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Dès les premières minutes, on est captivé par ce survival efficace, qui ne lésine pas sur les prises de vues vertigineuses. La 3D favorise l'immersion, la tension ne se relâche pas.
Ses atouts : la qualité de son 3D et la linéarité de son intrigue. Le hic : la surmultiplication des embûches pour éviter que le film soit un long fleuve trop tranquille.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Une fois la charge sensorielle consommée, les (...) enjeux montrent hélas leurs limites (...). On se consolera, outre la 3D démente, avec une opposition très australienne entre l'homme et la nature, et surtout une narration avançant au rythme de mises à mort cruelles (...).
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Sponsorisé par James Cameron, qui a prêté son nom et la caméra 3D d'"Avatar", "Sanctum" est un gentil nanar estival égaré en février, qui peine à choisir entre l'attraction Futuroscope et le drame familial en apnée.
(...) il n'y a rien à attendre de la description des relations entre les membres de cette équipée (...) ça reste platement réalisé (...). Même l'effet relief est décevant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Quand l'écran n'est pas barré par un coude ou une palme au premier plan, pour faire 3D, les acteurs de "Sanctum", sous-"Abyss" bis du Pacifique, jouent comme des poulpes, sûrement triés sur leur seule aptitude à la plongée spéléo en apnée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Journal du Dimanche
Dès les premières minutes, on est captivé par ce survival efficace, qui ne lésine pas sur les prises de vues vertigineuses. La 3D favorise l'immersion, la tension ne se relâche pas.
Critikat.com
"Sanctum" se révèle finalement moins indigent que sa campagne marketing ne le laissait présager !
L'Humanité
Ses atouts : la qualité de son 3D et la linéarité de son intrigue. Le hic : la surmultiplication des embûches pour éviter que le film soit un long fleuve trop tranquille.
Le Figaroscope
En 3D et produit par James Cameron, voilà une sorte de "Dix Petits Nègres" sous la mer. Claustrophobes s'abstenir !
Mad Movies
Une fois la charge sensorielle consommée, les (...) enjeux montrent hélas leurs limites (...). On se consolera, outre la 3D démente, avec une opposition très australienne entre l'homme et la nature, et surtout une narration avançant au rythme de mises à mort cruelles (...).
Ouest France
On est en pleine série B (...). Et pourtant. On peut se laisser prendre par l'enchainement de ces aventures spectaculaires et cruelles.
Cahiers du Cinéma
Sponsorisé par James Cameron, qui a prêté son nom et la caméra 3D d'"Avatar", "Sanctum" est un gentil nanar estival égaré en février, qui peine à choisir entre l'attraction Futuroscope et le drame familial en apnée.
Excessif
James Cameron a prêté ses caméras mais n'a visiblement pas partagé son talent.
Filmsactu
Les technophiles curieux se laisseront tenter ; pour les autres, ça ne vaut pas le coup de se mouiller.
Le Parisien
(...) série B en 3D qui réussit, en dépit d'un scénario nullissime, à tourner au petit plaisir coupable.
Les Inrockuptibles
Difficile (...) de s'attacher vraiment à ce triste "Sanctum", qui est moins une oeuvre cinématographique qu'un titanesque placement de produit.
Positif
(...) il n'y a rien à attendre de la description des relations entre les membres de cette équipée (...) ça reste platement réalisé (...). Même l'effet relief est décevant.
Télérama
Reconnaissons une prouesse technique (...). Mais le bât blesse côté fiction.
Libération
Quand l'écran n'est pas barré par un coude ou une palme au premier plan, pour faire 3D, les acteurs de "Sanctum", sous-"Abyss" bis du Pacifique, jouent comme des poulpes, sûrement triés sur leur seule aptitude à la plongée spéléo en apnée.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Ne vous fiez pas à l'estampille "produit par James Cameron" : elle cache un abyssal nanar en 3D (...).