Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Brazil
par Véronique Kientzy
(...) Le réalisateur ne s'embarrasse pas de discours et d'effets visuels: tout dans son film sent la retenue et l'histoire se déroule sous nos yeux, filmée, bien, dans des tons froids (...) Pourtant, sous cette surface transparaît la chaleur (...)
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Paris Match
par Alain Spira
Loin du ciel bleu hollywoodien (...) Branko Schmidt évite tout manichéisme (...) Sachez que vous allez passer un sale moment comme seuls les grands films peuvent vous en faire vivre. Veinards!
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Dvdrama
par Gwenael Tison
Un film bien plus courageux qu'il n'en paraît, car il n'oublie pas de compromettre la police locale (...) rappelant dans une certaine propension Gomorra (...)
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
Le Figaroscope
par La rédaction
La beauté des images est inversement proportionnelle à la violence d'une région encore en plein chaos. Passeur d'espoir est une grenade qui explose à retardement dans la tête du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Ouest France
par La rédaction
Avec un sujet, les coulisses noires de l'immigration clandestine, beaucoup sollicité ces temps-ci par les cinéastes, à l'image de Philippe Lioret et de son très beau Welcome.
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Alain Riou
(...) "Passeur d`espoir" traite de l`immigration illégale de façon généreuse mais subtile, sans chercher à ignorer la complexité d`un problème dont on voit, au passage, qu`il est mondial.(...)
Télérama
par Mathilde Blottière
(...) Sans jamais relâcher la tension de son récit, le réalisateur installe une atmosphère poisseuse et anxiogène, entre poésie sombre et réalisme cru. (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) Au fur et à mesure que le finale apocalyptique approche, le film se dégonfle un peu, et se replie sur un façon de raconter qui relève des ellipses et de la psychologie du cinéma européen contemporain. Ce qui laisse le film au milieu du gué.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Brazil
(...) Le réalisateur ne s'embarrasse pas de discours et d'effets visuels: tout dans son film sent la retenue et l'histoire se déroule sous nos yeux, filmée, bien, dans des tons froids (...) Pourtant, sous cette surface transparaît la chaleur (...)
Paris Match
Loin du ciel bleu hollywoodien (...) Branko Schmidt évite tout manichéisme (...) Sachez que vous allez passer un sale moment comme seuls les grands films peuvent vous en faire vivre. Veinards!
Dvdrama
Un film bien plus courageux qu'il n'en paraît, car il n'oublie pas de compromettre la police locale (...) rappelant dans une certaine propension Gomorra (...)
Le Figaroscope
La beauté des images est inversement proportionnelle à la violence d'une région encore en plein chaos. Passeur d'espoir est une grenade qui explose à retardement dans la tête du spectateur.
Ouest France
Avec un sujet, les coulisses noires de l'immigration clandestine, beaucoup sollicité ces temps-ci par les cinéastes, à l'image de Philippe Lioret et de son très beau Welcome.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
(...) "Passeur d`espoir" traite de l`immigration illégale de façon généreuse mais subtile, sans chercher à ignorer la complexité d`un problème dont on voit, au passage, qu`il est mondial.(...)
Télérama
(...) Sans jamais relâcher la tension de son récit, le réalisateur installe une atmosphère poisseuse et anxiogène, entre poésie sombre et réalisme cru. (...)
Le Monde
(...) Au fur et à mesure que le finale apocalyptique approche, le film se dégonfle un peu, et se replie sur un façon de raconter qui relève des ellipses et de la psychologie du cinéma européen contemporain. Ce qui laisse le film au milieu du gué.