Mon compte
    Family Portraits
    Note moyenne
    3,1
    87 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Family Portraits ?

    34 critiques spectateurs

    5
    7 critiques
    4
    9 critiques
    3
    1 critique
    2
    4 critiques
    1
    5 critiques
    0
    8 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 août 2008
    Ce film est un vrai nanar. Mal joué, mal filmé, et le rythme pourrait endormir un insomniaque. Un faux bon film indépendant.
    lucile75
    lucile75

    11 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 mai 2008
    Pourquoi autant de violence? J'ai réussi à regarder les dix premières minutes, après j'écoutais seulement, et à vrai dire, ça m'a suffit!! J'ai quitté la salle à la fin du deuxième court métrage (le film en compte trois)parce ce que je pense que sionon j'aurais vomi!! A bon entendeur...je le conseille uniquement à ceux qui aiment le sang et les mutilations et qui supportent de les regader!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 novembre 2007
    Un premier portrait bien gore , mais hélas trop court et pas suffisamment approndi. les deux suivants long et ennuyeux....
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 23 mars 2010
    Le 1er film de ce réalisateur (regroupant en fait trois courts-métrages) est très dur autant visuellement que psychologiquement.
    Le début est une véritable boucherie, gratuite à mon avis. Le propos tenu est intéressant mais il va trop loin visuellement.
    Le plus difficile, hormis la violence graphique du début est l'ambiance si pesante. Une télévision toujours allumée sur des talk-shows américains, la vieille pendule dans l'entrée, les petits bruits (de l'équipe de tournage...?) et surtout ce silence presque permanent des protagonistes contribuent à enfermer le spectateur dans un profond malaise.
    J'aurai mieux fait de me renseigner un peu plus avant d'y aller, histoire de me préparer psychologiquement.
    Family portraits, un film dont on ne sort pas indemne et auquel on repense pendant longtemps après la projection.
    Youmna C
    Youmna C

    42 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 novembre 2006
    Je veux bien qu'on veuille faire un film indépendant, hors norme, mais bon, faut
    savoir qu'on s'adresse à des spectateurs humains. Le début est bien trop écoeurant. On a du mal à rester assis dans son siège. Cet excès de sang de
    violence… est gratuit et dérange plus qu'autre chose. Puis vient la suite du film qui elle garde le spectateur inerte, sans émotion, ni ressenti. Family Portraits se veut innovateur, rebelle et provocateur, mais s'avère être gratuit, linéaire et
    inutile. Dommage, y avait matière à faire grand!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 novembre 2006
    Un film à la mis en scène rêche qui aborde les névroses de la middle class blanche américaine.C'est unexercice très rigoureux, cadre très travaillé, photo en clair obscur, direction de comédiens qui exige un certain temps d'observation, ce film appuie là ou ça fait mal, au plus prôche de l'humain et des sensations.
    robert_ginty
    robert_ginty

    15 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 octobre 2006
    Trois portraits au vitriol d'une Amérique déglinguée. L'ordonnancement des sketches est assez audacieux : le premier de ceux-ci, où une femme tente désespérément d'attirer l'attention de son mari, pousse assez loin dans le malsain et l'atrocité graphique pour faire littéralement fuir le public (au bas mot, la moitié de l'assistance est partie au bout de vingt minutes, certains se cachant derrière leurs vêtements pour ne plus croiser l'écran du regard). Les deux suivants, tout en brassant des thèmes tout aussi inconfortables (auto-mutilation, dégradation à l'extrême de la cellule familiale) et distillant une ambiance à couper au couteau, sont carrément moins insoutenables en délaissant la boucherie plein cadre au profit du hors-champ. Ceci dit, ça n'est pas parce que vous aurez réussi à garder les yeux ouverts et la blanquette de veau de midi dans votre estomac passé le premier segment que vous serez au bout de vos peines, car Family portrait, tout en ayant une forte personnalité, est incroyablement lent et contemplatif (et hop, la moitié des survivants, morts d'ennui, quitte la salle au compte-goutte) et est plutôt mal foutu (cadrages hésitants, son pourri, mise en scène réduite à peau de chagrin). L'auteur a des choses intéressantes à dire, mais peine à happer l'attention quand il n'a pas recours à une imagerie traumatisante qui lui aliène la majorité du public. A réserver donc aux amateurs de cinéma austère ayant l'estomac bien accroché.
    thewall
    thewall

    14 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 octobre 2006
    Attention, ambiance terriblement désespérante au programme. Véritable concentré de mal de vivre, "Family portraits" dresse un bilan catastrophistes de nos existences médiocres. Avec une clairvoyance que beaucoup trouveront excessive, Douglas Buck filme l'absurdité de la vie et le mensonge dans lequel chacun de nous aime à se complaire : l'idée que notre vie a un sens et qu'elle peut nous apporter le bonheur. Chimère impossible à atteindre. Dès lors, le cinéaste multiplie les plans séquences muets où des personnages aux regards vides s'emmerdent avant de commettre l'irréparable : soit des automutilations, des suicides ou des meurtres d'une rare violence. Bercé par une musique nonchalante, le cinéaste filme le calme pour mieux faire exploser une violence qui sera insupportable pour de nombreux spectateurs. Un choc dont on n'est pas prêt de se remettre. A ne pas voir avec un flingue à portée de main.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 octobre 2006
    Un film extrêmement dur, et de loin le plus choquant que j'ai vu.Les scènes gores (dans les deuxième et troisième films) sont accentuées par beaucoup d'émotion et de bons acteurs.L'ambiance est lourde, pesante, étouffante.La mise en scène rappelle un peu Bergman (Cris et Chuchotements) ou Lynch (Eraserhead, pour les scènes de repas).
    Le réalisateur jette un regard froid sur la famille américaine, ses problèmes de communication, la société, les secrets ou bien encore l'évasion par la télévision.
    Le premier film est extrêment dur et gore (plusieurs personnes ont quittées la salle), sans pitié ni pour les personnages ni pour les spectateurs.Dans le deuxième le réalisateur montre le pourquoi de l'horreur et l'après, en suggérant sans montrer.
    La troisième histoire est la plus jolie et la mieux maîtrisée.Dans celle-ci l'horreur fait partie du passé mais les réponses dans le présent. Sans effets gores ni violence, elle permet de finir le film sans avoir trop mal au ventre.
    Ames sensibles s'abstenir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 octobre 2006
    Les personnages sont des asphyxiées sociaux, des infirmes du cœur, des amputés du verbe, écrasés par le poids des déterminismes familiaux, impuissants à comprendre et à anticiper les dérèglements qu’ils induisent. Leur seul défense : mutisme assourdissant et aboulie forcenée, d’où naît un malaise profond, et quelques fois l’empathie du spectateur, auquel on donne à saisir d’où provient tout cela, par le truchement d’un montage souvent signifiant, amalgamant avec rigueur et finesse les temporalités (dans Home, le second segment, passé et présent se répondent et finissent par se confondre, les sourdes tragédies familiales de l’enfance étant maintenant reproduites, mais démultipliées jusqu’à l’horreur, inévitable, prévisible, annoncée).

    Lorsque tout est en place, que le spectateur a pu prendre acte des éléments contextuels disséminés dans le cadre et les silences, les personnages peuvent alors basculer de l’anonymat d’une vie pavillonnaire stérile et morne vers l’horreur absolue, mécanique, clinique ; exutoire sanglant de toutes les frustrations accumulées jusque-là. Il s’agit de malmener un corps nié, tabouisé : morale rigoriste héritée de l’enfance, affaissement du désir depuis trop longtemps, transparence de l’autre qui pour être à nouveau vu, doit précisément devenir irregardable ; ici plus qu’ailleurs, « le temps détruit tout », pour citer Gaspar Noé, qui n’aura pas manqué d’adouber Douglas Buck dont la filiation avec le réalisateur d’Irréversible est permise. Les corps n’ont d’autres alternatives que leur propre mutilation pour exister une dernière fois. On se fouette, on s’automutile, pour se punir bien sûr, pour être certain d’être encore vivant et sensible également, à la manière du pincement qu’on s’inflige pour faire fuir le mauvais rêve.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 octobre 2006
    Disons-le tout de suite, Family Portraits n’a pas le statut du film qui peut plaire à tout le monde. La noirceur du propos, le nihilisme forcené des deux premiers segments, quelques éruptions de violence, un climat permanent de dégénérescence, la sécheresse de la mise en scène (cadre serré induisant l’étrangeté, lumière grise…) peuvent rebuter. Un moment en particulier, dans le premier court métrage (Cutting Moments), s’il n’est pas supporté par les spectateurs fragiles (et on ne peut leur en vouloir) risque de fonctionner comme un repoussoir et de masquer la richesse du reste, qui mérite largement d’être vu, les excès graphique du premier quart d’heure étant par la suite très sensiblement tempérés.

    Au moyen métrage final, mélodrame poignant et finalement positif, qui humanise in extremis la trilogie (c’est le seul des trois volets enclin à proposer une possible rédemption à ses personnages), on sera en droit de préférer les deux éclats minimalistes et suffocants qui ouvrent le métrage. La comparaison avec Bergman n’est pas usurpée. L’essentiel se tapi dans les silences et les non-dits. Ce qu’il faut entendre n’est jamais énoncé, ce qu’il faut vraiment voir n’est que peu montré. Il faut se raccrocher à ce que l’on peut, aux arrière-plans par exemple, à la description méticuleuse des intérieurs, pourvoyeurs de sens et moteurs de récits par ailleurs volontairement carencés.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 424 abonnés 7 565 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 avril 2024
    Family Portraits (2004) est une anthologie sous forme de triptyque, composée de 3 courts-métrages : Cutting Moments (1996), Home (1998) & Prologue (2003), tous réalisés par Douglas Buck.

    𝗖𝘂𝘁𝘁𝗶𝗻𝗴 𝗠𝗼𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 (𝟭𝟵𝟵𝟲) ★★★☆

    Cutting Moments (1996) est un court-métrage de 23min qui nous invite dans le quotidien d’une famille américaine tout ce qu’il y a de plus normal… du moins, en apparence. Sarah & Patrick sont un couple au bord de la rupture et semblent ne plus se désirer l’un l’autre, jusqu’au jour où Sarah fait un effort envers son mari. Ce dernier reste mutique devant son geste, il l’ignore totalement, ce sera le début du point de non retour…
    Dans un excès de folie spoiler: elle va s’automutiler avec un tampon de décapage en se frottant la bouche au point de transformer ses lèvres en lambeaux, avant de finir par couper ce qu’il restera avec une paire de ciseau,
    dans le seul et unique but de déclencher chez son mari, un sursaut d’attention. La scène d’après, spoiler: on les retrouve tous les deux au lit, dans un coït SM (le mari, avec un taille haie manuel, coupe les seins de sa femme avant de s’achever en se coupant le pénis).


    𝗛𝗼𝗺𝗲 (𝟭𝟵𝟵𝟴) ★★★☆

    Comme pour son précédent court-métrage (Cutting Moments - 1996), Douglas Buck nous immisce dans le quotidien d’une famille américaine. On y découvre que le père à vécu une enfance difficile à cause d’un père violent.
    Une fois adulte, il a fondé une famille, mais lorsque le vernis commence à se craqueler, il laisse ressurgir des traumas d’enfance et cela peut malheureusement virer au drame spoiler: (son mal-être est tel qu’il finira par assassiner sa femme et sa fille).


    Une réalisation toujours sans concession et criant de réalisme.

    𝗣𝗿𝗼𝗹𝗼𝗴𝘂𝗲 (𝟮𝟬𝟬𝟯) ★☆☆☆

    Prologue (2003) est un court-métrage de 53min qui conclut un triptyque composé de Cutting Moments (1996) & Home (1998). Le film dresse le portrait d’une femme gravement handicapée et qui vient régler ses comptes avec la personne responsable de ses infirmités.
    Un court-métrage qui s’éloigne grandement des précédents films, le premier était particulièrement gore et le second assez violent graphiquement. Cette fois-ci, c’est tout autre, on est face à un drame social lancinant où il ne s’y passe pas grand chose.
    Avec sa trilogie, Douglas Buck dépeint à sa façon, une Amérique en perte de repère et nous entraîne en plein cauchemar éveillé.

    (critique rédigée en 2006, réactualisée en 2024)

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 octobre 2006
    Ce film devrait être interdit tant les images sont violentes et gratuites. Quelle est l'intérêt d'un tel film ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 octobre 2006
    D’aucun regrette la thématique surannée des trois métrages, plus évocatrice, paraît-il, d’une Amérique post-Vietnam ou post-Watergate, que des souffrances contemporaines. On est aussi en droit d’appréhender Family Portraits comme une nouvelle métastase apparue dans le paysage cinématographique de l’Amérique post-11 septembre, et voir dans le processus de reproduction de modèles et de valeurs préexistants (familiaux en l’occurrence) mis à l’œuvre dans les deux premiers segments du film, précisément un écho à cette propension de l’Amérique à reproduire les même réflexes et tentations hégémonistes, aveugles et sourdes aux conséquences que des choix et comportements politiques similaires ont eu par le passé (beaucoup de ponts à jeter entre la guerre du Viet-nam et la guerre en Irak, entre le Watergate et l’IrakGate qu’auraient du provoquer les mensonges avérés mais déjà acceptés, et sans conséquence immédiate, prononcés par l’administration Bush à propos des soi-disant projets belliqueux du régime de Saddam Hussein). L’Américan way of life, attaqué en premier lieu lors des événement su 11 septembre, n’en est que plus menacé, fissuré, plus encore aujourd’hui peut-être, puisqu’il s’est pérennisé et renforcé depuis toutes ces années. Et le fait que la réalisation des deux premiers segments soit antérieure à 2001 n’y change rien. Nous y observons métonymiquement une société américaine autocentrée, repliée sur elle-même, trop assise sur ses principes et ses valeurs à courte vue, et que guette la catastrophe. Le troisième segment, plus récent, réalisé après 2001, dans lequel Douglas Buck ne nous montre rien, à l’inverse des deux premier courts métrages, de l’horreur vécue, faisant démarrer son récit un an après le drame), s’humanise ; où le pire acte de barbarie donne malgré tout droit au pardon de l’une des victimes, à condition de faire acte de contrition et de gagner en humilité. Vœux pieux de Douglas Buck, sans doute, mais qui relève la trilogie d’une touche d’optimism
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 octobre 2006
    Mouais............ CONTRIBUTION NON INDISPENSABLE AU CINEMA

    filmé à la manière ultraréaliste genre on entend les bruits de fond et l'air capté lors de la prise de son.... il parait que ça fait cinéma d'auteur. Des tranches de vie de familles ordinaires qui basculent subitement et gratuitement dans l'horreur ne sont elles pas un pretexte à heurter le spectateur en les eclaboussant de sang ? En tout cas c'est gratuit, facile et sans intérêt. De plus pour les amateurs de gore c'est pas un must dans le genre.
    J'ai toujours du mal avec l'idée de la mutilation et de l'automutilation à l'écran : c'est souvent révélateur d'un manque d'imagination du réalisateur, ça a été vu , revu et rerevu mais ça fait toujours aussi un peu cinéma d'auteur....
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top