Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Baptiste Hanak
La figure (légèrement usée mais qui fait encore effet) de l'antihéros glacial et à la limite d'être atteint de mutisme est peut-être la seule réussite du film, grâce à la remarquable interprétation de Stephen Rea.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Sandrine Chicaud
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le cinéaste aurait pu, avec un peu de sagacité, réfléchir sur l'itinéraire du héros et sa propre instrumentalisation par une violence qui lui fait répéter les gestes qu'il a tenté de fuir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Stéphanie Lamome
On s'attendait à une histoire moins cafouilleuse de la part du scénariste Ronan Bennett (Face, Antonia Bird) et seules les irruptions du «Général» Brendan Gleeson viennent booster de temps à autre une cavale bien peu haletante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
La figure (légèrement usée mais qui fait encore effet) de l'antihéros glacial et à la limite d'être atteint de mutisme est peut-être la seule réussite du film, grâce à la remarquable interprétation de Stephen Rea.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Monde
Le cinéaste aurait pu, avec un peu de sagacité, réfléchir sur l'itinéraire du héros et sa propre instrumentalisation par une violence qui lui fait répéter les gestes qu'il a tenté de fuir.
Première
On s'attendait à une histoire moins cafouilleuse de la part du scénariste Ronan Bennett (Face, Antonia Bird) et seules les irruptions du «Général» Brendan Gleeson viennent booster de temps à autre une cavale bien peu haletante.