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Il faut se laisser aller au rythmes des visites ou des rencontres dans les cafés. Mais la morale est dure : un coup de coeur ne change pas forcément une vie.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Où se nichent les souvenirs précieux de nos jeunes années? (...) c'est cette question que pose Manuel Poirier dans ce film sensible. La réflexion avance comme l'action, lentement, mais c'est peut-être le rythme nécessaire pour trouver la bonne réponse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
(...) il y a dans "La Maison" une attention aux êtres (...), à ce qui circule entre eux, au poids des lieux et du passé, une sensibilité modeste de cinéaste attentif qui méritent le détour.
Manuel Poirier a conservé sa sensibilité de cinéaste aux demi-teintes et son goût des personnages complexes et aimables. Que manque-t-il donc à ce film charmant pour être très bon ? De la concision, (...) un rythme plus vif.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Epatant dans la suggestion et le non-dit (...) le cinéaste s'abîme par contre dans la redondance quand il souligne maladroitement les enjeux de son script (...) un film précieux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rien de ce que Malo devra franchir pour obtenir les deux orphelines (le coeur et la maison) n'est épargné, selon la logique imparable des prime-time télé.
On en est, évidemment, navré pour le réalisateur (100 % sincère) et les comédiens (totalement motivés), mais rien, à aucun moment, ne fonctionne vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Comme la plupart du temps chez Manuel Poirier, le sujet central est celui de la quête existentielle chez des êtres déracinés en mal de repères amoureux et sociaux. Mais la réflexion se heurte ici à une structure narrative vraiment hâve (...)
aVoir-aLire.com
Ténu, tendu, prenant, ce film trotte dans nos têtes, comme toutes les oeuvres sensibles et vraies. À sa manière, un petit miracle.
Elle
Il faut se laisser aller au rythmes des visites ou des rencontres dans les cafés. Mais la morale est dure : un coup de coeur ne change pas forcément une vie.
Le Journal du Dimanche
Un film chaleureux sur les charmes de l'incertitude et l'heureuse indétermination de l'existence.
Le Parisien
Où se nichent les souvenirs précieux de nos jeunes années? (...) c'est cette question que pose Manuel Poirier dans ce film sensible. La réflexion avance comme l'action, lentement, mais c'est peut-être le rythme nécessaire pour trouver la bonne réponse.
Les Inrockuptibles
(...) il y a dans "La Maison" une attention aux êtres (...), à ce qui circule entre eux, au poids des lieux et du passé, une sensibilité modeste de cinéaste attentif qui méritent le détour.
MCinéma.com
Poirier filme aussi plus " solide " et plus " carré ", mais n'empêche pas l'émotion de gagner l'écran. Et ça marche (...) Un joli moment.
Positif
Manuel Poirier a conservé sa sensibilité de cinéaste aux demi-teintes et son goût des personnages complexes et aimables. Que manque-t-il donc à ce film charmant pour être très bon ? De la concision, (...) un rythme plus vif.
Première
Epatant dans la suggestion et le non-dit (...) le cinéaste s'abîme par contre dans la redondance quand il souligne maladroitement les enjeux de son script (...) un film précieux.
Brazil
Manuel Poirier continue de tourner des films lénifiants dans lesquels rien ne se passe vraiment et où toute somnolence vous guette à chaque instant.
Cahiers du Cinéma
Rien de ce que Malo devra franchir pour obtenir les deux orphelines (le coeur et la maison) n'est épargné, selon la logique imparable des prime-time télé.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
(...) une expérience, suffisamment intime pour être partageable.
Paris Match
Parfois, la platitude des faits l'emporte sur la magie du récit, et la lassitude du cinéaste nous gagne.
Score
Malgré les quelques frissons d'une liaison salvatrice entre paumés, l'électrocardiogramme reste plat. Aucune envie d'avoir envie.
TéléCinéObs
Une épopée aux décors grandioses mais au scénario vrai ment trop confus.
Télérama
On en est, évidemment, navré pour le réalisateur (100 % sincère) et les comédiens (totalement motivés), mais rien, à aucun moment, ne fonctionne vraiment.
Libération
Comme la plupart du temps chez Manuel Poirier, le sujet central est celui de la quête existentielle chez des êtres déracinés en mal de repères amoureux et sociaux. Mais la réflexion se heurte ici à une structure narrative vraiment hâve (...)