant et vraiment pesant. J'ai pas du tout adheré au scenario pourtant en lisant le synopsis ca me disait bien...Je me suis vraiment trop ennuyé et certaines scenes m'ont parues interminables (notamment le speed dating )J'ai trouvé les acteurs mous du genoux...les dialogues sans plus et au final l'histoire pas assez construite!!!Bref n'y aller pas ou bien vous aller faire dodo et au prix des places franchement ca vaut pas le coup!

Comme il est compliqué de trouver sa seconde moitié de la vie, ce que l'on appelle couramment l'ame soeur. Les sentiments qui contribuent à construire une vie de couple ne se fabriquent pas. Si les moyens modernes de rencontres mis à notre disposition peuvent favoriser leur naissance , ils ne sont pas la solution unique et parfaite. L'amour ne vient pas si l'on en fait une quête absolue et prioritaire, il faut toujours laisser une place au hasard et au destin. C'est ce que je retire de ce film qui est une agréable comédie , bien construite avec des dialogues justes et bien interprétée.

Elle a la trentaine bien entamée, elle bosse chez un notaire, elle est jolie....et seule, tellement seule qu'elle va participer à une séance de speed dating. Sauf que voilà, tout est négatif, les mecs, des salauds (bon, ok, il y a un fond de vérité), elle, un brin hystérique, puis malade (juste un cancer bénin, m'enfin tout de même), etc... Bref, un bon sujet de départ, une actrice sensible mais ça part en vrille dans la seconde moitié. Et puis merde à la fin, rien de positif, à croire que célibataire de 35 ans avec un bon job = situation désespérée... Très moyen.

Peu d’espoir pour ce film évidemment consternant voyant son casting le + en intérêt disparaître dés les premières bobines & rempli si possible d’idées en boîte sinon de vérités façon vendeur de grand magasin ! De plus, J.Bonnaffé n’est certainement pas ici 1 « cynique » mais bien 1 simple réaliste de plus fonctionnant davantage avec la franchise… Oscars du Festival du film A C… du XVIème de l’Imagination, de l’originalité de la symbolique ainsi que de la rébellion Fogiellienne sociale et de la proximité d’1 film TV. A venir : « Je m’emmerde parfois au ciné. » « Les gens qui font tout ’cachés’ ne sont sûrement pas viables. » « Ca n’est certainement pas juste de porter 1 masque et de ne jamais montrer son vrai visage tout en profitant allègrement des biens - publics - des autres & de leur travail ! « « Les saunas sont parfois définitivement glauques. »

Le film qui m'a le plus déçu depuis le début de l'année et c'es peu dire...
Déjà le générique fait peurn rarement j'ai vu un générique de début autant aux antipodes de l'esprit du film.
Zylberstein est charmante, pas vraiment belle mais elle dégage un charme certain.
L'histoire est trop simple et on s'est sentie obligée de rajouter des petites histoires par dessus complètement hors sujet et inintéressants (la grand-mère en maison de retraite ou pas ?! associé du cabinet oupas ?!... on s'en fout !).
Bruno Putzulu fait le minimum syndical et Bonnafé est excellent. TRop allongé comme film, scénario plus court pour un oyen voi run court métrage aurait donné un film beaucoup plus efficace. Dommage !

Aprés Violence des échanges en milieu tempéré, Jean Marc Moutout réitère cinématographiquement avec la fabrique des sentiments.
Autant anoncer tout de suite la couleur, ce n'est pas exceptionnel, plutôt trés moyen.
Une clerc de notaire ne supporte plus être célibataire,elle décide alors de se rendre à un rencontre speed dating pour éssayer d'y trouver l'âme soeur.
Réfléxion sur la façon dont l'amour est perçu de nos jours devenu on ne peut plus classique.
Bonnafé arrive et fait son gentil discours contre le speed dating, contre l'amour marchander : inutile. Il eu été plus intérssant de se débbrouiller pour que le spectateur puisse arriver à cette réfléxion malgré le fait qu'elle soit devenue une vérité de la Palissade.
Les acteurs sont trés moyens à part Zylberstein qui arrive à sauver les meubles.
Assez mauvaise réfléxion.

Joli film avec Elsa Zylberstein magnifique.

J'ai apprécié ce film. Le sujet, mainte fois filmé, est abordé avec justesse pour une fois, tant au niveau de la réalisation fine et observatrice, sans blabla, qu'au niveau du jeu d'acteurs (tous). Jacques Bonnaffé, que j'appréciais déjà auparavant, m'a époustouflé par ce qu'il émane !! digne d'un Dustin Hoffman.
J'espère que le bouche à oreille marchera pour ce film français qui ne se moque pas de ses spectateurs. Bon film.

Un film triste pour les 35/40 ans et bien immorale, je suis a moitié déçu car je m'attendais un peu à cette caricature intellectuelle. Un sujet simple traité de façon compliqué, moi qui est 60ans je ne me suis pas reconnu dans cette comédie. Une satisfaction cependant, la jolie interprétation de Elsa ZYLBERSTEIN qui mérite son étoile.

merveilleux film, qui reflète terriblement la réalité de la vie sentimentale. Il est si dur de se trouver une moitié, malgré les apparences, peu de gens parviennent à ce stade.
à voir absolument.

Pourtant, j'avais vu la bande annonce... Je ne sais pas comment je me suis retrouvé face à ce film, mais autant dire que dès le générique, j'ai su que ça allait être une épreuve. Comment peut-on encore faire de tels génériques ??!
Concernant le film en lui-même, des comédiens... sur lesquels il vaut mieux ne rien dire ; des décos... on ne peut plus cheap ; des mouvements de caméra... étranges (!) ; un montage... banal ; mais un scénario... excellent !! (pour un court-métrage !!)
Long, très long, seule la fin est intéressante ; alors si vous avez le courage, ou du temps à perdre...

Eloïse passe de clerc à notaire d’un jour à l’autre, grâce au besoin de transmission de son patron. La jeune femme a réussi sans passion, presque par accident. Elle se retrouve à un carrefour: le nid douillet est construit, et la solitude commence à rogner l’espace. Mais quelle solitude ?
Elle se sent seule et socialement exclue : le célibat est un état suspect. L’absence d’enfants pour une femme qui approche la quarantaine sous-tend une sorte de handicap social dans la société française de 2008. (Et je sais de quoi je parle, j’ai 36 ans… enfin presque 37.)
Elle va donc tenter de remplir ce nid comme on fait son marché. Au fond, elle cherche chez l’autre quelque chose qui doit d’une part combler sa propre vacuité, et d’autre part lui permettre d’aligner son image aux exigences sociales de son sexe et sa classe d’âge.
Une peinture bien déroulée : le propos est actuel, le ton juste, les plans soignés.
La solitude et les questionnements d’Eloïse, relayés par les autres personnages, se révèlent dès le départ. Les profils crispés et anxieux des ‘duellistes’ de speed-dating sont filmés avec outrance.
Eloïse finit par épouser un homme qu’elle n’aime pas. Elle se pose en mère de famille bourgeoise. Après ce médiocre compromis, sa quête continue. Son époux, ses enfants, le vernis social brossé jusqu’aux coutures ne suffisent pas.
C’est une histoire désenchanté. La peinture d’une réalité désespérante, une description sans humour, sans contre point, sans proposition, mais surtout qui ne soulève pas la question essentielle : l’absence de profondeur, d’exigence, de l’existence intime de chacun, garante de dignité.
La fabrique des sentiments se contente de dresser un constat navrant : l’absence de passion. Or, l’être humain se définit justement, entre autre, à travers ses passions. Ce film est sinistre.

Sous le cuir du polar noir, Jacques Maillot dépeint les liens fraternels avec une sensibilité à fleur de peau. Scénario solide, réalisation serrée, interprétation magnifique : enfin du grand cinéma français. Courez-le voir !

Je ne dirai pas que je suis déçue puisque je ne m'attendais pas à un grand moment de cinéma mais à ce point....
C'est pourtant dommage, il y a parfois des moments légers, on est presque dans la peau de cette femme, sans la juger, juste sentir le poids des évènements mais les plans grossiers, le scénario parfois lourd gâchent vite les petites subtilités de ce film. Je me suis vraiment ennuyée ferme, ai presque été agacée, rien de surprenant (la palette des profils et discours du speed dating, les gros plans répétitifs). Au moins je me serais inscrite sur le site....