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Un visiteur
0,5
Publiée le 11 janvier 2009
Eh oui c'est grace à Brad Pitt qu'on a gagné la premiere guerre mondiale! Brad Pitt est beau, cheveux longs ou courts, barbe poilue ou inexistante, Brad Pitt en 20 ans ne prend pas une ride et il est courageux face à un grizzli comme face à un allemand! Là vous vous dites: un navet drole pour faire passer une soirée! Que nenni, le film s'éternise plus de 2h pour vous expliquer qu'une nana se tape les 3 freres d'une même famille, ajouter à cela quelques enterrements qui finissent par prendre 25% du temps du film ajouter à cela les personnages restant qui pleurnichent (ou font l'amour c'est au choix) sur les tombes du dernier mort en date, ainsi qu'un indien qui gambade joyeusement dans des pseudos danses folklo et un ANthony Hopkins qui se balade avec une ardoise autour du cou, et vous obtenez Légendes d'Automne, une grosse daube cinématographique, larmoyante et tres couteuse pour un résultat... merdique.
Alors c'est ça légende d'automne? Etant donné l'aspect culte qu'on lui voue, je l'ai regardé avec curiosité et ce que j'ai découvert va bien au delà de ce que j'imaginais je n'ai jamais vu un réalisateur qui se donne autant de mal à faire chialer le spectateur, c'est tout bonnement incroyable, le nombre de personnages importants qui meurent est aberrant et ce dans le seul but de nous tirer une larme. C'est complètement dingue et ça en devient même marrant parce que ridicule en plus le film est chiant à mourir. Seulement fait pour les amateurs d'amour, gloire et beauté.
Un décor, une époque, un genre respecté avec beaucoup de dialogues et de romance. C'est beau, c'est divertissant, quoique un peu long, mais c'est surtout bien joué et accompagné par une belle musique !
Typique du film des années 90 qui a très mal vieilli. L'histoire est tirée par les cheveux, et tire larme jusqu'à l'absurde. Les personnages sont ultra stéréotypés et surjoués. Et la musique (enfin les violons) est omniprésente et ne sert qu'à imposer l'émotion qui n'émane ni de l'écriture ni du jeu...
Edward Zwick s’apparente clairement comme un réalisateur habile, un metteur en scène adroit pour élargir un genre aux dimensions de l’épique. «Legends of the Fall» (USA, 1994) prend le western pour canevas et tisse son récit autour des canons les plus éculés du genre, chacun se voyant gonflés par les musiques emphatiques de James Horner et les mouvements de caméra qui, de leurs envolées bondissantes, unissent en un seul regard l’ampleur du territoire. Concentré sur une famille du Montana composée de trois fils et d’un père, l’œuvre de Zwick plonge son western dans les eaux du mélodrame et trouve une légende mielleuse, construite, semble-t-il, sur la seule optique de glorifier le jeu des stars du film et de satisfaire le plaisir des midinettes. La lutte qui agit le film, et qui traverse les grands westerns de l’âge d’or hollywoodien, oppose la sauvagerie à la civilisation. Incarnée par le physique d’éphèbe de Brad Pitt, la sauvagerie de son personnage aspire à éveiller les sensations primaires et érotiques du spectateur, pendant que la civilisation s’incarne avec la figure droite de gentleman du personnage d’Aidan Quinn. L’affront que viennent à se livrer les deux frères pour l’amour de Susannah cristallise la dynamique du film, reposant sur l’opposition du naturel au cultivé. Zwick se définit, avec «Legends of the Fall» comme un grand académique (qualificatif semi-démenti par «Blood Diamond»). Contrairement à Ford, que l’on assimile très souvent à tort à un des cinéastes américains les plus consensuels (ce qu’il n’est pas, contrairement à Cecil B. DeMille), Zwick préfère la légende à la réalité. Ford, dans ses films («The Man who shot Liberty Valance», «Sergeant Rutledge») passe par un effet de réalité pour reformuler la légende. Zwick conserve la légende, il l’inscrit certes dans les évènements réels de l’Histoire (la première guerre mondiale) mais il choisit d’enfoncer son film dans des codes étouffants plutôt que d’en laisser jaillir la tragédie véridique.
bien lente cette chronique familiale et bien fade également. les incohérences se succèdent à n'en plus finir, sans oublier les facilités de scénario innombrables, notamment la dernière. et puis.... cette musique.... vraiment pénible, insupportable même, par ses violons qui n'en finissent plus. une étoile pour les acteurs qui arrivent à jouer correctement malgré un réalisateur sans aucun génie.
Voilà exactement le genre de film qui fait que je ne pouvais pas supporter Brad Pitt avant ses collaborations avec Fincher. J'ai trouvé ce film long, sans grand intérêt.
Quel chef d'oeuvre que ce film !! Le scénario et le jeu d'acteur est aussi incroyable que bouleversant. Sans parler de la bande original, images, et autres prises de vue absolument somptueuse :))
Vu sur la tnt Un bijou que je connaissais pas. Brad Pitt porte se film du coté de ses frères et Anthony Hopkins porte le film du côté des parents. Le résultat un hymne au courage et à la lutte.
Adaptée du roman de Jim Harrison, une tragédie familiale au souffle romanesque, mais desservie par une réalisation moyenne et un sentimentalisme trop appuyé, malgré l'excellente interprétation de Brad Pitt et d'Anthony Hopkins.
Une chronique familiale qui se déroule au coeur des majestueuses étendues naturelles du Montana, appuyée par la musique enveloppante de J. Horner. Mais l'équilibre vole alors en éclat suite à l'engagement de ces 3 frères si proches, sous les bombes de la première guerre en Europe. Entre western moderne, romance et drames, la sensibilité sauvage de B. Pitt (qui crêve l'écran) face au charismatique A. Hopkins est belle à voir. La dernière demie-heure est particulièrement forte en émotions!