Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Un hymne à la vie, bouleversant d'émotion qui fait du bien à l'âme.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) un objet rare, un magnifique poème visuel où les formes, les couleurs et les saisons se répondent (...)
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) Le testament émotionnel et poétique d'un humaniste perdu dans un monde se vidant inexorablement de sa substance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Cyril Neyrat
La moindre photo de Jour après jour confirme son exceptionnelle acuité visuelle, qui donne à toute chose imprimée sur la pellicule une présence charnelle unique.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) Jour après jour, c'est un film, c'est une voix, c'est un voyage.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Philippe Azoury
Depuis cette maison monde, Jour après jour montre un Pollet navigateur médiumnique. C'est la plus belle réussite d'un film qui, tel qu'il a été monté par Fargier, fait preuve d'une trouille bleue devant le silence (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Il ne s`agit ni d`un testament ni d`une nature morte, mais plutôt d`un hymne à la vie (...)
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Une oeuvre singulière de laquelle émane à la fois de l'émotion et de la beauté, mais ce cinéma réinventé, fait uniquement d'images fixes, rebutera le public non-initié à l'univers du défunt cinéaste disparu auquel le film rend à sa façon un bel hommage.
Télérama
par Jacques Morice
(...) autant les photos parlent du lointain et du proche avec une limpidité exemplaire, autant le texte cède un peu à l'austérité emphatique. On garde néanmoins la sensation forte d'une présence en creux, celle du regretté Jean-Daniel Pollet (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
par Franck Kausch
(...) Ce qui appartient en propre à à la dimension cinématographique de la réalisation (...) tend à déséquilibrer la démarche quasi picturale de l'ensemble vers un parti pris parfois illustratif, imagé (...), très anthropocentrique au final.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Elle
Un hymne à la vie, bouleversant d'émotion qui fait du bien à l'âme.
L'Humanité
(...) un objet rare, un magnifique poème visuel où les formes, les couleurs et les saisons se répondent (...)
Les Inrockuptibles
(...) Le testament émotionnel et poétique d'un humaniste perdu dans un monde se vidant inexorablement de sa substance.
Cahiers du Cinéma
La moindre photo de Jour après jour confirme son exceptionnelle acuité visuelle, qui donne à toute chose imprimée sur la pellicule une présence charnelle unique.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
(...) Jour après jour, c'est un film, c'est une voix, c'est un voyage.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Depuis cette maison monde, Jour après jour montre un Pollet navigateur médiumnique. C'est la plus belle réussite d'un film qui, tel qu'il a été monté par Fargier, fait preuve d'une trouille bleue devant le silence (...)
TéléCinéObs
Il ne s`agit ni d`un testament ni d`une nature morte, mais plutôt d`un hymne à la vie (...)
MCinéma.com
Une oeuvre singulière de laquelle émane à la fois de l'émotion et de la beauté, mais ce cinéma réinventé, fait uniquement d'images fixes, rebutera le public non-initié à l'univers du défunt cinéaste disparu auquel le film rend à sa façon un bel hommage.
Télérama
(...) autant les photos parlent du lointain et du proche avec une limpidité exemplaire, autant le texte cède un peu à l'austérité emphatique. On garde néanmoins la sensation forte d'une présence en creux, celle du regretté Jean-Daniel Pollet (...)
Positif
(...) Ce qui appartient en propre à à la dimension cinématographique de la réalisation (...) tend à déséquilibrer la démarche quasi picturale de l'ensemble vers un parti pris parfois illustratif, imagé (...), très anthropocentrique au final.