AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,5
11724 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur The Mist ?
5
310 critiques
4
371 critiques
3
173 critiques
2
165 critiques
1
85 critiques
0
112 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
De Frank Darabont (2008).
Certainement l'une des meilleurs adaptations cinématographiques d'un ouvrage de Stephen King.
Pourtant au premier abord on pourrait être un peu déçu de par la photographie voire les effets spéciaux . Peut être mais la force du film que l'on trouve dans l'ouvrage est la description hallucinée d'une ''Amérique'' en proie à ses propres peurs et délires carrément paranoïaques. Une flopée de personnages autant caricaturaux les uns les autres mais une véritable vitrine de ce qui fait l'Amérique. De la folie religieuse intégriste au raciste primaire, du fou furieux au soldat poltron, une myriade de personnalités qui tétanisée par le vide créé par ce brouillard mystérieux et horrifique vont dans une volonté de survie à la fois s'affronter et dévoiler tous leurs travers.En ce sens, l'idée développée dans le livre qu'est le brouillard qui nous enveloppe et annule notre vision est excellente .La peur du noir , du vide étant depuis toujours un ressort imparable à l'horreur. Un film un peu survivait au huis clos étouffant et surtout avec une fin hallucinée ! Le pied !
Avec Thomas Jane, Marcia Gay Harden, Laurie Holden
Certainement l'une des meilleurs adaptations cinématographiques d'un ouvrage de Stephen King.
Pourtant au premier abord on pourrait être un peu déçu de par la photographie voire les effets spéciaux . Peut être mais la force du film que l'on trouve dans l'ouvrage est la description hallucinée d'une ''Amérique'' en proie à ses propres peurs et délires carrément paranoïaques. Une flopée de personnages autant caricaturaux les uns les autres mais une véritable vitrine de ce qui fait l'Amérique. De la folie religieuse intégriste au raciste primaire, du fou furieux au soldat poltron, une myriade de personnalités qui tétanisée par le vide créé par ce brouillard mystérieux et horrifique vont dans une volonté de survie à la fois s'affronter et dévoiler tous leurs travers.En ce sens, l'idée développée dans le livre qu'est le brouillard qui nous enveloppe et annule notre vision est excellente .La peur du noir , du vide étant depuis toujours un ressort imparable à l'horreur. Un film un peu survivait au huis clos étouffant et surtout avec une fin hallucinée ! Le pied !
Avec Thomas Jane, Marcia Gay Harden, Laurie Holden
Alors là, je suis resté scotché !!
Je voulais arrêter au bout de 15 minutes ,
Mais non , "quelquechose" m'a dit de continuer ...
Malgré, c'est vrai,les "monstres" peu réalistes, comme venus d'un film des années 80 ...
Mais quelle tension ,quelle angoisse de voir la monstruosité dont sont capables les êtres humains ...
La fin du film est ...si réelle ... et si horriblement triste ...
Bravo !
Sans avoir l'air d'y toucher, sans effets spéciaux à coups de millions de dollars...
Ce film a réussi à m'effrayer ...
Tellement proche de la réalité des comportements humains dans ce genre de circonstances très particulières ...
Je voulais arrêter au bout de 15 minutes ,
Mais non , "quelquechose" m'a dit de continuer ...
Malgré, c'est vrai,les "monstres" peu réalistes, comme venus d'un film des années 80 ...
Mais quelle tension ,quelle angoisse de voir la monstruosité dont sont capables les êtres humains ...
La fin du film est ...si réelle ... et si horriblement triste ...
Bravo !
Sans avoir l'air d'y toucher, sans effets spéciaux à coups de millions de dollars...
Ce film a réussi à m'effrayer ...
Tellement proche de la réalité des comportements humains dans ce genre de circonstances très particulières ...
La tension est presente du debut a la fin et ne decoit pas une seule seconde. On sent la fibre de Stephen King sans avoir lu le livre. Nous sommes comme les personnages, dans le brouillard. Simple et efficace.
Un réjouissant mélange d'horreur, de SF, de huis clos et de catastrophe, avec le savoir faire de Darabont derrière la caméra, qui sans être un immense réalisateur, nous a prouvé plus d'une fois qu'il est un excellent faiseur. Il y a tout de même quelques petites longueurs, un format d'un quart d'heure de moins n'aurait pas été de refus, et puis certains actes des personnages sont plus que dingues. Car c'est bien la folie qui domine le récit, la folie prenant la foule cloîtré dans ce supermarché, la folie de cette femme qui se considère comme la parole de Dieu.... La menace est assez flippante, il y a des scènes plutôt fortes, on a pas peur de tuer des personnages importants (a l'image de ce sordide finale), un peu plus court et ça aurait été un très bon film.
UNE PURGE!!!! on revient 30 ans en arrière là ce n'est pas possible, comment autant de monde à plus de deux étoiles, dire que ce film est sorti au cinéma po po po .
-Les dialogues et les acteurs( leurs jeux et les choix qu'ils font) sont d'un pitoyables.
-Des monstres en caoutchoucs ,plastiques ou de synthèses dégueulassent .
-La sauce tomate n'en parlons pas ( même pas les moyens de faire du faux sang pfff)
-Des incohérences en veux-tu en voilà.
-La prêcheuse saoul plus qu'autre chose et qui réussit à construire une mini secte en quelques heures.
Vous allez me dire qu'il reste le happy end et bien non comme le dit notre Christophe Lambert national ( je sais que ce n'est pas lui Mrd) on roule jusqu' a plu d'essence et il ne trouve pas mieux dans la minute que de charger l'arme de quatre balles alors qu'ils sont cinq dont son fils( à croire qu'il était presse d'en finir) , à cet instant on devine la fin qui se veut être ironique mais qui est surtout vaseuse , sans compter le MUST dans tout cela l'armée ricaine apparait et the MIST disparait au même moment.
Bref quand on voit des films comme 10 Cloverfield Lane qui a la même note que ce navet ça fait peur!!!!!!!!!
-Les dialogues et les acteurs( leurs jeux et les choix qu'ils font) sont d'un pitoyables.
-Des monstres en caoutchoucs ,plastiques ou de synthèses dégueulassent .
-La sauce tomate n'en parlons pas ( même pas les moyens de faire du faux sang pfff)
-Des incohérences en veux-tu en voilà.
-La prêcheuse saoul plus qu'autre chose et qui réussit à construire une mini secte en quelques heures.
Vous allez me dire qu'il reste le happy end et bien non comme le dit notre Christophe Lambert national ( je sais que ce n'est pas lui Mrd) on roule jusqu' a plu d'essence et il ne trouve pas mieux dans la minute que de charger l'arme de quatre balles alors qu'ils sont cinq dont son fils( à croire qu'il était presse d'en finir) , à cet instant on devine la fin qui se veut être ironique mais qui est surtout vaseuse , sans compter le MUST dans tout cela l'armée ricaine apparait et the MIST disparait au même moment.
Bref quand on voit des films comme 10 Cloverfield Lane qui a la même note que ce navet ça fait peur!!!!!!!!!
Début très intéressant avec la mise en place du huis clos, le mystère autour de l'épaisse brume, mais cela prend un tour un peu simpliste et gribouillis. Le pire étant les personnages, c'est un huis clos, l'exploration des personnalités et les relations entre chacun devraient être un peu plus fin que les étiquettes collées sur le front : 100% pragmatique, fou furieux, mouton de panurge ou juste transparent. Quant aux raisons de tout ça, la façon dont s'est révélé, le but poursuivi pour s'en sortir, c'est très convenu. La fin surprend un peu, mais pas dans le bon sens, loin d'être justifiée.
Malgré certains effets 3D un peu moches, je trouve que “the mist“ est un excellent film d’horreur avec une tension et un suspense millimétré, des personnages bien construits et développés (montrant que les monstres ne sont pas que dans la brume mais aussi dans le magasin),une performance exceptionnelle des acteurs, la musique est génialement composée (offrant des thèmes flippants et aussi un thème dramatique à la fin qui est magnifique et aussi très triste), les monstres sont juste effrayants (surtout couplée a des scènes d’attaque qui font froids dans le dos) et aussi la réalisation de frank darabont offre beaucoup de beaux plans et une super mise en scène.
Mention spéciale pour la fin qui est juste parfaite et déchirante.
Donc si vous l’avez pas vu, regardez ”the mist” C’est un petit bijou du cinema d’horreur.
Mention spéciale pour la fin qui est juste parfaite et déchirante.
Donc si vous l’avez pas vu, regardez ”the mist” C’est un petit bijou du cinema d’horreur.
Super film ,la fin est surprenante.les acteurs sont bons j ai vraiment aimé.les effets spéciaux sont pas terribles mais c est pas grave
Je crois qu'aucun film avant lui m'avait autant déplu. Vraiment j'ai détesté la tournure du film au bout de 30 minutes. Et pourtant je pensais vraiment qu'il allait être incroyable...
The mist est un film d'horreur classique qui veut surtout nous montrer la réaction que peuvent avoir les personnes face à un danger. Il y a ceux qui combattent, ceux qui se vouent à Dieu, ceux qui démoralisent ... etc. Les effets spéciaux sont corrects sans plus. La tension est bonne.
C’est un des PIRES films que j’ai regardé dans ma vie. Tellement nul que s’en était drôle. Je sais pas combien de fois j’ai explosé de rire devant une scène sensée être sérieuse. Je pensais voir un film sombre et rempli de mystère mais un film qui parle d’aliens et d’autres dimensions, sérieux ??!!!!
Nan mais les effets spéciaux s’est pour nous tuer ou quoi ? Ils pensent qu’on est aveugle ? Quand j’ai vu la tentacule qui attrapait le mec dans l’arrière boutique je me suis dit que c’était une grosse blague.
Comment ça se fait que les monstres n’essayent pas plus de rentrer dans le supermarché alors qu’ils en y a qui font la taille d’un éléphant ?!!
Et puis après tu as le film qui tourne au vinaigre en intégrant dans le scénario la création d’une putain de secte !! Le seul point positif, c’est le vendeur du supermarché qui bute la meuf cheloue qui est entrain de devenir un gourou.
La fin était potable mais super prévisible. Ils veulent partir du supermarché et finissent par être cinq dans la voiture. Le personnage principal veut rouler jusqu’à ce qu’il n’y ai plus d’essence, mais mon débilos tu vas bien croiser des stations essences sur ta route, non?!!! Et puis après ils veulent se suicider et ils restent 4 balles au lieu de 5 comme par hasard. Non mais le gars il bute son fils !!! Son fils !!! Et bien sur (j’ai éclaté de rire à ce moment là) le mec sort de la voiture pour se faire tuer par un des monstres et la… des militaires qui arrivent !! C’était la meilleure celle là.
Bref je conseille ce film pour une soirée entre amis et avec un petit d’herbe, ca pourrait être très drôle. [spoiler]
Nan mais les effets spéciaux s’est pour nous tuer ou quoi ? Ils pensent qu’on est aveugle ? Quand j’ai vu la tentacule qui attrapait le mec dans l’arrière boutique je me suis dit que c’était une grosse blague.
Comment ça se fait que les monstres n’essayent pas plus de rentrer dans le supermarché alors qu’ils en y a qui font la taille d’un éléphant ?!!
Et puis après tu as le film qui tourne au vinaigre en intégrant dans le scénario la création d’une putain de secte !! Le seul point positif, c’est le vendeur du supermarché qui bute la meuf cheloue qui est entrain de devenir un gourou.
La fin était potable mais super prévisible. Ils veulent partir du supermarché et finissent par être cinq dans la voiture. Le personnage principal veut rouler jusqu’à ce qu’il n’y ai plus d’essence, mais mon débilos tu vas bien croiser des stations essences sur ta route, non?!!! Et puis après ils veulent se suicider et ils restent 4 balles au lieu de 5 comme par hasard. Non mais le gars il bute son fils !!! Son fils !!! Et bien sur (j’ai éclaté de rire à ce moment là) le mec sort de la voiture pour se faire tuer par un des monstres et la… des militaires qui arrivent !! C’était la meilleure celle là.
Bref je conseille ce film pour une soirée entre amis et avec un petit d’herbe, ca pourrait être très drôle. [spoiler]
Artriste
Quatrième adaptation d'un ouvrage de Stephen King pour Frank Darabont qui donne vie à The Mist sur grand écran, pour un résultat très inégal. L'histoire nous fait suivre un groupe de personnes qui vont se retrouvées prises au piège dans un supermarché vu que dehors une étrange brume semant la mort les entoures et les menaces. Ce scénario est malheureusement constamment en dents de scie, la faute à un rythme loin d'être palpitant hormis les rares scènes ou l'on aperçoit les créatures. Le reste du temps on assiste à des moments beaucoup trop bavards et inintéressant. Résultat, les deux heures se font grandement ressentir, même si la deuxième heure devient plus sombre et sanglante. Le film est tout de même très mature mais on peut regretter que les thèmes abordés, liés à la situation, ne soient pas plus exploités au détriment des tracas de chacun des individus. Des protagonistes franchement problématiques et qui sont le principal défaut de ce long-métrage. En effet ils sont peu attachants, la faute à des acteurs très peu convaincants. Ils ne peuvent pas tous être mauvais donc cela doit venir de la direction d'acteurs, mais le ton sonne totalement faux lors de leurs interactions. Aucun n'est à sauver au niveau de l'interprétation. Mais le pire rôle est celui de la religieuse tout simplement insupportable. Les relations entre tous ces individus véhiculent tout de même des émotions mais c'est impossible d'y croire tant tout cela est détruit par le jeu des comédiens et par des répliques pathétiques et grotesques. Hélas la forme est à peine mieux que le fond ce qui surprend étant donné le metteur en scène. Mais la réalisation de Frank Darabont souffle le chaud et le froid. Elle est souvent proche du téléfilm même si son aspect presque documentaire la rend immersive à défaut d'être esthétique. Elle comporte tout de même quelques idées de mise en scène, mais certaines transitions sont assez faibles tout comme les effets-spéciaux en demi-teintes. Ce visuel offre une ambiance pas toujours présente même si cela est rattrapé par la b.o. qualitative signée Mark Isham parfaitement en adéquation avec l'atmosphère et qui parvient même à surprendre via certaines de ses sonorités, qui dénotent avec le genre mais qui lui sied à ravir. Ses compositions sont une des plus grande qualité du film et donnent envie d'être réécoutées au-delà du générique de fin. Un final qui nous gratifie de vingt dernières minutes qui rehaussent grandement le niveau et l'intérêt du long-métrage, avant de se conclure sur une fin d'une grande cruauté particulièrement impactante et mémorable. Tout cela fait d'autant plus regretter que le film n'est pas bénéficié d'autant de soin sur toute sa durée même si de toute façon la prestation des acteurs plombe à elle seule The Mist, qui au final est une œuvre mitigée, dont les défauts prennent le pas sur ses qualités.
À l'instar de John Carpenter, la terreur chez Frank Darabont est toujours tapie dans le brouillard. Dans Brume (The Mist, 2007), à la suite d'un très violent orage, Bridgton, une petite ville du Maine, est enveloppée par un brouillard épais qui s'étend en rampant au ras du sol. Cernés par cette brume aussi singulière qu'inquiétante, des citadins se retrouvent confinés dans un centre commercial, et bientôt terrorisés lorsqu'ils comprennent qu'à l'extérieur sont embusquées des créatures monstrueuses venues d'une autre dimension. Le film bascule alors dans un univers particulièrement anxiogène et directement inspiré par l'univers du maître de Providence, Howard Phillips Lovecraft. Dans son œuvre, la notion d'horreur cosmique repose sur une peur archaïque provoquée par un mystère dont les implications associent autant une menace physique pour l'homme qu'une remise en question des certitudes qu'il peut avoir sur le monde qui l'entoure. L'expression de cette angoisse existentielle se retrouve dans la création la plus lovecraftienne qui soit, le mythe de Cthulhu, qui affirme l'existence dans les coins les plus reculés de l'univers, d'entités extraterrestres, les Grands Anciens, cherchant à rétablir leur ancienne domination sur la Terre.
Voir la suite de ma chronique à partir d'un photogramme du film:
http://etoilesdetoiles.blogspot.com/2021/11/les-grands-anciens-chez-frank-darabont.html
Voir la suite de ma chronique à partir d'un photogramme du film:
http://etoilesdetoiles.blogspot.com/2021/11/les-grands-anciens-chez-frank-darabont.html
Pas mal... Un huit clos fantastique intéressant... Bien qu'un peu long... Le final est assez sombre... Bref pas la meilleure adaptation des romans de Stephen King...
Adapté de la nouvelle du même nom de Stephen King, the Mist est un bon film d'épouvante.
Le film est un huis clos efficace, anxiogène et diablement efficace. La tension et le suspens sont parfaitement gérés et plus on avance dans le film, plus on se dit que le véritable danger est peut être à l'intérieur... Les acteurs sont très bons, en particulier Laurie Holden, Marcia Gay Harden, Jeffrey Demunn et Toby Jones. Thomas Jane en revanche, n'est pas vraiment convaincant, et je trouve son personnage un peu cliché. Le côté horreur et glauque fonctionne parfaitement, grâce à une imagerie marquante et des effets spéciaux convaincants (bien qu'ils aient mal vieillis). Le bestiaire est terrifiant et marquant, les designs sont réussis. Tout le mystère qui entoure ces créatures est intéressant et donne au long métrage une ambiance réussie et digne de l'univers de Stephen King. Cette brume est aussi un véritable personnage à part entière. The Mist est aussi une réflexion sur la nature humaine et le comportement humain dans de tels situations. C'est pourquoi on va voir ; au sein même de cette micro société qu'est devenu l'épicerie ; l'émergence de la religion, des fanatiques et de la violence. Le véritable monstre ici est bel est bien l'Homme. J'ai cependant trouvé que l'introduction est trop brève et ne permet pas de bien définir les relations entre leurs personnages ainsi que leur développement. En revanche, la fin est puissante et tragique. Une scène mémorable et à la limite de l'onirisme.
Le film est un huis clos efficace, anxiogène et diablement efficace. La tension et le suspens sont parfaitement gérés et plus on avance dans le film, plus on se dit que le véritable danger est peut être à l'intérieur... Les acteurs sont très bons, en particulier Laurie Holden, Marcia Gay Harden, Jeffrey Demunn et Toby Jones. Thomas Jane en revanche, n'est pas vraiment convaincant, et je trouve son personnage un peu cliché. Le côté horreur et glauque fonctionne parfaitement, grâce à une imagerie marquante et des effets spéciaux convaincants (bien qu'ils aient mal vieillis). Le bestiaire est terrifiant et marquant, les designs sont réussis. Tout le mystère qui entoure ces créatures est intéressant et donne au long métrage une ambiance réussie et digne de l'univers de Stephen King. Cette brume est aussi un véritable personnage à part entière. The Mist est aussi une réflexion sur la nature humaine et le comportement humain dans de tels situations. C'est pourquoi on va voir ; au sein même de cette micro société qu'est devenu l'épicerie ; l'émergence de la religion, des fanatiques et de la violence. Le véritable monstre ici est bel est bien l'Homme. J'ai cependant trouvé que l'introduction est trop brève et ne permet pas de bien définir les relations entre leurs personnages ainsi que leur développement. En revanche, la fin est puissante et tragique. Une scène mémorable et à la limite de l'onirisme.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse