Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
L’émotion est aussi intense pour le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Au-delà de la peinture historique et de la réalité des faits, qu’elle tord à sa convenance, Josie Rourke tire surtout un portrait plus universel et intemporel de la condition des femmes.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
La pureté singulière du visage de Saoirse Ronan incarne bien la beauté sauvage de l'Ecosse, et contraste avec la violence de son destin.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Josie Rourke relève la gageure d’évoquer avec détails et romanesque ce règne si particulier et complexe de Marie Stuart. [...] Reparti bredouille des Oscars, "Marie Stuart, reine d'Ecosse" mérite amplement la visite de son royaume.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Une fresque sombre et intense évoquant la rivalité entre Marie Stuart et Élisabeth Ire, deux souveraines prisonnières d’un monde d’hommes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Constance Jamet
Un film dans l'air du temps et plutôt bien analysé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Mathilde Cesbron
Saoirse Ronan est éblouissante de majesté dans le biopic sur la reine rebelle écossaise.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Camille Nevers
Sur une trame rebattue, le film de la Britannique Josie Rourke, efficace et féministe, séduit par l’intelligence de sa direction artistique malgré une fin bâclée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Fresque épique et charnelle, ce biopic réhabilite son image sur fond de manigances, auxquelles se mêle l'art plus stratégique qu'on ne le croit du cunnilingus.
Ouest France
par Sylvestre Picard
Saoirse Ronan et Margot Robbie sont formidables.
Positif
par Christian Viviani
POUR : "Marie Stuart, reine d'Écosse" est un passionnant détournement du film patrimonial, qui unit ainsi deux talents qui dissimulent habilement la provocation sous le vernis impeccable du classicisme.
Public
par Florence Roman
La reconstitution historique est somptueuse.
Rolling Stone
par La Rédaction
Si on regrette que les ellipses temporelles soient franchement abusives et que les personnages trop peu creusés en profondeur, Marie Stuart est un beau film féministe qui rappelle à quel point les hommes n’ont jamais su accepter le pouvoir des reines, fussent-elles plus intelligentes et empathiques qu’eux.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le beau film de la Britannique Josie Rourke déploie ce destin tragique dans une époque impitoyable pour les femmes.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
[...] cette fresque, d’une beauté à couper le souffle, prend quelques libertés avec l’Histoire pour mieux se focaliser sur la rivalité des deux femmes, dans un monde dominé par les hommes. Passionnant.
Télérama
par Mathilde Blottière
Marie Stuart et Elisabeth Ire, cousines et rivales, mais un même destin : cernées par l’ambition des hommes, elles devront agir comme eux. Splendide.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
Dans son premier film, la metteuse en scène de théâtre Josie Rourke orchestre avec brio le duel tragique de deux femmes que les autres opposent.
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
Saluons l'interprétation de Saoirse Ronan et de Margot Robbie, dans ce jeu de quilles politique d'une telle âpreté qu'il impose les deux actrices en souveraines forçant l'admiration par leur courage et leur détermination.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Porté par deux comédiennes exceptionnelles et une cinéaste qui usent d'elles idéalement, cette relecture de la confrontation de deux légendaires souveraines manque malheureusement d'un peu de souffle et de folie.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Solène Delinger
Pourtant, si « Marie Stuart, Reine d’Ecosse » ne révolutionne pas le genre, sa volonté de mettre en scène des femmes de pouvoir, déterminées à conserver leur place sur le trône malgré les trahisons et les complots, apporte une nouvelle approche, plus moderne, à la rivalité qui opposa Marie Stuart à sa cousine Elisabeth, reine d’Angleterre.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par François Forestier
Incontestablement, c'est beau à regarder, la production n'a pas lésiné sur les moyens (il y a même un "Master of Drapes", un maître des tentures) ni sur les à-côtés érotiques ou les discours sur la tolérance. Il y a des trahisons en série, des châteaux somptueux, des robes divines, mais le film ne décolle jamais.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La réalisation de Josie Rourke, illustre metteuse en scène de théâtre qui signe son premier film, ne manque pas de souffle. Elle montre sans filtre la violence d’une époque tumultueuse. Costumes et décors somptueux, volontiers tirés vers le baroque, achèvent de parfaire le dépaysement qu’offre ce long-métrage ambitieux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Cette grande fresque historique, romanesque et élégante, vaut pour ces deux destins de femmes fortes qui affrontent, différemment, la domination masculine, la trahison, le poids de la religion.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Inventifs, brillants (souvent), lourdement appuyés (parfois), le scénario de Beau Willimon (auteur de la version américaine de House of Cards) et surtout la mise en scène de Josie Rourke envisagent l’histoire de la rivalité entre les reines comme le combat de deux femmes pour la maîtrise de leur corps.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Malgré des décors magnifiques, de jolies images et deux actrices remarquables, le film de Josie Rourke souffre d’une intrigue et d’une mise en scène assez ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Un premier film plutôt réussi mais qui, malgré quelques efforts de modernité dans le récit et son propos féministe, reste contraint par la volonté d'expliquer chaque événement de la vie de l'héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Deux reines ennemies de l’histoire que le film réconcilie et dont il tisse un lien puissant, d’abord par le montage puis lors d’une rencontre finale poignante, pour mieux les ériger en symboles d’une résistance enchaînée dans un monde d’hommes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
Reste que cette fresque sanglante et impressionnante, deux fois nommée aux Oscars, accroche le spectateur autant qu'un épisode de "Game of Thrones".
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le casting très « inclusif », la thématique « femme et pouvoir » ou la dénonciation de l’homophobie témoignent aussi d’un forçage sur le contemporain très opportuniste.
Critikat.com
par Clara Tabard
Les à-côtés, alliant les incohérences scénaristiques à une structure telle que chaque scène semble répondre à celle qui précède avec une artificialité manifeste, empêchent le film de donner à ces portraits féminins l’ampleur qu’ils pourraient avoir.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par Eithne O'Neill
CONTRE : Malgré cet apparat spectaculaire et la prestation honorable des interprètes, les dialogues - essentiels - manquent de punch.
Première
par Thierry Chèze
Un premier film qui revisite la guerre larvée entre Marie Stuart et Elisabeth Ire mais dont la modernité trop scolaire ne convainc pas vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
L’émotion est aussi intense pour le spectateur.
CinemaTeaser
Au-delà de la peinture historique et de la réalité des faits, qu’elle tord à sa convenance, Josie Rourke tire surtout un portrait plus universel et intemporel de la condition des femmes.
Femme Actuelle
La pureté singulière du visage de Saoirse Ronan incarne bien la beauté sauvage de l'Ecosse, et contraste avec la violence de son destin.
Franceinfo Culture
Josie Rourke relève la gageure d’évoquer avec détails et romanesque ce règne si particulier et complexe de Marie Stuart. [...] Reparti bredouille des Oscars, "Marie Stuart, reine d'Ecosse" mérite amplement la visite de son royaume.
La Voix du Nord
Une fresque sombre et intense évoquant la rivalité entre Marie Stuart et Élisabeth Ire, deux souveraines prisonnières d’un monde d’hommes.
Le Figaro
Un film dans l'air du temps et plutôt bien analysé.
Le Point
Saoirse Ronan est éblouissante de majesté dans le biopic sur la reine rebelle écossaise.
Libération
Sur une trame rebattue, le film de la Britannique Josie Rourke, efficace et féministe, séduit par l’intelligence de sa direction artistique malgré une fin bâclée.
Marie Claire
Fresque épique et charnelle, ce biopic réhabilite son image sur fond de manigances, auxquelles se mêle l'art plus stratégique qu'on ne le croit du cunnilingus.
Ouest France
Saoirse Ronan et Margot Robbie sont formidables.
Positif
POUR : "Marie Stuart, reine d'Écosse" est un passionnant détournement du film patrimonial, qui unit ainsi deux talents qui dissimulent habilement la provocation sous le vernis impeccable du classicisme.
Public
La reconstitution historique est somptueuse.
Rolling Stone
Si on regrette que les ellipses temporelles soient franchement abusives et que les personnages trop peu creusés en profondeur, Marie Stuart est un beau film féministe qui rappelle à quel point les hommes n’ont jamais su accepter le pouvoir des reines, fussent-elles plus intelligentes et empathiques qu’eux.
Sud Ouest
Le beau film de la Britannique Josie Rourke déploie ce destin tragique dans une époque impitoyable pour les femmes.
Télé 7 Jours
[...] cette fresque, d’une beauté à couper le souffle, prend quelques libertés avec l’Histoire pour mieux se focaliser sur la rivalité des deux femmes, dans un monde dominé par les hommes. Passionnant.
Télérama
Marie Stuart et Elisabeth Ire, cousines et rivales, mais un même destin : cernées par l’ambition des hommes, elles devront agir comme eux. Splendide.
Voici
Dans son premier film, la metteuse en scène de théâtre Josie Rourke orchestre avec brio le duel tragique de deux femmes que les autres opposent.
Culturopoing.com
Saluons l'interprétation de Saoirse Ronan et de Margot Robbie, dans ce jeu de quilles politique d'une telle âpreté qu'il impose les deux actrices en souveraines forçant l'admiration par leur courage et leur détermination.
Ecran Large
Porté par deux comédiennes exceptionnelles et une cinéaste qui usent d'elles idéalement, cette relecture de la confrontation de deux légendaires souveraines manque malheureusement d'un peu de souffle et de folie.
Elle
Pourtant, si « Marie Stuart, Reine d’Ecosse » ne révolutionne pas le genre, sa volonté de mettre en scène des femmes de pouvoir, déterminées à conserver leur place sur le trône malgré les trahisons et les complots, apporte une nouvelle approche, plus moderne, à la rivalité qui opposa Marie Stuart à sa cousine Elisabeth, reine d’Angleterre.
L'Obs
Incontestablement, c'est beau à regarder, la production n'a pas lésiné sur les moyens (il y a même un "Master of Drapes", un maître des tentures) ni sur les à-côtés érotiques ou les discours sur la tolérance. Il y a des trahisons en série, des châteaux somptueux, des robes divines, mais le film ne décolle jamais.
La Croix
La réalisation de Josie Rourke, illustre metteuse en scène de théâtre qui signe son premier film, ne manque pas de souffle. Elle montre sans filtre la violence d’une époque tumultueuse. Costumes et décors somptueux, volontiers tirés vers le baroque, achèvent de parfaire le dépaysement qu’offre ce long-métrage ambitieux.
Le Journal du Dimanche
Cette grande fresque historique, romanesque et élégante, vaut pour ces deux destins de femmes fortes qui affrontent, différemment, la domination masculine, la trahison, le poids de la religion.
Le Monde
Inventifs, brillants (souvent), lourdement appuyés (parfois), le scénario de Beau Willimon (auteur de la version américaine de House of Cards) et surtout la mise en scène de Josie Rourke envisagent l’histoire de la rivalité entre les reines comme le combat de deux femmes pour la maîtrise de leur corps.
Le Parisien
Malgré des décors magnifiques, de jolies images et deux actrices remarquables, le film de Josie Rourke souffre d’une intrigue et d’une mise en scène assez ordinaire.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film plutôt réussi mais qui, malgré quelques efforts de modernité dans le récit et son propos féministe, reste contraint par la volonté d'expliquer chaque événement de la vie de l'héroïne.
Les Inrockuptibles
Deux reines ennemies de l’histoire que le film réconcilie et dont il tisse un lien puissant, d’abord par le montage puis lors d’une rencontre finale poignante, pour mieux les ériger en symboles d’une résistance enchaînée dans un monde d’hommes.
Télé Loisirs
Reste que cette fresque sanglante et impressionnante, deux fois nommée aux Oscars, accroche le spectateur autant qu'un épisode de "Game of Thrones".
Cahiers du Cinéma
Le casting très « inclusif », la thématique « femme et pouvoir » ou la dénonciation de l’homophobie témoignent aussi d’un forçage sur le contemporain très opportuniste.
Critikat.com
Les à-côtés, alliant les incohérences scénaristiques à une structure telle que chaque scène semble répondre à celle qui précède avec une artificialité manifeste, empêchent le film de donner à ces portraits féminins l’ampleur qu’ils pourraient avoir.
Positif
CONTRE : Malgré cet apparat spectaculaire et la prestation honorable des interprètes, les dialogues - essentiels - manquent de punch.
Première
Un premier film qui revisite la guerre larvée entre Marie Stuart et Elisabeth Ire mais dont la modernité trop scolaire ne convainc pas vraiment.