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Un visiteur
2,0
Publiée le 6 février 2011
Comédie sentimentale américaine dont on connait la fin dès le début ! De beaux paysages, de bons sentiments mêlés à une recherche spirituelle ! Pas un grand film, mais esthétiquement pas mal !
Pour ma part, ce film n’a qu’un seul intérêt … Ranimer des souvenirs de voyages, quand on a la chance de connaître les pays dans lesquels se situe l’histoire. Le sourire éclatant de Julia Roberts, n’y fait rien. En tout cas pas assez pour en faire un film qui tienne la route.
Mange, prie, aime Julia Roberts nous emmène en Italie, en Inde et en Indonésie pour trouver le bonheur. Cette comédie est une quête à l'eau de rose et parsemée d'une succession de clichés et de bons sentiments... un peu gnangnan
Le projet était intéressant : une femme encore abîmée par son divorce refuse de s’enfermer dans une quelconque relation amoureuse et décide de reprendre goût à la vie en prenant une année sabbatique pour faire le tour du monde. Mais le résultat est décevant, emmené par la toujours rayonnante Julia Robert le drame de Ryan Murphy manque cruellement d’humour qui aurait pu être du meilleur effet dans ce genre d’histoires. Les lieux sont conformes au livre et nous offre de merveilleux panoramas, les plaisirs culinaires, spirituels et cultuels auxquels elle s’abandonne sont très communicatifs. Tout comme les rencontres faites par le personnage d’Elizabeth. Sur 2h30 de film il y avait largement de quoi couper au vu des longueurs beaucoup trop présentes et les villes dans lesquelles elle s’arrête ne sont pas assez représentées, cependant les relations qu’elle lie avec les gens qu’elle rencontre sont très bien mises en scènes (notamment son séjour à Rome) malgré tout de même quelques clichés. "Mange, prie, aime" est à voir pour les voyageurs mais qui ne présente pas d’intérêt supplémentaire tant les sujets principaux sont au final sacrifiés pour une amourette mal construite.
Une fresque de vie qui n'évite pas les clichés et le côté américanisant si cher à Hollywood, mais qui se paye le luxe d'avoir Julia Roberts dans le rôle principal, et elle est pour beaucoup dans la fraicheur de ce film. Un parcours initiatique dans des paysages magnifique, une ode à la vie et à l'amour et un message positif. Sympathique et attachant sans pour autant être un grand film...
Malgré un certain nombre de clichés et de facilités, cette ode à la restructuration spirituelle fait son petit effet. Chacun cherche son moi et la démonstration est convaincante.
C est pas si horrible mais honnêtement on finit vite par s ennuyer ferme devant les petits problèmes de cette femme riche qui ne sait pas se prendre en mains pour enfin trouver l amour véritable. Trop de joli paysages ça d accord mais malheureusement ça fait pas tout et surtout une longueur inappropriée de 2h20 ! .
À lire les critiques, il doit y avoir un quelque chose de personnel, d’intime, qui me fasse vraiment aimer ce film. Comme si cette histoire, cette actrice (que j'affectionne particulièrement) me parlaient directement. Les connexions que nous pouvons avoir avec un tableau, une chanson, un film ou autres, ne s'expliquent pas toujours, que voulez-vous?! Mais les choses sont ainsi et je l’assume sans aucun problème. Bien qu'il soit un peu trop long quand même et qu'il y ait clairement un problème de rythme, j'ai aimé « Mange, Prie, Aime » pour son message, pour l'encouragement et pour la beauté des paysages et de l'actrice. C’est un état d'esprit!
Ce film m'a tout simplement fait du bien! Il est tiré d'un livre que je n'ai pas lu cependant. Julia Roberts joue très bien son rôle et on a envie de la suivre dans ses périples... Mange prie aime nous permet de revenir à l'essentiel et surtout d'en prendre conscience.
Mange des pâtes au lieu de les voir filmer (si l'on peut parler de mise en scène), prie pour ne jamais voir ce film, aime un autre film avec la superbe Julia Roberts (par exemple "Coup de foudre à Nothing Hill)
Ben oui c'est pas Salt ou Inception donc c'est lent . J'ai failli ne pas y aller à cause des critiques, heureusement que mon interêt pour le sujet et pour l'actrice m'y ont quand même conduit. C'est très très esthétique, les photos sont très belles et rien que pour ça ça vaut le détour. Ceux qui n'ont pas aimé je pense qu'ils ne sont pas prêts à se voir en face, à se remettre en question de peur d'y trouver quelquechose qui pourrait les effrayer. Beaucoup de bon sens , de courage. Une phrase qui me reste dit à peu près ceci : "chaque matin prends autant de soin à choisir tes pensées que tu en prends à choisir tes vêtements." Et là y a du boulot. Pour les grincheux, continuez à foncer vers je ne sais quoi en vous cachant la réalité et allez voir vos films "pan pan" qui anesthésient vos neurones (cela dis je les regarde aussi ces films). Quant aux "clichés" quelqu'un pourrait me dire ce que ça signifie? Comme le mot de New York c'est "ambition" par exemple ? Oui et alors , la vérité c'est un cliché ?
On ne peut se dire déçu d’un film quand, comme ici, on n’en attend rien. Qu'y trouve t-on? Une Julia Roberts qui est toujours aussi rayonnante (voir trop : on ne la voit jamais décoiffée et porte une nouvelle tenue à chaque scène... ce qui parait peu crédible de la part de la trentenaire déprimée en pleine quête identitaire qu'elle incarne), des décors splendides dignes de cartes postales, et de mignonnes petites histoires basées sur des rencontres avec des personnages tous plus stéréotypés les uns que les autres. Toute cette mièvrerie se veut justifier par une morale très "baba cool" pourtant passée de mode. Il est probable que ce retour de Julia Roberts en haut de l'affiche risque à contrario de lui collé une étiquette has-been.
Ce très fade "Mange, prie, aime" est adapté d'un best-seller (?) éponyme écrit par Elizabeth "Liz" Gilbert. De cette "littérature" sans aucun doute pour midinette le téléaste Ryan Murphy tire une bluette "cinématographique" visant le même public. On notera cependant une cible supplémentaire possible : les amateurs de dépliants touristiques bien léchés. Je n'ose y ajouter les babas cools (s'il en reste), puisque l'héroïne, Liz (l'auteur du livre nous narre ses propres passionnantes aventures), "à la recherche de son équilibre" part au bout du monde (c'est déjà vrai pour l'Italie, puisqu'elle est Américaine) se chercher elle-même (soyez rassurés, elle va finir par se trouver) via la méditation, d'ashram indien en vieux guérisseur indonésien. Le pauvre Javier Bardem est l'ombre de lui-même : il ne lui reste pas une miette de son habituel grand talent, englué qu'il est dans ce sirop, et réduit au rôle de faire-valoir (partie 3 : "Aime") de Miss Roberts, sortie d'une semi-retraite qu'elle n'aurait pas dû quitter. Egarés eux aussi, Richard Jenkins (partie 2 : "Prie"), Billy Crudup et James Franco (les "ex" de la diva) s'en sortent (un peu) mieux. Pas suffisant pour aller au-delà du 0,5 minimum ! Un vrai "0" serait plus juste.