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Wagnar
82 abonnés
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4,0
Publiée le 11 novembre 2024
Certes, le scénario tient dans une ligne et pourtant son originalité et la qualité de la mise en scène suffisent à faire fonctionner le film. J'ai beaucoup aimé le fait qu'il prenne la défense des gens ayant conserver leur âme d'enfant ainsi que sa dimension de conte de fées horrifique. La fin est également parfaite et spoiler: l'idée de suggérer que Ralph va épouser la mère de Judy et devenir un nouveau père pour la petite est excellente. Dolls parvient à distiller une certaine angoisse et les effets spéciaux concernant les poupées sont très réussis. Aujourd'hui, si on faisait le film, je suis sûr que les poupées seraient réalisés en 3D et qu'on leur ferait faire toutes sortes de cascades exagérées. Preuve que des fois, les vieux trucages ont du bon et ne sont pas forcément inférieurs aux images de synthèses. Tout ce que je pourrais reprocher au film est que spoiler: la scène du rêve de Judy avec l'ours en peluche qui devient géant puis un monstre attaquant ses parents n'apporte rien au récit. Bref, Dolls demeure un véritable bijou, mon film préféré de Stuart Gordon et l'un des meilleurs films d'horreur sur le thème de la poupée.
Certes ce film a plus de 20 ans maintenant mais n'en reste pas moins sympathique, les effets spéciaux sont assez réussis, surtout pour l'époque, et le film est assez court ce qui fait qu'on ne s'ennuie pas. Le seul gros bémol, c'est les acteurs qui jouent vraiment comme des cornichons, surtout les deux filles au look punk, là on attend des sommets dans l'amateurisme. Enfin bref, outre la prestation des acteurs, ce film reste un bon divertissement, à la morale enfantine :)
Dans tous les films d'horreur, il y a les méchants contre les gentils. Quand on voit ce film, on croit que ce sont les poupées qui sont méchante mais elles le sont car les hommes le mérite ce qui est le cas dans ce film. Seul la petite fille et un homme ouvert d'esprit finiront pas être épargnés par leur bonté. Quand aux hommes mauvais, ils finissent condamné à devenir poupée comme une seconde chance pour accomplir ce que leur ont fait les poupées aux hommes qui mériteront d'être punis. Même si aujourd'hui le film n'est pas vraiment effrayant, le réalisateur, Stuart Gordon, réussi à nous transporter dans un compte pour adultes ou enfants pas sages. Il a joué avec les jouets qur préfèrents les enfants, et on peut deviner que les enfants ayants vus ce film étant enfants on put être choqué (ce qui a put les rendre phobique). C'était donc un risque à prendre. Contrairement aux autres films d'horreur, celui-ci à un message à faire passer : ne pas perdre son âme d'enfant. Pour son temps, le film reste bien réalisé. À savoir : le DVD n'a à ce jour été édité que en Chine. Si un jour vous deviez le voir en DVD Chinois, et bien évitez le plein écran car dans certaines scènes, vous verrez des mains en haut de l'écran, ce sont celles des gens de l'équipe de tournage qui manipulent les poupées lors du tournage.
Derrière une morale un peu gnan gnan (il faut savoir garder son âme d'enfant ! (mais on est tous corrompus jusqu'à l'os !)), des effets spéciaux plutôt sympathiques, qui peuvent prétendre au statut de Child's play. Beaucoup de poupées vivantes, des scènes sanglantes à la pelle, du comique souvent présent, et des personnages manichéens à souhait. Que vouloir de plus ? Tous les ingrédients sont là, et ça a du charme (même si c'est complètement bancal : la gosse se tire avec un parfait inconnu au final (je peux dire que ses parents crèvent, parce que vu leur caractère en scène d'exposition, c'est pas une surprise)).
Un film qui a mal vieilli mais qui reste assez excitant de par son histoire de jouets tueurs qui s'en prennent aux adultes ayant perdus leur âme d'enfant. Les effets spéciaux ne sont pas moches pour l'époque et les quelques scènes de tueries sont vraiment sympathiques ( d'ailleurs "les inconnus" se sont servis d'une scène du film pour le sketch "poupées Klaus Barbie" ). A voir pour son côté un peu kitsch.
Une fillette de 6 ans, trimballée en vacances par un père et une mégère de belle-mère qui ne l’aiment pas, est victime avec eux d’un embourbement de voiture dans une zone forestière isolée. Le trio n’a d’autre choix que de se réfugier dans l’immense et inquiétante maison voisine. Tenue par un vieux couple d’excentriques constructeurs de poupées fait-main de porcelaine et de bois, s’y abritent bientôt un couple de punkettes prise en stop par un homme-enfant que la même mésaventure à fait tomber en ce lieu. Evidemment, les centaines de poupées prennent vie durant la nuit et décideront vite du sort de chacun. Marionnettes grossières, mouvements saccadés, truquages qui n’inspirent qu’affection indulgente des gros procédés d’antan, personnages caricaturaux de cartoon porté à l’écran, à peine quelques gouttes et trainées de sang rouge bonbon, jeux amateurs d’acteurs gauches, cette comédie involontaire, pourtant de 1987, où les moyens permettaient tout de même un peu plus de sérieux, présente les aspects infantiles aux effets spéciaux périmés des années 50. Il contient néanmoins un fil conducteur attachant qui nous permet de le suivre jusqu’au bout. Il pourrait parfaitement servir de film initiatique au genre horreur pour les 6-12 ans.
Manoir hanté où les monstres ne sont finalement pas ceux que l’on croit, joujoux par millier en manque d’amour et propriétaires délicieusement surannés, voilà le programme de Dolls : Les Poupées dont l’originalité scénaristique consistant à renverser – du moins à complexifier – la polarité bon / méchant rend l’ensemble palpitant. On aime chaque grincement de parquet, chaque éclair, chaque coup de vent venu entrouvrir une porte ; la petite fille, véritable héroïne, s’avère très attachante et confirme, avec son confrère et grand enfant, l’importance du divertissement et de l’émerveillement, peu importent les âges. Périront ceux qui blessent, offensent et fuient leurs responsabilités ; la demeure se mue aussitôt en purgatoire cathartique, les poupées en instruments du châtiment divin le temps d’une nuit sans fin. Quelques plans superbes au service d’une atmosphère maudite dans laquelle on adore se plonger, un refus de l’horreur facile au bénéfice d’un climat malsain qui nous accompagne à la sortie du visionnage : Dolls est un très bon film, intelligent et bien réalisé, une œuvre douée de ce goût d’artisanat et de travail bien fait qui fait tant défaut aux productions actuelles.
Ce film d'horreur des années 80 réalisé par Stuart Gordon est très réussis de part les superbes décors et l'ambiance assez glauque qui règne tout le long du film. Le début partais pourtant assez mal, il est tellement remplis de clichés qu'on se croirait dans un épisode de Scooby-Doo : l'orage qui fait embourber la voiture au milieu de nul part mais heureusement il y a une grande maison isolée super glauque où habite un couple bizarre de personnes âgées. Mais finalement, le film sort petit à petit des clichés et on se prend au jeu car c'est vraiment bien fait au niveau de l'ambiance, on en a des sueurs froides etc. et surtout si on déteste les poupées en porcelaine (comme moi ^^), le film devient véritablement flippant et on sursaute au moindre mouvement. De plus, pour un film de 1987, les poupées sont vraiment bien articulées, ce qui accentue l'effet de peur. Au niveau des acteurs, ils jouent très mal à part Guy Rolfe et Hilary Mason qui interprètent très bien le couple de vieux un peu étrange. En résumé, "Dolls" est un film à voir absolument pour les fans de "Chucky" ou de "Puppet Master" qui apprécieront les effets gores et la peur qui règne du début à la fin.
Un film qui joue de manière viscérale avec nos peurs d'enfant. Réalisé par "Stuart Gordon" l'un des grands nom des métrages d'horreur déjà à l'oeuvre avec les très bons "Aux portes de l'au-delà" et "Re-Animator", "Dolls - Les Poupées" reste un classique indémodable avec des effets spéciaux qui restent très corrects pour l'époque. Sans aucun doute l'un des meilleurs film sur le thème des poupées maléfiques avec le très classe "Jeu D'enfant" (Alias "Chucky" 1er du nom). On attend d'ailleurs toujours une version remasterisé en "Bluray" et "DVD" digne de ce nom !
Vous imagineriez un jour tomber sur un film d’horreur qui défend notre âme d’enfant ? Ce film a plutôt mal vieilli étant donné les effets spéciaux dépassés qui gardent quand même un charme rétro et fait maison plaisant et le jeu d’acteur qui fait sortir du film, mais l’histoire nous retourne l’esprit en nous attendrissant avec la petite fille qui prend partie avec les poupées...en bref c’est à la fois glauque, cocasse et tendre, réalisé par Stuart Gordon (réalisteur du chef-d’œuvre Re-Animator) !
Jamais vu dans mes années collège pendant lesquelles j'enchainais les films d'horreur avec un ami, j'ai découvert Dolls à l'instant. Et bien... ça a bien vieilli pour un petit film d'épouvante ! Histoire simple, parfois gore mais pas trop, animation des poupées bien fichue et gentiment creepy, Dolls est surtout un film d'épouvante qui ne fait pas dans le malsain, ce qui est assez inhabituel, et avec une assez bonne morale : - écoutez votre gosse au lieu de batifoler avec une mégère, - respectez les jouets de grand-père et grand-mère, - arrêtez de vous habiller comme des clochardes en écoutant de la musique de m****, - et ne laissez pas nounours seul dans les bois.
Tourné dans la foulée de « from beyond », « dolls » coupe les liens que pouvaient avoir entre eux les deux premiers films de Stuart Gordon. Adieu donc seringue, savant fou, gore et place au vieux manoir, nuit d’orage et poupées maléfiques. De part son scénario, sa photographie en clair, son atmosphère ce troisième film se situe dans la lignée des oeuvres d’épouvantes classique des années 50/60. Juger plutôt : Un couple et leur fille en voiture sont surpris par une forte tempête. Obligé de prendre refuge dans la demeure des Hartwick, ces derniers les accueillent chaleureusement. Ils seront bientôt rejoint par trois jeunes gens. Très vite, les nouveaux occupants s’apercevront que les nombreuse poupées décorants la maison et fabriqués par Gabriel Hartwick s’animent la nuit pour punir les adultes ayant perdus leurs âmes d’enfants… Dés le générique, le style simple et efficace du réalisateur se met en place : des têtes de poupées apparaissent sur fond noir le tout accompagné par une musique façon comptine d’enfant. L'atmosphère est posée. Tout comme les anciens films gothique (on parle ici du « vrai » style gothique car le terme a été ces dernières années un peu trop employé n’importe comment), « dolls » prend le temps d’installer une ambiance d’épouvante. Ainsi, la photographie tout en clair/obscur est joliment travaillée. La demeure par cet éclairage, trouve une vrai personnalité. Mais, par de nombreux côtés le classicisme se révèle audacieux et ce notamment au cours de certaines scènes trés inspirées propre a l’auteur. Tout comme ce passage au cours de laquelle Isabelle, une jeune punk voulant voler des objets de valeur se fait méchamment défoncer la tronche par les poupées. Il faut voir à qu’elle point tout ici est dynamique ,imaginatif, bien monté tout en restant sobre. Un peu plus tard, on la retrouvera dans le grenier , en train de remettre ses yeux qui ne cessent de tomber. Ou encore, la mort de Rosemary hautement graphique qui, pris d’assaut par des dizaines
Mêmes défauts et mêmes qualités que "Puppet Master", film très sympathique mais où les poupées sont ici moins mises en avant et uniformes. Le bon point vient du casting : le couple de personnes âgées est inquiétant et mystérieux, on se pose beaucoup de questions sur eux. La petite fille livre une excellente prestation réellement bluffante ! Le père et la belle mère sont de vrais enflures, détestables et bien dans leurs personnages. Le reste du casting est plutôt caricatural mais apporte une touche d'humour et de légèreté (faut dire la vf un peu minable aide bien). Quelques scènes sympathiques pour ce film. si vous avez aimé "Puppet master" ce film est pour vous.