Avis : Sanctum - Page 6

Un film produit par James Cameron en 3D, ça aurait pu valoir le coup d'oeil puisque c'est lui le concepteur de cette nouvelle technologie, c'est le seul point positif de ce long métrage avec une 3D trés réussit. Ce film pourrait ressembler à "Abyss" de James Cameron ou des plongeurs sont piegés dans un ravin encerclée, malheureusement, l'histoire a été vu une bonne centaine de fois dans les films catastrophes ou memes des pires téléfilms remplit de clichés, les personnages sont trop stéréotypés avec le chef des lieux qui a toujours raison, son fils insouciant et trop jeune pour mourir, un collègue farfelu et superficiel qui finira par la lacheté, c'est deja vu. L'interprétation de Richard Roxburg (pardon pour l'orthographe) ou Ioan Gruffud par exemple laisse un peu à désirer. Un film à éviter.

À croire que c’est James Cameron lui-même qui s’est chargé de réaliser ce film, d’après la promotion de ce dernier. Alors qu’il n’en est que le producteur exécutif (et aussi l’auteur du projet, il faut bien l’admettre). N’oublions que c’est un autre homme qui tient ici les rennes. Un inconnu du grand public, Alister Grierson. Un bon choix qu’à effectué Cameron en le choisissant ? En voulant s’occuper de ce projet rien que pour perpétuer l’effet commercial de la 3D ?


Plongeur expert, Frank McGuire se lance dans l’exploration à haut risque des grottes immergées d’Esa’ala, dans le Pacifique sud. Il emmène avec lui entre autres son fils de dix-sept ans, Josh, et le milliardaire Carl Hurley, qui finance l’expédition. L’équipe s’engage dans le plus vaste, le plus mystérieux et le plus inaccessible des réseaux de grottes du monde. Lorsqu’une tempête tropicale s’abat sur la zone, ils sont obligés de s’enfoncer dans le labyrinthe sous-marin pour lui échapper. Désormais perdus dans un décor incroyable, ils doivent absolument trouver une issue avant qu’il ne soit trop tard. Ce monde inconnu ne leur pardonnera aucune erreur…
Inspiré de faits réels, dit-on ! La moindre des choses, s’est de respecter la réalité et non de la changer au maximum pour transformer ce récit en pure produit de divertissement. Faisant oublier que les références d’origine ne sont pas issues de l’imagination des scénaristes. Et pourtant, en changeant les noms des personnages, ce qui s’est passé et surtout le fait qu’il n’y ait qu’un seul survivant (alors que tous s’en étaient sortis), on a bien du mal à croire que tout cela soit inspiré de faits réels. Sanctum perd aussitôt sa crédibilité et ne la regagne à aucun moment ! La faute à un scénario ultra classique, usant de clichés mille fois vus et de trames émotionnelles (la mauvaise relation père-fils) de manière maladroite (plombant ce récit d’aventure). Et étant donné comment se présente le film (telle une série B), c’est bien le statut de « divertissement » qui saute aux yeux ! Si vous voulez une comparaison : Sanctum se présente comme The Descent ou encore La Crypte, le statut de film d’horreur et de monstres en moins.

Néanmoins, il faut reconnaître à Sanctum le fait que l’on soit tenu en haleine pendant la partie aventure du film. Après une longue mise en place inutile de 35 minutes (comme dans toute série B qui se respecte…), le cyclone arrive, provoque l’inondation de la grotte, et laisse enfin place à la tension et aux séquences de survie ! Si ces dernières n’ont rien d’original, elles se révèlent néanmoins efficace et sympathique à suivre. Et ce même si l’intrigue se révèle au combien prévisible (ce qui va se passer, quel personnage va mourir) !

Quand à la présence visible de James Cameron, elle se remarque avec deux détails. La plus évidente la 3D et les outils qui l’accompagnent (la caméra, le superviseur…). N’ayant pas vu Sanctum en relief, je m’arrêterai là-dessus. Second détail : la passion du réalisateur d’Avatar pour la plongée. Le film fournit son lot d’explications, d’utilisations et de matériels pour l’aventure sous l’eau. Faisant de Sanctum bien plus une sorte d’hommage à cette activité, à ce hobby, plutôt que pour la spéléologie. Mais bon, vaut mieux se tourner vers Abyss, Les Fantômes du Titanic et Aliens of the Deep de Cameron…

Car le côté série B de Sanctum ne s’arrête pas qu’au scénario ! Il infecte également le reste du projet. À savoir des effets numériques plutôt laids (pour des décors plus vastes), une mise en scène plate, des acteurs peu convaincants, une BO qui ne sort pas de l’ordinaire… Reste les décors naturels ainsi que les scènes en studio, recréant le cauchemar « hydraulique » de ces aventuriers.

Sanctum restera un film d’aventure de plus. Et rien d’autre ! Tout simplement parce qu’il n’est pas digne de son producteur, papa de films cultes (Terminator 1 et 2, Aliens, Abyss, Titanic, Avatar). Juste suffisamment efficace pour passer le temps, mais jamais mémorable à cause de la faible qualité de l’ensemble (aussi bien du point de vue technique que scénaristique). Cameron ferait bien mieux de s’occuper de ses projets lui-même ! Ou plutôt de se consacrer rapidement à Avatar 2, qui se fait lourdement attendre !

Une vraie 3D bluffante, la meilleure que j'ai vu depuis Avatar :)
Bon en revanche le film n'est pas excellent, les personnages pas attachants ce qui pour ce type de film qui se veut a suspense est un peu embêtant :)
2,5/5

Une chose est sûre, je ne ferai jamais de spéléologie !

Je m attendais a un film un peu plus finit avec un producteur comme James Cameron . De plus l idée d un survival version souterraine este oubliés un sujet efficace mais la le film a une odeur de série b alors on notera les belles images et perspectives du film même si je ne l ai pas vu en 3 D qui apparement est le point fort dommage. Pour le reste le film de limite à une série d embûche qui se solde à chaque fois par un mort . Sans réel génie dans son scénario le film n est même pas oppressant pourtant le lieu s y prête !! Dommage je m étais fait trop d idées ....

Waaa! La nouvelle production James Cameron! Super! Enfin, c'est du moins ce que se dit les spectateur moyen (enfin, pas tant que cela vu le succès très relatif du film en France). Car c'est bien connu que « par le producteur de » ne veut pas dire grand chose. Enfin, j'espérais tout de même un divertissement un tant soit peu spectaculaire, à défaut d'être mémorable. Mais même cela l'ami James et son protégé Alister Grierson sont incapables de l'offrir. Et que je te fais dans le prévisible (à une ou deux exceptions près), et que c'est mou du genou, et que tout cela manque d'émotion, et que même les scènes d'action manquent d'intensité et de frissons... Pour tout dire, j'ai lutté pendant les deux tiers du film pour ne pas m'endormir tant le présumé blockbuster « aquatique » n'avait rien à proposer d'excitant, et je ne vous parle pas d'une 3D une fois de plus complètement bidon. Heureusement, la dernière demie-heure réussit à trouver un petit souffle qui permet au spectateur ennuyé de se replonger (aha) un minimum dans l'histoire, mais bon... Il est tout de même bien triste de voir le papa de « Terminator » et de « Titanic » perdre son temps (et le nôtre avec) avec des entreprises aussi ineptes, quasi-exclusivement dirigées vers le fric. Sans intérêt.

Un film estampillé James Cameron relève du coup marketing, mais ce dernier ayant officié en tant que producteur exécutif, on était en droit de s'imaginer qu'il avait eu de bonnes raisons de participer à ce film, mais en réalité, on s'est fait berner. Sanctum (2011) n'est qu'une banale Série B lorgnant du côté horrifique (lors de quelques scènes). Un survival spéléologique nous rappelant certaines productions telles que La Crypte (2006) et The Descent 1 & 2 (2005/2009). L'ennui, c'est qu'ici, on nous vend un film d'aventure inspiré de faits réels, mais en réalité, c'est tout autre. Le scénario est rachitique, il se passe pratiquement rien, malgré quelques remplissages volontaires et grossiers, rien n'y fait, le film en devient alors prévisible (les spéléos qui meurent les uns après les autres). Malgré une très belle qualité photo et un rendu en 3D reliefs (enfin) de bonne qualité avec de belles profondeurs de champs et de superbes décors (tant reconstitués que réels, comme l'énorme gouffre situé au Mexique : "Sotano de las Golondrinas"), mis à part tout cela, le film est relativement vide et durant 110 minutes, on a le temps de s'en rendre compte !

Le concept du film, simple et efficace, aurait pu donner lieu à un huis clos redoutable si les personnages dépassaient le stade du stéréotype. Comme ce n'est pas le cas, le film est terriblement prévisible et ennuyeux.

Un drame d'aventure qui ne vaut quasi uniquement que pour ses belles images. En effet la réalisation est de très bonne qualité, également en ce qui concerne les maquillages mais l'écriture des personnages laisse clairement à désirer, on se fout royalement de ce qui peut arriver à qui que ce soit là-dedans ! La simplicité de l'intrigue n'est pas rédhibitoire de base mais le tout mis bout à bout, on a quand même bien hâte d'arriver au bout, d'autant que les interprétations sont pour le moins inégales. Les décors sont jolis, quelques scènes de suspens relèvent le tout mais "Sanctum" n'est à voir qu'une fois, pas plus.

Produit par James Cameron (passionné de plongée), « Sanctum » nous plonge dans l’univers de la spéléologie avec une équipe qui cherche à cartographier une grotte semi immergée en Papouasie Nouvelle Guinée. Ce qui frappe d’abord c’est la beauté de cette grotte, immense trou circulaire qu’on croirait creusé de la main de l’homme (il semble que la grotte qui a été filmée se trouve au Mexique) et les magnifiques forêts tropicales primaires de ce pays. Il faut rapidement en profiter parce qu’après le film nous maintient dans le huis-clos sombre et étouffant du labyrinthe de cette grotte où l’homme n’a visiblement pas sa place. Ce côté alien de l’homme dans ce milieu est un des thèmes de ce film qui montre la grande fragilité de l’homme dans les milieux extrêmes et particulièrement ceux où l’eau est l’élément dominant, le personnage du père faisant froidement remarquer d’ailleurs qu’ils sont là de passage et que la moindre erreur de jugement conduit quasi inéluctablement à la mort. Ce film ressemble un peu par son côté enfermé en milieu défavorable à « The descent » avec la différence majeure qu’ici point de créatures humanoïdes prédatrices qui attaquent nos spéléologues imprudents, la seule force hostile est la nature même qui par sont inadéquation avec les conditions nécessaires à la survit de notre groupe d’exportateurs ressemble à un dieu méprisant et froid. Le deuxième ennemi de ces protagonistes sont les failles personnelles des personnages qui font se trouver amplifiées par l’urgence et se montrer comme le principal obstacle à la survie individuelle et collective. Les personnages qui au final survivent sont ceux qui comprennent le nécessaire pragmatisme face à la réalité des faibles chances de remonter à la surface et qui en même temps restent suffisamment humain pour ne pas nuire passivement ou activement à la survie des autres. L’action met un peu de temps à démarrer, même si elle pose les jalons des relations souvent conflictuelles entre les personnages, mais à partir du moment où la sortie de la grotte ne peut plus se faire par le point d’entrée habituel, le caractère d’urgence de la situation et les conditions invivables du milieu créent d’eux-mêmes une tension qui ne se dément pas de tout le film. La fin est un peu convenue et je dirais attendue, mais elle ne suffit pas à gâcher un film où le suspens et l’action sont savamment dosés et qui ravira autant les amateurs de sports extrêmes et de spéléologie que ceux qui comme moi (et un des personnages du film !) pensent que cette dernière activité est aussi vaine qu’inutilement dangereuse.

Sans grand intérêt, sauf pour les spéléologues ou amateurs de grottes.
J'ai trouvé le scénario et l'action inintéressants.
Il est sans doute préférable de voir ce film (mieux visuellement parlant) au ciné, si possible en 3D, parce que sinon... bof.

James Cameron produit de temps en temps des films plus ou moins intéressants comme celui-ci. Le plus cette fois est l'exploitation de la 3D qu'il a remis au goût du jour. Quand on connaît son exigence dans ce domaine (voir ses propos à l'égard de "Piranha 3D") on se dit que les effets seront spectaculaires. Et c'est le cas. Si le scénario ne brille pas du tout pour son originalité (une équipe de spéléologues prise au piège dans le plus grand puits du monde), la 3D amplifie la claustrophobie et l'angoisse des situations. Mais c'est un peu juste pour faire un film: même si la passion de Cameron pour les sports extrêmes est clairement visible (le soin apporté à la précision et la crédibilité de cet univers), on est guère surpris par les ressorts de l'histoire. Un film-gadget efficace qui perdra certainement tout intérêt lors de son passage en DVD.

Basé uniquement sur une promotion type "James Cameron Approuved", ce Sanctum pouvait ressembler fortement à un gros pétard mouillé. Au final c'est un simple divertissement où on ne s'ennuie pas. La 3D est bien utilisé mais ne prouve toujours pas l'utilité de cette technologie à mes yeux. Pour le reste on nage dans les gros clichés de bases : un ado en pleine crise contre son père qui avec les péripéties va se rapprocher de lui et enfin devenir un personnage que l'on peut aimer, le père est gros baroudeur qui a toujours raison, la fille est chiante et ralentie tous le monde, le chef est le "méchant", ect... Bref, si vous chercher de la psychologie de survie dans ce film n'y allez pas vous serez déçue. Mais on se laisse tous de même porté et par l'envie de savoir comment sa va ce finir...

Au cinéma, l'homme (ou la femme) aime bien descendre dans les entrailles de la terre, certainement en hommage à Jules Verne. Brendan Fraser ne nous contredira d'ailleurs pas sur ce point. Ainsi, après "The descent" et "La crypte", voilà ici d'autres aventuriers prêts à risquer leur vie pour explorer des mondes inconnus. L'originalité, c'est que l'épouvante engendrée par "Sanctum" ne vient pas d'affreuses créatures malveillantes, mais de la nautre elle-même qui se révèle terriblement dangereuse pour ces apprentis spéléologues. Cela donne quelques scènes haletantes et claustrophobes même si la tension a tout de même du mal à être palpable. Par ailleurs, l'ensemble est mâtiné d'une relation difficile père/fils qui essaie de nous toucher mais paraît trop plaquée de manière artificielle pour que l'on s'y intéresse vraiment. Ainsi, devant cette épopée tout juste passable, on se dit parfois qu'on aurait préféré suivre une des meilleures expéditions de Norbert Casteret.

Mouais. Ca ressemble plus au vieux téléfilm que t'as l'habitude de voir chez grand-mère le dimanche après midi qu'à "une expérience à couper le souffle". Le plus dérangeant c'est le manque d'approfondissement des personnages. Ils sont complètement stéréotypés, toutes les résolutions de situation sont très prévisibles et les scènes d'action de mauvaise qualité.Le coté aventure permet tout de même de s'intéresser un minimum au scénario qui n'est pas mauvais en soit. Mais voilà, les acteurs semble sortir de l'épicerie d'en bas de chez moi et ça pause un sérieux problème dans ce type de film ou les personnages sont sans cesse en interaction pour agir face aux menaces de l'extérieur.
A éviter