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cineccita
46 abonnés
1 484 critiques
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2,5
Publiée le 18 juillet 2008
Certes le film est un peu lent avec quelques longueurs.Ca reste néenmoins un bon film avec des acteurs juste et une belle histoire.Jamie Bell épouse son rôle à merveille.
Un film singulier et rafraichissant sur un adolescent tourmenté incarné par un Jamie Bell qui a une présence hors du commun devant la caméra. C'est touchant, drôle et noir, léger et profond. On se prend d'affection pour cet ado qui ne manque pas non plus de nous inquiéter.
Pas totalement convaincu par ce "My Name is Hallam Foe". Rien à redire sur la prestation de Jamie Bell et sur la réalisation mais plutôt sur l'histoire qui s'essouffle vite pour perdre le peu d'intensité qu'elle véhiculait. De même, le traitement du sujet est assez maladroit et n'évite pas quelques niaiseries et lourdeurs. Rien de bien intéressant sous la pluie d'Edimbourg....
Un film qui ne passionne pas, dont le sujet (le garçon qui retrouve la figure de sa mère décédée dans le visage d'une jeune femme dont il s'éprend) n'est qu'un prétexte à des scènes répétées de voyeurisme sexuel. Loin d'être fin, le film enchaîne des séquences maladroites (le début où le héros se prépare longuement pour au final faire un saut sur son frère, saut qui est aussi succin que ridicule), malaisantes (si l'on combine la figure de la mère et les scènes de voyeurisme sexuel, le film devient presque malsain) et un final dont on ne voit pas l'utilité. Jamie Bell est complètement perdu dans ce film pseudo-psyché, il se sert uniquement de sa belle gueule (et le reste de son corps, dénudé), et s'en contente pour son jeu. Le film reste d'une platitude déconcertante, le générique étonne par sa forme dessin animé (pas vraiment justifiée ni agréable à voir), et la mise en scène est oubliable. La seule chose qui fait qu'on ne zappe pas est que, pour les plus téméraires, on veut savoir comment la relation tendue avec la belle-mère va finir, et les dernières minutes qui sont un grand n'importe quoi, nous "ravissent" (ironique) à ce sujet. A part pour voir Jamie Bell tout nu (mesdames - et même messieurs, sans préjugés... - rincez-vous l’œil si l'envie vous en dit), ce film pseudo-psyché est très ennuyeux et parfois assez vulgaire.
Bonne histoire, bon scénario, très bonne mise en scène, un Jamie Bell qui continue de faire des choix judicieux qui vont certainement l'entraîner au sommet mais j'ai surtout été impressionné par Sophia Myles vraiment épatante. Le seul hic est que c'est un peu court et que la fin m'a laissé sur ma faim. Ma conviction est qu'il manque quelques minutes pour comprendre les décisions importantes de ce gamin...Dommage, sinon c'était un sans faute...
Si vous souhaitez savoir comment un réalisateur qui se croit malin arrive à rater un film qui partait pourtant sur une bonne idée de scénario, vous pouvez aller voir ce film. Sinon, franchement, allez en voir un autre, ou allez à la plage, ou bien même, restez chez vous. La bonne idée de scénario ? Un vieil adolescent, ou un jeune adulte, en tout cas il a 18 ans, a perdu sa mère 2 ans auparavant et, depuis, il est persuadé que c'est sa belle-mère la responsable de cette mort, tout simplement parce qu'elle voulait, pense-t-il, mettre le grappin sur son père. Il se replie sur lui-même et passe son temps à observer les autres à la jumelle. C'est ainsi qu'il tombe amoureux d'un quasi sosie, en plus jeune, de sa mère. Et c'est là que le réalisateur se croit malin : au lieu de faire un film ambigu mais fin, il se croit obliger de faire du racolage en multipliant les scènes de c..., toutes n'étant pas indispensables, loin de là. Cela étant, Stephen Daldry, qu'on avait découvert dans Billy Elliott, est plutôt pas mal, mais c'est trop peu pour sauver le film.
Film sympathique, montage ciselé comme il est de bon goût à l'heure actuelle, idem pour la musique, les couleurs, les acteurs. Un film à consommer (c'est le terme approprié) avant qu'il ne devienne ringard. Vous avez dit Hitchcock ? Certains éléments du scénario nous rappellent Vertigo et c'est là le seul vrai intérêt de ce petit film: nous faire repenser à un grand.
Je ne sais pas si c'est Jamie Bell qui m'émeut depuis qu'un jour il s'est fait appelé Billy ou si c'est le film...mais j'en suis encore bouleversé.... Certe il y a des choses à redire des scènes faciles. Mais ce film a une ambiance qui m'a beaucoup plue... Allez y en sachant que c'est pas le film de l'année mais certes un bon moment a passer....
un assez bon film avec le style britannique. Personnellement je ne suis pas un grand fan de ce genre de film mais pour rester objectif, la mise en scène de l'adolescent quelque peu dérangé par la perte de sa mère et qui part à l'inconnu est assez bien réalisée. à voir au moins une fois...sans plus!
Petit film sympathique. Je déteste cette expression mais elle me paraît tout à fait appropriée. C'est gentil, plein de bonnes intentions mais bon ça casse pas trois pattes à une poule. Quelques afféteries de réalisation, des lourdeurs (cf le cygne sur le lac ou Hallam s'espionnant lui-même), une intrigue "policière" un peu inutile. Mais deux jeunes bons comédiens. Et une super B.O.
Simple Teen movie déguisé en une analyse comportementale, "My name is Hallam Foe" est une romance décalée, hantée par un esprit anti-familiariste un peu vulgaire. Fable macabre et naïve, mais pourtant profondément dangereuse en ce qu'elle décrit allégoriquement, cette petite oeuvre à vocation auteuriste populaire ne survit que grâce à ses deux acteurs principaux, Jamie Bell et Sophia Myles. La mise en scène aveuglante, de très mauvais goût, surligne les déjà très visibles erreurs scénaristiques. Le rythme, déréglé à chaque séquence, met le feu à l'histoire. Et cette histoire, quelle est-elle sinon une risible épopée adolescente, ridée par des pratiques psychothérapeutiques mises en place à l'écran? Retrouvant en un sosie de sa mère l'affection maternelle via la pratique sexuelle, Hallam Foe va enterrer ses mauvais souvenirs, ses difficultées (senti)mentales et sociales... sorte de Peter Pan autiste, type jeune garçon un peu loufoque comme les affectionne le cinéma d'auteur populaire actuel justement, il y a chez ce personnage une épaisseur d'incarnation, de mise à vie à l'écran qui peine à transpercer l'idée même du simple croquis. La vulgarité des situations, souvent douteuses en ce qui concerne l'aspect constamment spéculatif que le film prend à travers la relation faussement Oedipienne, ainsi que la sensibilité 0 du cinéaste (lumières saturées, B.O. assommante, montage terne) fait de "My name is Hallam Foe" un film à promesses non tenues. Le final, grotesque, ouvre grand les portes de la psychologie de bazar, doublée d'une étrange pantomime d'un film d'épouvante sur fond de moiteur estivale, contenant toute la mauvaise foi de ce cinéma qui croit ancrer sa bizarrerie dans une réalité autrement plus convaincante. Mais cette bizarrerie n'est surtout le fruit que d'un alignement d'incohérences, ou plutôt d'idées inachevées ; le transfert mental du personnage n'aura pas été expliqué ni exploité ; la relation supra-amoureuse entre Hallam et son employée n'est au coeur
Pas totalement convaincu par ce « My Name is Hallam Foe ». Rien à redire sur la prestation de Jamie Bell et sur la réalisation mais plutôt sur l'histoire qui s'essouffle vite pour perdre le peu d'intensité qu'elle véhiculait. De même, le traitement du sujet n'évite pas quelques niaiseries et lourdeurs. Les pulsions sexuelles et amours malsains de l’acteur principal intriguent à défaut d'être palpitants. Bref, rien de bien intéressant sous la pluie d'Edimbourg....
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18 103 critiques
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1,0
Publiée le 5 juillet 2021
My Name is Hallam Foe est un film terrible mais vraiment terrible. Mon Dieu je n'arrive même pas à trouver les mots pour l'exprimer. C'est trop dramatique mais comme dans dramatiquement mauvais pas comme dans c'est un film dramatique. Je n'ai pas eu un seul moment où j'ai eu de l'empathie ou de la sympathie pour l'un des personnages de cette histoire à part le vieux type qui fait la vaisselle et dont je ne me souviens même pas du nom. Ce film essaie de dépeindre Halam comme s'il était attachant ou compréhensible alors qu'il est occupé à espionner les gens avec ses faux airs et il n'est pas dramatique du tous ou attachant. C'est plutôt un monstre il est effrayant quand il jette un coup d'œil par la fenêtre alors que les gens font leurs propres affaires sans se douter de rien. Et la fin a juste confirmé mes sentiments. J'aimerais qu'il n'en soit pas ainsi pendant tout ce temps j'espérais que j'arrêterais de le voir comme un sale type mais ce n'est pas le cas. Dans Un film le voyeurisme n'est pas attachant et peu importe à quel point vous êtes troublé quand vous le pratiquez...