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    Antichrist
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    2,4
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    Votre avis sur Antichrist ?

    624 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 juin 2011
    Un véritable chef d’œuvre autour de la dualité mère-femme et de la culpabilisation du plaisir par la civilisation judéo-chrétienne. Un Ovni du cinéma qui sera reconnu un jour comme film de référence.
    ClockworkLemon
    ClockworkLemon

    24 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 mai 2011
    "Antichrist"... immoral, choquant, long, lent, inventif, parfois beau, parfois hideux, lourd, prétentieux, "Antichrist" c'est tout cela à la fois... Un mot, juste sur la prestation magistrale de Charlotte Gainsbourg, extrêmement dérangeante, hallucinante, criante de vérité dans un univers totalement faux... Defoe s'en sort très bien aussi...
    Puis vient la mise en scène. Lars Von Trier est un piètre penseur. Un réalisateur prétentieux qui a cependant un certain talent artistique. Et dans celui-ci, ça se voit. La partie la plus intéressante du film est le prologue, assez dommage qu'il ne dure que six minutes car c'est une longue séquence au ralenti, en noir et blanc, superbement mise en scène, magnifiquement accompagnée par une musique somptueuse (Rinaldo, de Haendel), totalement dérangeante (la mort du fils alors que les parents s'adonnent aux plaisirs sexuels dans la pièce d'à côté) et qui révèle des plans et un aspect artistique uniques... Après, c'est une autre histoire... La première partie, en gros les deux premiers chapitres sont longs et inintéressants. Thérapie que l'homme fait à sa femme pour l'aider dans son deuil, qui révèle des mouvements de caméra atroces, notamment ces nombreux zooms rapides insupportables, et des images prétentieuses, qui tentent en vain de s'inscrire dans la même lignée que celles que proposait le prologue. Le troisième et le quatrième chapitre s'avèrent plus intéressant. Mais au final, Lars Von Trier n'a réussi qu'à faire beaucoup de bruit pour très peu d'intérêt. Les images de violence sont toujours aussi dérangeantes, mais ce pauvre réalisateur ne les montre que par intention de choquer pour choquer. Quitte à faire un gros plan sur une pénétration anale, sur une masturbation et éjaculation de sang, une excision du clitoris... Piètre penseur, comme je disais, les images ne sont jamais justifiées. Certains disent que c'est une fable obscène, moi je dis que c'est de la violence gratuite, pour en mettre plein la vue. Ce film se regarde une fois pour contempler les quelques beaux plans bien inspirés, et regarder quelques scènes de violence bien faites, mais ça s'arrête là. Lars Von Trier ne fait pas réfléchir, on ne sort pas de ce film l'esprit tout retourné (comme pour "Funny Games" par exemple), juste les yeux bien écarquillés et un peu écœuré face à tant de violence excessive. Au final très inégal, "Antichrist" s'avère intéressant à regarder une fois, mais ce n'est pas un de ces films qu'on a envie de revoir...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 mai 2011
    J'ai adoré l'ambiance de ce film, le son d'ambiance m'a mis particulièrement mal à l'aise. En sortant de la salle je ne savais franchement pas si j'avais apprécié, mais les sens cachés mon convaincu qu'il s'agit d'une oeuvre somptueuse. Petit bemol pour les scènes gore finale qui m'ont plus fait rire qu'autre chose tellement c'était gros, gras? Je ne sais même pas les définir.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 mai 2011
    Film intéressant.
    De très bonnes scènes, intenses, bien travaillées et visuellement magnifiques. Mais aussi une succession de provocations sans réel sens, même s'il en est dit le contraire.
    C'est un bon film, mais trop de masturbation intellectuelle a véhiculé autour je trouve.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 mai 2011
    Lars Von Trier (réalisateur de Dogville avec Nicole Kidman) signe cet étrange hui-clos paranoïaque qui fit main remous lors de son visionnage à Cannes en 2009. Choquant et choqué sont les maîtres mots de ce film.
    Antichrist ne possède pas vraiment de "véritable" scénario. Une femme mariée entre en dépression après la mort de son fils de 2 ans. Il n'y a plus de script au début de sa dépression, mais le film progresse pas à pas dans un monde aux apparences gothiques.
    Antichrist, c'est le voyage de l'Homme dans sa nature : la nature humaine dans toute sa décadence. Doute, peur, abnégation, plaisir, volubilité, cauchemar, parano, culpabilité... sont autant de thèmes abordés avec tact et impertinence. De plus, la peur de la nature s'incruste dans ces êtres présentés comme divins, venant de l'au-delà. En cela, la forêt, les animaux de la forêt sont minutieusement expliqués dans toute la splendeur de leur symbologie (le corbeau messager, le renard rusé, les esprits de la forêt, l'arbre "père"...).
    Fort de ces légendes et vérités mélangés, s'ajoute une atmosphère toute particulière : fantômatique, religieuse et forcément irrespirable.
    Avec la présence d'un couple d'acteur au diapason (Dafoe/Gainsbourg), l'impertinence est de mise avec la femme mariée en dépression en manque de s*** (formidable Charlotte !) et le mari thérapeute convaincu (ou pas) : Willem nous subjugue devant tant de talent ! Interprétation inaltérable pour un moment de cinéma inoubliable.
    Lars Von Trier nous sert cette fable historico-médiévale sur un semblant de thriller-horrifique. Véritable chef d'oeuvre, inclassable, Antichrist reste un de ces films d'auteur qui nous fait froid dans le dos. En ce sens, le final est inoubliable, incroyable et l'on reste scotché et médusé devant une scène aussi implacable qu'inaltérable. Le couple Dafoe/Gainsbourg apporte ici tout le sens du film.
    Antichrist ne vole pas ses récompenses, il prône les 7 péchés capitaux en même temps !!!
    INTERDIT aux moins de 16 ans.
    A voir au moins une fois dans sa vie.
    Santu2b
    Santu2b

    249 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 octobre 2015
    En 2009, Lars Von Trier s'est attiré les foudres pour ses propos sur Hitler. il aurait dû susciter la même réprobation pour le film qu'il était venu présenter, "Antichrist". Comment un tel cinéaste a pu tomber si bas ? On savait que son niveau d'inspiration n'était plus à la fête depuis quelque temps mais là, il en devient méconnaissable. C'est simple, à aucun moment on ne sait où il a voulu en venir. Tout commence par un prologue kitchissime, massacrant Handel et le cinéma avec. Le noir et blanc laisse alors la place à un récit où de nouveau l'incompréhension la plus totale, aussi bien intellectuelle que formelle. Dans ce cadre, Trier fait preuve d'un amateurisme consternant. mouvements de caméra sous une lumière affreuse nausée. On s'ennuie d'un bout à l'autre et dès lors le cinéaste change son fusil d'épaule. On tombe dans le ridicule avec un renard annonciateur de mauvais présages. On rajoute évidemment une bonne dose d'hémoglobine, achevant de consacrer la provocation de bas étage. Toutes ces facilités confirmant au final qu'il n'a plus rien à dire. "Antichrist" est la fin pathétique et prétentieuse d'un cinéaste qui auparavant, a su pourtant tutoyer les sommets.
    Sildenafil
    Sildenafil

    77 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mai 2011
    Élucubrations abscons d'un mégalo illuminé, Antichrist ne manquera pas de fans du genre "c'est trop un génie ce Lars, ça choque et on comprend rien (ou on en fait semblant en copiant-collant l'explication d'un critique...)". Préférez plutôt Gaspar Noe, où la violence est au service d'une vraie réflexion, ou bien Kubrick.
    elise d.
    elise d.

    5 abonnés 70 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 avril 2011
    Assez bizarre ce film
    Je pense qu'il faudra que je le revois une deuxième fois dans quelques années pour me faire une opinion définitive
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 avril 2011
    Très bon film de Lars von Trier (peut-on de toute façon, décemment, qualifier un film de Lars von Trier de daube ?), qui relate la convalescence psychologique d'une femme, à la suite du décès de son fils. Ou plus précisément, de la descente aux Enfers d'une femme (et pour cause...), mais aussi d'un homme, de son homme, bref du couple interprété par Charlotte Gainsbourg et Willem Dafoe. Je dois confesser que je pars avec un sacré a priori positif avant un film de Lars (j'ai pleuré devant Breaking the waves et Dancer in the dark, ri devant Les idiots et Le director, halluciné devant Dogville et Manderlay) ; mais cet Antichrist est une de ces oeuvres coup-de poing qui a mes plus hautes faveurs, parce que plus sombre, plus torturé, plus dérangeant, plus beau, plus transgressif, plus triste aussi. Pourquoi Antichrist d'ailleurs ? Petit détour pour débouter toutes les critiques acerbes des critiques sur ce film de Lars, qui l'ont trouvé dégoûtant, abject, monstrueux, sale. J'ai bien peur qu'ils n'aient rien compris, encore une fois (et, soit dit en passant, Lars a bien fait de leur répondre très humblement : «I am the best film director in the world !»...). Ce n'est certainement pas un film sataniste ou platement anti-valeurs, anti-culture, anti-christianisme, c'est bien plus profond que ça (c'est même presque plus profond, au moins dans l'intention, que l'entreprise nietzschéenne (c'est dire...)) : Lars n'oppose pas un dogme contre le christianisme (c'est en un sens l'erreur de Nietzsche : en s'y opposant trait pour trait, il en reste malgré tout dépendant), mais il pousse le christianisme jusqu'en ses conséquences dernières : il en accepte les présupposés, et montre ses contradictions internes, son impossibilité, ses difficultés, son absurdité propres. En un sens, il achève le christianisme plus qu'il ne s'y oppose frontalement.
    Un mot quand même sur le synopsis : on retrouve, à la première et à la dernière partie du film (Prologue et épilogue, on sait le goût de Lars pour la chapitrisation de ses films, encore une fois présente ici), deux scènes qui se répondent par leur style, encadrant comme une grande parenthèse le film proprement dit, deux scènes absolument magnifiques, en noir et blanc (alors que le reste est en couleur), filmées au ralenti (1000 images par secondes...), sur l'air le plus connu du Rinaldo de Haendel. C'est beau à en pleurer, mais passons ; le prologue montre donc, sur deux plans convergents, d'une part le couple en train de s'envoyer en l'air sous la douche, puis sur le lit (je dis le couple, mais il s'agit surtout du visage de Charlotte, de la femme, alors que l'homme n'est montré que de dos), d'autre part l'enfant du couple, qui lui sort de son lit, puis de son enclos protecteur jusqu'à la pièce centrale de l'appartement (il voit même ses parents en train de s'amuser...), où il voit alors une fenêtre ouverte, décide d'escalader jusqu'à elle, et de sauter délicieusement du Xième étage, comme un jeu, avec son nounours. Bref, le morveux saute et se tue au même moment (convergence) où sa mère jouit, dans les bras de son homme. Pour ce qui est de la prédestination divine, il y a mieux ; mais pour l'ironie vontrierienne «anti-christ», c'est assez juteux... Bon je n'avais pas vu autant de talent dans l'image depuis, sans aucun doute, le début et le final du Black Swan d'Aronofsky (similitudes dans la forme début-fin, d'ailleurs) : la cantatrice porte les images, dilate par sa beauté même la temporalité de l'image, l'éclairant en retour de sa perfection. C'est splendide.
    Bref, suite à cela Charlotte tombe en dépression grave (culpabilité, mémoire de la faute, moralisation à outrance de l'acte, mauvaise conscience et tutti quanti), prend un tas de médocs dans le service psy d'un hôpital, jusqu'à ce que Willem, thérapeute lui-même, la sorte de l'enfer médicamenteux ou pharmocologique, afin de la soigner lui-même (dans une sorte de psychanalyse personnelle). Suite à une investigation dans l'inconscient de Charlotte («Quel est le pire endroit pour toi ?»), ils se rendent alors tous deux en forêt, dans une cabane où ils ont apparemment l'habitude de passer leurs vacances. Et c'est là que le film dévie dans une atmosphère de plus en plus inquiétante, angoissante, (presque un mélange freudo-heideggerien de l'angoisse) dérangeante : Charlotte ne guérit pas, mais ressasse plutôt davantage sa faute en présence de souvenirs personnels et de photos. Bref, tout se complique, tout s'agrave, et ce jusqu'à la folie, sous-jacente dès le début du film, mais qui se manifeste progressivement («antichrist» signifie donc alors : anti-pardon, anti-oubli, anti-réconciliation avec soi-même ; et plutôt fuite de soi jusqu'à perte de soi, effusion de soi, dispersion de soi – au nom d'une herméneutique de soi qui ne conclut pas au renoncement de soi devant la transcendance divine [...].

    La critique complète sur le Tching's ciné bien sûr (note finale : 17/20) :
    http://tchingscine.over-blog.com/
    vanou97
    vanou97

    44 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2018
    Un film poignant, choquant qui approche parfois du machiavélisme... Charlotte Gainsbourg a un rôle primordial qui prouve d'une délicatesse et d'une prouesse dans son rôle. Ce scénario est du jamais vu au cinéma et c'est ce qui le rend unique, notamment avec les scènes du préambule magistrales. Avec des images choquantes, le film est rythmé en chapitres avec la chute incroyable du quatrième. Et pour cela Charlotte Gaindbourg peut recevoir toutes les éloges, elle a osé l'intentable et c'est ce qui fait un acteur aujourd'hui. Le Prix d'interprétation féminine du festival de Cannes lui a été justement décerné, et amplement mérité. Respects à Lars von Trier !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 avril 2011
    Loin d'être une scène de folie (contrairement à black swan)ce film est un tableau de la nature humaine, très précisément féminine, un duel mortel entre les deux rôles que Charlotte Gainsbourg n'arrive pas à endosser, celui de mère et celui de femme (elle tue délibérément son fils, son mari, et son sexe, qui est l'union de ces deux tableaux). Déchirement intime et poignant d'une femme, tableau d'un exutoir et transcription d'une psychanalyse très réussie.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 septembre 2015
    Film très esthétique notamment avec un prologue somptueux !
    Je m'incline devant le courage de C. Gainsbourg pour ce rôle qu'elle interprête de manière très juste.
    Certaines scènes sont difficiles à soutenir du regard mais avec un peu de recul (le temps d'accepter ces scènes) excellent film.
    conrad7893
    conrad7893

    300 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 mars 2011
    film psychologique sur le deuil, la culpabilité
    pour public averti
    des scènes gores
    belles prestations des acteurs surtout charlotte gainsbourg
    sinon je n'ai pas du tout aimé le film
    SmEuG
    SmEuG

    44 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mars 2011
    A l'image de la scène d'introduction, Antichrist est un pure exercice de style à la symbolique tellement omniprésente que l'on peut lui faire dire n'importe quoi par le biais de centaines d'interprétations possibles; travail auquel la majorité des journaliste se sont bien entendu livrés en y décelant une misogynie moyenne-âgeuse théorisant sur la diabolisation de la femme, simple prétexte pour camouflé une certaine frilosité face à la profusion de scènes crues à caractère sexuelle ou carrément d'iconographies à la violence furieuse. Toutefois, là où la critique a vu juste, c'est qu'en effet, le véritable intérêt de ce film controversé, ne se situe certainement pas dans son intrigue horrifique, mais dans ses métaphores. Alors évidemment, chacun est libre d'y voir ce que lui dicte ses émotions et son vécu à travers sa réflexion, qu'elle soit consciente ou inconsciente, mais accuser un auteur de tenir des propos immoraux lorsque l'on est face à une oeuvre aussi complexe, paraît fort présomptueux.

    Pour en revenir à l'analyse du film, il est tout d'abord nécessaire de déchiffrer sa vraie nature : Nous sommes face à un film psychanalitique. Et ceux qui prétendent qu'il n'a strictement aucun sens se trompe certainement. Personnellement, je l'ai compris comme suit.
    Tout débute avec l'orgasme absolu, le rapport sexuel dans ce qu'il a de plus passionné, animal et lubrique. La jouissance est telle que le personnage interprété par Charlotte Gainsbourg dévoile ses faiblesses. La voilà incapable de s'arrêter dans l'optique de sauver son enfant debout sur le rebord de la fenêtre, et assiste en donnant la vie dans un ultime acte de procréation, à la mort de sa géniture.
    Ce premier acte mis en scène avec une ironie glaçante sera le fil conducteur du récit et la source de tous les maux. A partir de là Charlotte bascule peu à peu vers la folie à force de culpabilisation. Dans un premier temps, son angoisse naît après chaque acte vénérien. C'est alors que son mari décide de l'emmener en forêt, lieu des origines, le retour à l'état primitif. C'est à travers les iconographies symboliques dont le film regorge, que l'affliction psychologique des personnages se répercute sur la forêt, l'atmosphère ambiante devient pesante, le moindre coup de vent se transforme en souffle du démon et le bruit des glands roulant sur le toit sont des hurlements de terreurs. C'est dans ce théâtre de folie que Charlotte Gainsbourg finit par accepter ce qu'elle croit être la vérité, et s'inflige ainsi qu'à son mari les pénitences qu'elle estime mériter.
    Antichrist est donc intéressant à plusieurs niveaux notamment dans son illustration de la folie, son développement psychanalytique, son questionnement sur la culpabilité, mais aussi dans son aspect purement horrifique (bien que celui-ci ne soit pas très réussi), son esthétique particulière (l'introduction est sublime, et de nombreuses scènes disséminées dans le film le sont également) et sa démarche anti-conformiste consistant à montrer les choses crument dans le but de choquer un public encore trop souvent irritable face à certaines images qui n'entre pas dans leur conception du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 18 mars 2011
    Je vais faire court : j'ai l'habitude de regarder des films d'horreur et gore je suis donc devenu insensible à la vue du sang dans les films. Pourtant, j'ai été choqué par les scènes de mutilation où la caméra pourrait difficilement être plus proche du membre mutilé, bien que le sang sente la sauce tomate à travers l'écran. Et c'est malheureusement, tout ce que l'on retient du film malgré acteurs connus pour leur talent.
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