Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le film est une sorte de parabole sur la solidarité, la tolérance et l'acceptation de la différence en évitant constamment le piège de la fable morale gnangnan.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le grand mérite du film est donc de jouer le cul entre deux chaises : entre un truc qu'on trouve habituellement dans des films érotiques, pornographiques, ou dans des fabulations féeriques et déviantes (...), et une exhaustivité psychanalico-ethno-anthropologique qui prend très au sérieux la science sociale.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
A l'abri du cynisme qui gangrène tant de productions actuelles, cette comédie mélancolique et tendre aime l'absurdité nichée au coeur du quotidien dérisoire (...) Le beau rythme lent, synchrone avec l'horloge de Lars, ne fait qu'accroître le charme sans rien desservir.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
(...) Cette étrange leçon de solidarité et de tolérance est encore l'occasion de s'apercevoir que Ryan Gosling, tout en souffrance autistique, est décidément le meilleur acteur de sa génération (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Ryan Gosling est excellent dans le rôle du simplet Lars mais malheureusement le film, après une première demi-heure impeccable, tourne chrétien we-are-the-world-écoutez-notre-différence. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Craig Gillespie et Nancy Oliver, réalisateur et scénariste rabat-joie, [sont] malheureusement plus fascinés par les explications psychanalytiques oiseuses que par cette folie vivifiante.
Malgré un postulat de départ amusant, cette comédie qui hésite entre l'absurde, le psychologique et la leçon de morale ne trouve pas le ton juste (...) On s'ennuie assez vite (...) A l'image de la poupée, le film est dénué de vie, un peu frigide.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce postulat étrange, qui a tout de la fausse bonne idée, ne tient pas la route plus de vingt minutes, avant que le film s'embourbe dans l'apathie marronnasse (...)
Brazil
Cette histoire douce, décalée sur la solitude, sur la détresse humaine, est un véritable remède en soi. Tout dans ce film est illuminé et simple.
Brazil
Le film est une sorte de parabole sur la solidarité, la tolérance et l'acceptation de la différence en évitant constamment le piège de la fable morale gnangnan.
Chronic'art.com
Le grand mérite du film est donc de jouer le cul entre deux chaises : entre un truc qu'on trouve habituellement dans des films érotiques, pornographiques, ou dans des fabulations féeriques et déviantes (...), et une exhaustivité psychanalico-ethno-anthropologique qui prend très au sérieux la science sociale.
Dvdrama
A l'abri du cynisme qui gangrène tant de productions actuelles, cette comédie mélancolique et tendre aime l'absurdité nichée au coeur du quotidien dérisoire (...) Le beau rythme lent, synchrone avec l'horloge de Lars, ne fait qu'accroître le charme sans rien desservir.
Le Parisien
(...) le film de Craig Gillepsie tient (...) du conte de Noël pour adultes. (...) fait chaud au coeur.
Première
(...) Cette étrange leçon de solidarité et de tolérance est encore l'occasion de s'apercevoir que Ryan Gosling, tout en souffrance autistique, est décidément le meilleur acteur de sa génération (...)
Ciné Live
Voir le site www.cinelive.com
L'Express
Voir la critique sur le site
Le Journal du Dimanche
(...) tendresse et tolérance (...). Un récit un peu sucré en forme de conte de Noël.
Libération
Ryan Gosling est excellent dans le rôle du simplet Lars mais malheureusement le film, après une première demi-heure impeccable, tourne chrétien we-are-the-world-écoutez-notre-différence. Dommage.
Ouest France
[Le propos] dérive dans les traquenards d'un mélo qui peu à peu par ses dérapages provoque plus le rire qu'il n'engendre la compassion. Dommage.
Positif
(...) un conte de Noël parallèle (...) de peu d'intérêt.
Studio Magazine
Voir le site www.studiomagazine.fr
Télérama
Mais chaque personnage, (...) chaque scène discrètement excentrique recèlent un charme délicat, euphorisant.
Cahiers du Cinéma
Craig Gillespie et Nancy Oliver, réalisateur et scénariste rabat-joie, [sont] malheureusement plus fascinés par les explications psychanalytiques oiseuses que par cette folie vivifiante.
La Croix
Le film (...) dresse une fable sur la tolérance et la gentillesse.
Le Monde
Malgré un postulat de départ amusant, cette comédie qui hésite entre l'absurde, le psychologique et la leçon de morale ne trouve pas le ton juste (...) On s'ennuie assez vite (...) A l'image de la poupée, le film est dénué de vie, un peu frigide.
Les Inrockuptibles
Ce postulat étrange, qui a tout de la fausse bonne idée, ne tient pas la route plus de vingt minutes, avant que le film s'embourbe dans l'apathie marronnasse (...)