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    The Mist
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    3,5
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    1 216 critiques spectateurs

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    1 abonné 110 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 décembre 2018
    Quel nanar ! Il faut avoir de la patience pour rester devant ce film jusqu'à la fin. De très rares bons moments (comme quelques silhouettes de monstres ou des scènes assez cruelle comme à la fin spoiler: ou le fait de tuer la bonne femme insupportable
    ), c'est pourquoi je lui mets une étoile. Ainsi qu'une certaine critique de la société et du comportement des gens en cas de crise, et le c'est tiré de Stephen King. Mais sinon que de clichés amerloques (un gosse "cucul" a rassuré par des "chhhhuuuuttt", une belle femme potiche, des conflits artificiels), des effets spéciaux involontairement grotesques (la définition du nanar) ainsi que des animatroniques souvent ridicules. Et que dire de cette prêcheuse insupportable ! Ça aurait pu être un bon film (comme certains tirés de Stephen King) s'il y avait eu un vrai budget car on a l'impression que c'est un sous produit canadien, un petit huis clos, une série Z d'acteurs vaguement connus. Décevant !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 juin 2018
    Ayant reçu un accueil plutôt positif du public à sa sortie, The Mist mérite clairement son petit succès. Il s'agit de la troisième adaptation long-métrage de Stephen King sous la direction de Frank Darabont, lequel a également supervisé la réalisation du superbe La Ligne verte (1999) et Les Évadés (1994). Un réalisateur que vous connaissez sans aucun doute pour être à la tête de la direction de la première saison de la série The Walking Dead. C'est donc avec un plaisir non contenu que nous pouvons retrouver au sein du casting Carol (Melissa McBride), Andrea (Laurie Holden) et Dale (Jeffrey DeMunn), plusieurs des acteurs fétiches de Frank Darabont.

    En étroite collaboration sur ce projet avec Stephen King (Collaboration qui dure depuis son adaptation en court-métrage de la nouvelle The Woman in the room en 1983), The Mist se présente comme une adaptation assez fidèle du roman et en adéquation avec l'univers de l'auteur.

    La scène d'ouverture se permet même un gros clin d’œil à l'énorme projet de Stephen King qui a su réunir des milliers de fans en mode Game of Thrones, la saga de romans dark-fantasy à succès : La Tour sombre.
    Cette fois-ci nulle question d'enfant possédant le shining (Sorry Billy), l'histoire se passe essentiellement à huis-clos dans un supermarché entouré par le mystère d'une brume épaisse. Un scénario qui apporte un vent nouveau dans le genre de l'horreur, qui en ce milieu des années 2000 était surtout représenté par une majorité de slashers et de films porn-gore de type Destination finale, Saw et Hostel.

    Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : The Mist est loin d'être terrifiant. Du moins, la brume et ses créatures en elles-mêmes ne parviennent pas à inspirer le frisson. J'aime d'ailleurs autant qualifier le film de fantastique plus que réel représentant du genre de l'horreur : le premier tiers du film se charge donc d'insérer petit à petit des événements surnaturels dans le scénario, avec dans l'ordre : la chute des arbres, la brume recouvrant le lac attenant la maison des Drayton, l'arrivée brusque d'un Jeffrey DeMunn complètement paniqué dans le supermarché vociférant que quelque chose de terrifiant se cache dans la brume, et caetera. Le but final étant de transcender le quotidien des habitants de la ville de Bridgton où se passe l'action par l'intervention du surnaturel. L'une des scènes du film révélant spoiler: [spoiler] l'implication de l'armée avec le projet Pointe-de-Flèche et l'ouverture d'une brèche dans une nouvelle dimension d'où s'échappe la brume et ses créatures, tend d'ailleurs plutôt à classer le film dans le genre de la science-fiction.


    Le manque de tension provenant de l'extérieur était une volonté du réalisateur, qui a préféré concentrer l'attention du spectateur sur la véritable horreur, celle qui sommeille dans le genre humain (Une idée que l'on retrouve fréquemment dans l'oeuvre de Stephen King, de Ça à Simetierre en passant par Shining, où l'intégration d'éléments fantastiques n'est qu'une sorte de prétexte pour pointer du doigt la laideur de l'âme humaine.

    Aussi, le second tiers du long-métrage va se concentrer sur les relations entretenues par les personnages retenus entre les murs du supermarché, faisant au passage émerger de fortes personnalités : le leader, incarné par David Drayton, le sceptique Brent Norton que la logique cartésienne pousse à réfuter le danger et affronter la brume malgré quelques preuves tangibles que la brume, il ne faut pas la prendre à la rigolade, et (Parce qu'il en faut toujours une) la prêcheresse hystérique qui jure que la brume est la volonté du Seigneur et la faute des pécheurs et tout le tralala, Madame Carmody. Un excellent cocktail de personnages annonçant à coup sûr une guerre intestine sanglante.

    C'est de ces scènes de délire collectif motivées par la peur, scindant le groupe en clans, que va principalement naître le malaise chez le spectateur.
    Des dialogues et un jeu d'acteur pertinents et fluides vont contribuer à renforcer la nervosité du film. Un énorme plus quand bon nombre de films d'horreur nous ont habitué à assister aux mêmes scènes clichées et illogiques qui nous donnent presque envie de gifler les personnages pour provoquer une réaction sensée (Là où d'ailleurs, la série télévisée du même nom est complètement à la ramasse.)
    Au niveau de la photographie, l'image a un aspect sombre et granuleux qui fait ressortir le côté mystique de la brume et donne au long métrage un petit cachet très eighties. De par son esthétique et son scénario, The Mist n'est d'ailleurs pas sans rappeler The Thing, un autre film du genre Sci-Fi-horror réalisé par John Carpenter et sorti en 1982.

    Côté effets spéciaux, le spectateur n'est pas en reste avec des créatures à l'apparence crédible et à l'animation nerveuse. Bon j'avoue qu'au début, ces gros insectes animés avec la motion-capture m'ont un peu fait sourire, maaaaaaiiis remettons les choses dans leur contexte, ce film est sorti il y a 11 ans et possédait un budget assez limité. Les scènes qui marquent l'apparition des créatures s'accompagnent de suffisamment de tension pour que l'ensemble soit finalement réaliste, et j'avoue avoir été convaincue et subjuguée par l'une des dernières scènes montrant l'un des monstres les plus imposants du bestiaire du film, le Behemoth, le tout accompagné d'une soundtrack à faire pleurer les cailloux. Absolument TOUT y est : le son, les bruitages, l'image à couper le souffle de la bête à moitié masquée par la brume, révélée en contre-plongée, le jeu des acteurs encore une fois juste entre l'effroi et l'émerveillement, tout est réuni pour donner au film une vraie identité.

    Cette scène figure parmi mes préférées, ex-æquo avec la scène de fin marquante qui cette fois-ci prend le parti de s'écarter de la fin originale imaginée par Stephen King, lequel a toutefois trouvé celle de Darabont tout-à-fait valide et creepy à souhait.

    spoiler: La fin du film se montre tout à fait pessimiste sur l'avenir de nos survivants (David Drayton, son fils Billy, Amanda Dunfrey, la sympathique institutrice interprétée par Laurie Holden, Dan Miller (Jeffrey DeMunn) et Irene Reppler), qui plus tôt se sont échappés en voiture du supermarché où la situation perdait tout son contrôle. Arrivés à court d'essence, perdus au milieu de nulle part dans une brume qui ne désépaissit pas, David Drayton envisage le suicide comme seule option. Problème : il ne reste que cinq balles, pour six survivants. Après avoir utilisé les cinq balles sur ses compagnons (Dont son fils), David Drayton se livre aux bêtes dans la brume. Sauf que loin de rencontrer la mort, David y trouve le salut : la brume soudainement se disperse, dévoilant les tanks de l'armée parvenue à reprendre le dessus sur la brèche dont on parlait plus tôt et traînant dans son sillage un grand nombre de survivants, dont Melissa McBride, la femme qui au tout début du film choisit de sortir du supermarché pour aller retrouver son fils et que l'on croyait morte.

    Une fin complètement ironique qui a le mérite de choquer et de bouleverser. Toutefois, je m'interroge encore sur son sens sous-jacent : le regard accusateur en mode "J'te l'avais bien dit" que lance Melissa McBride au personnage principal veut-il appuyer son échec en tant que père, pour s'être laissé entraîner par le désespoir et avoir sacrifié la vie de son fils ?

    Parce que bon, clairement, le seul tort du héros aura été de renoncer et de croire toute issue favorable impensable : la volonté de protéger son fils d'une mort atroce (Dévoré par des bestioles hideuses) est ce qui a motivé son geste, et sa culpabilité est palpable. Du coup, qu'est-ce que tout ça veut bien dire ? Que le film aurait pu se terminer autrement, si le pauvre David n'avait pas joué au con ?

    L'omniprésence de l'aspect religieux dans le film, avec force récitation de psaumes et passages bibliques par Mme Carmody, m'a fait d'ailleurs tracer un parallèle avec l'histoire de Job, ce personnage de l'Ancien Testament dont la foi en Dieu est mise à l'épreuve par Satan qui s'amuse à lui ôter tout ce qu'il possède, jusqu'à sa famille. Mais, David Drayton n'ayant visiblement pas vraiment une foi aveugle en Dieu le père, j'ai dû assez vite abandonner cette idée.

    Une fin qui laisse le spectateur en proie aux interrogations, mais qui clôture le film avec brio et marque les esprits.

    Du coup, que penser de The Mist de Frank Darabont ? Eh bien qu'il s'agit d'une excellente surprise à voir de toute urgence. C'est certes un long-métrage qui comporte un certain nombre de petits défauts, mais dont les qualités parviennent à convaincre et font de lui un très bon film.

    Pour lire d'autres de mes critiques, rdv sur le site www . geekmediachroniques . com
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 avril 2018
    Il y a des idées dans le développement du scénario, l’individualisme des protagonistes me rappelant « la guerre des mondes », le genre fantastique horreur frôlant la science-fiction avec l’excuse des militaires m’est resté en travers la gorge, l’intrigue de la fanatique religieuse casse l’ambiance haletante, par moment intéressante puis saoulante, j’avais envie de descendre à cause de leurs jeux d’acteurs. On reconnaît le style du romancier Stephen King, ramenant toujours ses histoires autour de la foi, sa propre opinion n’étant pas de nous convertir à la bigoterie pessimiste, le fond idéologique est manichéen, cette fin qui sort du commun, une bourde de dingo.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 mars 2018
    J'ai vu ce film il y a plusieurs années. J'ai gardé intactes les émotions ressenties à ce moment. J'en ai souvent parlé dans mes discussions sur le cinéma. Je viens de le retrouver avec joie en DVD pour l'ajouter à ma collection des films qui m'ont marqué. Beaucoup de situations comportementales sont abordées dans ce film tout en observations aigües et en suggestions. La fin y est remarquable : Il n'est pas bon de perdre la confiance que l'on a envers son pays et se laisser aller au désespoir !
    Propagande à rebours s'il en est ?
    Peut-être... Mais ô combien efficace !
    Ashley P.
    Ashley P.

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 février 2018
    Très bon film, à voir et à revoir. Même aujourd’hui, pour moi ça reste un chef-d’œuvre. Je le conseille vivement!
    Acidus
    Acidus

    715 abonnés 3 702 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 février 2018
    Stephen King est un romancier dont les oeuvres furent maintes fois adaptées au cinéma et à la télévision (téléfilms et séries) avec plus ou moins de succès et de qualité. Quid de "The Mist" ? Pour un budget limité et des allures de série B, ce long métrage horrifique s'en sort avec les honneurs. Il y a bien quelques effets spéciaux foireux et certaines réactions des protagonistes paraissent peu crédibles voire risibles mais, dans l'ensemble, "The Mist" est une bnne surprise. Son réalisateur, Frank Darabont, s'était déjà attaqué avec brio à un livre de Stephen King, "La ligne verte". Ici, il tire de cette nouvelle longue ("Brume" en français) une intrigue oppressante et riche en suspens. Dommage que le cinéaste/scénariste ne se soit pas affranchi de quelques clichés mais il se rattrape avec une fin surprenante.
    tristan stelitano
    tristan stelitano

    57 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2018
    Frank Darabont livre avec efficacité un film de monstres honorable qui mérite le détour. C'est de la bonne science-fiction, plutôt assez rare de nos jours. La mise en scène, le montage et le son fonctionnent comme sur des roulettes, les acteurs sont bons avec notamment l'excellent Toby Jones. Malgré un budget assez limité, (surtout au niveau des effets-spéciaux), nous sommes happés par l'histoire proposée par " The Mist ", qui use du brouillard à merveille pour la terreur et la conter insidieusement, susurrant ses horreurs dans le vague et les interrogations tout en rajoutant une critique cinglante de l'humain et de son fanatisme religieux. Le long-métrage assure à 100% dans l'épouvante-horreur en jouant sur l'atmosphère oppressante d'une menace venue de l'extérieure, mais moins subtile en tant qu'adaptation de l’œuvre écrite par Stephen King. Si par moment, certains plans de l'intrigue reste assez convenus, le cinéaste réussi a crée un véritable petit huis-clos horrifique, maintenu à un rythme efficace avec ce troublant récit, qui nous mène allègrement dans une ambiance saisissante, vers une fin dès plus traumatisante et dès plus sadique et horrible qui soit. Un ovni du genre.
    Greg A.
    Greg A.

    47 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 septembre 2018
    le film est bon dans l'ensemble et se laisse agréablement regardé malgré quelques longueurs , la fin est assez bouleversante et inattendu 14/20
    Floryan M
    Floryan M

    13 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 janvier 2018
    C’est un des pires films que j’ai vu de toute ma vie.
    Même pas envie de développer.
    Les dialogues sont nazes pour rester poli, le jeu des acteurs ridicules.

    L’intrigue tellement horrifique de ce roman a été cloîtré dans un magasin, avec des débiles.
    Le film se penche sur un aspect qui se veut dénonciateur de la religion quand l’être humain perd tout sens de la raison et toute rationalité.
    C’est complètement debile.
    On s’ennuie à mourir.
    Et le final...
    mais alors le final...
    j’ai pas les mots.
    Je sais pas si on peut faire plus stupide comme raisonnement humain.
    l’intelligence n’était pas dans la brume pour ce qui l’a cherche, et encore moins hors de la brume.

    La série est déjà bien meilleure. Malheuresement.
    Djo D
    Djo D

    62 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2017
    The Mist est l’exemple typique du film qui passe inaperçu au moment de sa sortie et que l’on prend plaisir à découvrir quelques années plus tard. Bien entendu, le film n’a pas que des qualités mais il s’avère tout de même très correct en définitive.
    Gregg S.
    Gregg S.

    21 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2017
    Une réussite totale ! The Mist est grand moment de cinéma doté d'une ambiance particulièrement anxiogène. On y retrouve une construction proche de ce que Darabont apportera plus tard à la série The Walking Dead. L'incroyable twist final restera a mon sens une scène d'anthologie. A voir absolument !
    Biertan64
    Biertan64

    49 abonnés 1 430 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 septembre 2017
    Fan de Stephen King (je reconnais ne pas avoir lu Mist cependant) mais souvent déçu par ses adaptations qui à de rares exceptions ressemblent à des téléfilms. The Mist ne déroge pas à la règle avec des effets spéciaux moyens (le sang ressemble à de la peinture) même si les bebêtes sont particulièrement réussies, des personnages pas assez développés et qui jouent mal, une dimension mystique insupportable (mais peut être que c'est comme ça dans le bouquin aussi), ça hurle en permanence. Voila pour les points négatifs. Cependant j'ai apprécié le fond de l'histoire ( spoiler: une porte ouverte sur un autre monde
    ) et surtout la fin très cynique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 septembre 2017
    Une adaptation parfaite de la nouvelle de Stephen King.
    C'est un film intelligemment fait et je ne comprend pas pourquoi il est moyennement apprécié, parce que si il faut se fier à une oeuvre en total respect avec un livre de King est bien The Mist en fait partie, le film se permet même d'ajouter un dénouement final bien foutu absent du livre.
    Le livre est une des meilleurs histoires de King, le film un des meilleurs films d'épouvantes !
    Quelques faiblesses parfois au niveau des FX tout de même.
    Des qu'on aperçoit cette brume mystérieuse arriver l'inquiétude se fait ressentir, un suspens bien fichu et une tension qui monte jusqu'à la folie.
    Quel film ! Darabont est un sacré réalisateur.
    On dit merci Monsieur Darabont !
    Luke.S
    Luke.S

    16 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 août 2017
    Un bon film fait de suspens et d'émotions, il nous tient en haleine jusqu'au bout. Frank Darabont a eu raison d'adapter l'oeuvre de Stephen King.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 août 2017
    '' dessolé pour le spoil mais le gentille gagne le méchant'' Le pire film que j'ai jamais vue de tout ma 3d dégueulasse, les acteur joue très mal, les personnage sont plus débile que la tete de marty feldman. la fin ma fait étrangement penser aux film saving private ryan c'et plus de l'humour et une perte de temps qu'autre chose.
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