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j'etait embaler d'aller voir ce film et je suit tomber tres bas.Ce film est une grosse daube ,pas la peine d'en rajouter.
Super enfin plus besoin de somnifère pour dormir , ce film devrait être remboursé par la sécu , un vrai film ou c'est difficile de pas s'endormir avant la fin , de toute façon c'est quasiment la seule solution pour arriver au bout , nul de chez nul , seul le titre est bien
ferdinand75
Un film que l’on aurait voulu aimé, pour son originalité, son ton particulier, et la force créatrice de Laetitia Masson, mais qui malheureusement est très décevant. Et ce principalement parce que le scénario et les personnages manquent complètement de cohérence. Et pourtant l’avant propos , une lecture de Michel Onfray, était très bon et laissait présager le meilleur. Mais très vite on ne croit plus une seconde à cette histoire d’amours contrariés, parce que le profil des personnages n’est pas bon, trop loufoque, trop invraisemblable. La jeune employée de maison est « trop folle », voulant se marier avec n’importe qui , en manque d’affection, ( alors que c’est une belle fille qui devrait avoir l’embarras du choix ). Le personnage de l’avocat est « crazy » et d’ailleurs il le deviendra vraiment. Le flic absolument barjo. La veuve n’ a pas de crédibilité, grenouille de bénitier , mais aussi Vamp séductrice . Et le pire est le personnage de Amira Casar , on n’y comprend rien : frigide ou nympho ? Amoureuse ou distante ? Tout cela est trop mal écrit, trop mal construit. Reste une belle mise en scène, avec des effets d’ellipse intéressants, et surtout un rassemblement d’acteurs que l’on adore, et qui s’en tirent plutôt bien . Héléne Fillières, superbe , évanescente à souhait, cristalline, une de mes actrices préférés , qui fait tout ce qu’elle peut avec ses couteaux, mais a bien du mal (pour ses amateurs il faut la voir dans le sublime « Un homme , un vrai » des frères Larrieu , elle y est resplendissante) . Pareil pour Anne Consigny, une actrice que l’on ne voit pas assez, formidable, mais perdue ici, à voir pour ses fans , dans le très beau « Swim , little fish » . Jeremie Renier , un des meilleurs acteurs de sa génération , d’ailleurs en course pour les Césars 2016 dans l’excellent « Ni le ciel , ni la terre ». Podalydes joue bien aussi, lunaire, rêveur, belle tirade finale (à revoir dans l’excellent « 8 huit fois debout ») . Mais le film ne tient pas la distance, Masson se laisse embarquer dans ce non sens, et ce ne sont pas les très belles chansons de Jean Louis Murat qui peuvent compenser l’extrême faiblesse du scénario .
Sylvain P
L'intrigue policière passe au second plan de cette contemplation désespérée du (des) couple(s). La légèreté et la beauté de La Repentie fait défaut mais Coupable trouve son ton.
Laetitia Masson est coupable d'une œuvre novatrice. Tellement novateur qu'on peut ne pas accroché mais une chose est sur ce film ne laissera pas indifférent.
De quoi parlent les relations, Qu'est ce que l'amour, L'amour dure-t-il, Les relations durent-elles, Que se passe-t-il si votre femme ne peut pas concevoir d'enfants, Et s'il y avait un beau cuisinier dans votre maison, Et si votre femme veut que vous soyez un avocat prospère, Et si vous ne le faites pas, Et si vous tombiez amoureux du principal suspect, Et qu'est ce qui se passerait si....telle sont les questions. Et elle ne restent même après avoir regardé le film. Le film est juste lourd la seule lumière est les 3 belles actrices qui ont l'air sensuelles dans de beaux vêtements. Un film peut même être bon s'il soulève simplement les questions ci-dessus et vous laisse trouver les réponses par vous-même. Mais d'une manière ou d'une autre Coupable n'a même pas réussi à parvenir a ca...
Guillaume
On sait quand le film commence, mais pas quand il finit. C'est ennuyeux à souhait. Dans un genre faussement intellectuel, j'ai essayé de comprendre (je doit être sûrement un peu trop bête) tout au long le but de l'histoire.
Les acteurs ne sont pas géniaux, la réalisation quoiqu'un peu décalée n'est pas exceptionnelle. Cela part par moment dans tous les sens, pour un épilogue aussi pompeux incompréhensible.
Je déconseille.
Les acteurs ne sont pas géniaux, la réalisation quoiqu'un peu décalée n'est pas exceptionnelle. Cela part par moment dans tous les sens, pour un épilogue aussi pompeux incompréhensible.
Je déconseille.
A part Jérémie Rénier, les acteurs manquent de charisme et sont mal choisis ( Toujours les mêmes... ) surtout dans le casting féminin ; de plus les dialogues sonnent définitivement faux quand on oublie ce naturalisme beaucoup trop souvent (mal ) utilisé ne faisant toujours - la plupart du temps - qu'à retarder l'histoire et rendre si comique un film qui ne l'est pas toujours. Mégalomanie & narcissisme français ; quand tu nous tient. ( Playboy 1. )
On débute sur d'interessants propos philosophiques (auxquels j'adhère en grande partie) sur la quête éperdue et par définition vaine de notre "double" amoureux, de nature à nous rendre éternels insatisfaits et "handicapés" de l'Amour. Que ce postulat soit illustré dans ce long métrage par une enquète criminelle et ses protagonistes pourquoi pas. Que cette enquète soit inintéressante et redondante au possible c'est dejà regrettable. Mais alors que les personnages soient si artificiels, qu'ils ne parlent vraiment à nos vies dans les attitudes, les propos, les idées qu'en de rares occasions là c'est peu pardonnable au cinema quand on aborde ce registre. Un hors sujet partiel qui confine à l'ennui sur un thème pourtant passionnant. Frustrant.
Lent et ennuyeux. Musique pathetique. Accent sociologisant pédant. Un beau raté à 1,5millions...
L'exercice de style aurait pu fonctionner si Amira Casar n'était pas aussi envahissante (ses singeries sont vraiment lassantes à la longue) et si le scénario n'était pas aussi tiré par les cheveux. En résumé, un film d'un ennui mortel. A fuir.
Je m'applique une règle : quand je commence un film, je le finis toujours. Pour celui-là, il m'a été difficile de le finir (mais j'y suis quand même arrivé !). Je mets donc la note minimale (et c'est très rare, le dernier film que j'avais autant détesté était Le bruit des glaçons). Si mou, si plat, avec des scènes trop improbables, qu'il nous est au final indifférent de savoir qui est le véritable coupable. A oublier.
Plus de place pour le film que je voulais voir et je déteste rentrer bredouille, je décide donc de tenter Coupable. La bande-annonce et surtout l'affiche du film annonçaient le must de la prétention intellectuelle à la française et c'est effectivement le cas. Tout commence par du Michel Onfray, comme si le film se reposait sur ses propos, puis arrive une histoire improbable avec des personnages qui se meuvent et s'expriment selon des codes immuables, pour mieux appuyer la morale sociale et philosophique que la réalisatrice souhaiterait nous faire partager. Podalydès sort peut-être son épingle du jeu car son personnage de policier, plus trouble, parvient à susciter de l'émotion. De cette froideur si bien orchestrée, quelques répliques décalées nous font également sourire mais l'ensemble tient du plat surgelé préparé : fade, sans personnalité et fort indigeste...
chaque film d'elle me bouleverse, pourquoi si peu d'écrans pour accueillir 'Coupable' ? (exple : 1 séance à 17h cinq jours la semaine passée sur METZ, et c'est fini !!!)
je suis très touchée par la forme : cadrage, montage, bande-son, choix des acteurs
mais tout autant ravie par le fond : à mon sens L Masson m'aide à explorer toujours plus, toujours mieux, avec toujours plus d'acuité violente le gouffre qui sépare l'offre sexuelle entre masculin et féminin.
Continue dans cette belle veine, enchante-nous encore avec telle intelligence de l'âme et des sens !
je suis très touchée par la forme : cadrage, montage, bande-son, choix des acteurs
mais tout autant ravie par le fond : à mon sens L Masson m'aide à explorer toujours plus, toujours mieux, avec toujours plus d'acuité violente le gouffre qui sépare l'offre sexuelle entre masculin et féminin.
Continue dans cette belle veine, enchante-nous encore avec telle intelligence de l'âme et des sens !
Les acteurs jouent bien, restent dans leur personnage, mais je trouve qu'Hélène Fillières ne correspond pas physiquement au personnage qu'elle incarne. Elle a le physique d'une personne volontaire, sachant mener sa barque, non celle d'une paumée de 34 ans que les parents souhaitent marier à tout prix pour qu'elle quitte enfin le cocon familial. Le scénario est loufoque... style un peu Godard. Et dans ce sens, ce n'est pas un navet, car il retient l'attention. On ne s'ennuie pas vraiment mais... quand arrive la fin du film, on se dit quand même "Bof. C'était quoi l'histoire ?"
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